A Jean-Michel Platier
Un loup sur son séant,
à la Maïakovski,
il blogue à bout portant :
calibre Poésie.
Une rose épanouie à la tempe.
Et partout, les morts enterrent leurs morts ;
des cadavres sur pieds pour fossoyeurs
au-dessus desquels la Lune
fait moins pâle figure.
Extrait de Le charnier des poètes