Mais je ne peux me rap­pel­er moi-même à la Terre 
Miteuse saltimbanque 
Et à l’aube du jour suivant 
C’est dans un deux­ième rêve que mes yeux pèsent

Sur une tête de plomb 
D’où jail­lis­sent les idées sans conséquences 
Non, il n’y a pas de vide sans nom 
Pour combler l’espace qui sépare les secondes

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