Et voilà que ta chevelure est une mer obscure
livrant bataille à la grav­ité du temps.
Et voilà que le bord de ton vêtement
est une langue.
Et voilà que tu march­es à mes côtés.
Et voilà
que tu trou­ves refuge.

 

Choix et tra­duc­tion de l’espagnol (Argen­tine)
par Yves Roullière

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