l’in­so­lente chaleur !
et la lumière est une faux, les reliefs étin­cellent, le soir ne peut rien
fatigue con­sen­tie, on se pique de dur­er, et l’âme aux rosiers
un nou­veau jour s’efface,
à l’an­gle du mur quelques herbes dans l’ig­no­rance des dimensions
quoi on rassem­ble, ain­si, avec des mots tremblants ?

 

 

extrait de “La quad­ra­ture du cer­cle”, édi­tions Les Car­nets du Dessert de Lune, 2006

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