Juste une voix qui touche
Dans l’évidence des pourquoi
le chant des étoiles, le chaos blanc du ciel
c’ est un bat­te­ment de cœur
Qui fran­chit les nuages dans la vrille des nerfs
A la vitesse de l’abandon
Explore l’âme ain­si découverte
C’est
les ailes d’un ange refu­sant la peur
quand aux dernières pul­sa­tions du corps
Le trem­ble­ment fébrile s’appuie sur le silence
Aimer quand m’aime sans savoir encore
quel sera le chemin

Extrait de « De l’om­bre à la lumière »
 

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