De son lit vide le
corps d’elle dessous
lui voit le rien de la peau
le nu absence en ce lieu
du désir
en toi être seule
pas en lui ça contraint
à l’écart l’image
doutant de ce blanc
de tout on reste las
un corps rien
seul ce nom je le scrute
dans ce linceul qui transi toujours
grouillant devient le visage
porte
de l’absent la trace où fut ce rêve
enfoui là du temps broyé
la pierre douleur
au vif de toi
lie froide
vide