Sonia Khad­er est née à Ramal­lah, en Pales­tine, ville qu’elle admire tout particulièrement.

 Elle a eu une for­ma­tion mul­ti­dis­ci­plinaire : études supérieures en biolo­gie à l’université de « Bir Zeït » (fondée en 1924) ; un diplôme en archi­tec­ture d’intérieure de l’université améri­caine ICS grâce à des études par cor­re­spon­dance ; des cours d’informatique pen­dant deux ans et demi à l’université d’el-Qods inter­rom­pus par la guerre israé­lo-pales­tini­enne en 2002.

Cette for­ma­tion mul­ti­dis­ci­plinaire et l’état de guerre en Pales­tine expliquent les dif­férentes fonc­tions que Sonia Khad­er a pu exercer : enseignante en physique et en biolo­gie à l’école de sœurs Mary Youssef à Ramal­lah ; enseignante de la langue française de base pour enfants.

Après un court pas­sage de six mois en tant que direc­trice générale à la mai­son d’édition et de dis­tri­b­u­tion « Dar Echourouk », elle rejoint le théâtre d’Achtar, théâtre de for­ma­tion et de pro­duc­tion théâ­trale où elle occupe le poste de direc­trice générale du départe­ment Communication.

Par­al­lèle­ment à cette car­rière pro­fes­sion­nelle, elle a dirigé et organ­isé le fes­ti­val inter­na­tion­al du théâtre des opprimés, en 2007, à Ramal­lah et a par­ticipé à plusieurs ate­liers d’écriture théâ­trale en asso­ci­a­tion avec le Roy­al Court The­atre de Londres.

En 2005, Sonia Khad­er emprunte la voie de l’écriture et pub­lie cer­tains écrits sur des sites élec­tron­iques pour, ensuite, créer son pro­pre blog.

Fin 2009, elle pub­lie son pre­mier recueil de poésie « Pour des soleils que j’ai caché », paru aux édi­tions « Fad­haet » (Espaces) en Jordanie.

La jeune poétesse pré­pare actuelle­ment un nou­veau recueil.

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