Dieu, change-moi en luth
Que je joue pour les convois de ceux qui se relèvent
Et reviennent de la mort
Puis brise-moi à la fin de la mélodie
A l’assoupissement des derniers célébrants de la fête des moissons
… Et si je ne le mérite pas
Brise-moi maintenant !
Extrait de Je me lèverai un jour, anthologie poétique
établie et traduite de l’arabe (Palestine) par Antoine Jockey