Joëlle Gardes

2018-01-08T15:35:56+01:00

Joëlle Gardes est née en 1945 à Mar­seille, ville près de laque­lle elle vit. Uni­ver­si­taire, elle a enseigné la gram­maire et la poé­tique à l’université de Provence, puis à Paris IV-Sor­bonne. Elle est actuelle­ment pro­fesseur émérite de cette uni­ver­sité. De 1990 à 2010, elle a dirigé la Fon­da­tion Saint-John Perse et a édité chez Gal­li­mard les cor­re­spon­dances du poète avec Jean Paul­han et Roger Cail­lois. Sous le nom de Joëlle Gardes Tamine, elle a pub­lié de nom­breux arti­cles et plusieurs ouvrages sur le lan­gage, plus par­ti­c­ulière­ment dans les domaines de la rhé­torique et de la poé­tique. Tard venue à l’écri­t­ure, elle a com­mencé par les mono­logues de théâtre (Madeleine B., édi­tions de l’A­mandi­er), puis a pub­lié plusieurs romans (dernier paru, Le poupon, éd. de l’A­mandi­er). Depuis quelques années, elle se tourne vers la poésie (nom­breux poèmes en revue, deux recueils pub­liés aux édi­tions de l’A­mandi­er, Dans le silence des mots, 2008 et L’eau trem­blante des saisons, 2012). Elle col­la­bore régulière­ment avec des plas­ti­ciens et des pho­tographes. Elle est mem­bre du comité de rédac­tion de la revue Place de la Sor­bonne.

Joëlle Gardes

© Pho­to Marie-Hélène Le Ny

www.joelle-gardes.com

  • Un recueil de nou­velles, A perte de voix, a paru en 2014 aux édi­tions de L’Amandier.
  • Un recueil de poèmes en prose, Sous le lichen du temps, a paru en octo­bre 2014 aux édi­tions de l’Amandier.
  • Un roman, Louise Colet. Du sang, de la bile, de l’en­cre et du mal­heur, édi­tions de l’A­mandi­er, 2015

 

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