Né en 1942, Jean-Marie Alfroy a longtemps partagé sa vie entre son Berry natal et la Haute Provence. D’abord essay­iste (thèse sur André Pieyre de Man­di­ar­gues), puis romanci­er (trois romans pub­liés dont deux chez Gal­li­mard – prix de l’Académie française pour le deux­ième), diariste, il a retrou­vé depuis quelques années les chemins de la poésie par lesquels il a com­mencé il y a plusieurs décennies.

Deux opus­cules parus dans la col­lec­tion « Franch­es lip­pées » des édi­tions Cla­pas à Mil­lau (Paysages et por­traits en 2012, Visions amères en  2015) et nom­breux pas­sages en revues (Comme en poésie, Frich­es, Inédit nou­veau, Le Coin de table, Microbe, etc.)

Il col­la­bore depuis 2008 aux « Cahiers de la rue Ven­tu­ra », revue créée par Claude Cail­leau, et par­ticipe, par inter­mit­tence en tant qu’illustrateur et chroniqueur musi­cal à Trac­tion-Bra­bant, la revue de Patrice Maltaverne. 

image_pdfimage_print