Tu me dis d’en­tr­er dans ce jardin
Où cha­toient des cer­cles fugaces
A la sur­face de l’eau
Tu me pro­pos­es la rumeur des arbres
Le silence résigné
Des cygnes trop lourds
Mais que feri­ons-nous de notre mémoire
En pareille laideur

 

 

Extrait du  recueil L’homme qui marche, écrit en 1997 et inédit.

 

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