Dès le premier mot du poème
tremble l’ardeur à dénuder
la beauté intacte de vivre
Un air neuf avive l’espace
le soleil lave la lumière
l’oiseau lézarde le silence
Toujours aussi vif le regain
en liesse d’un autre rivage
Voici qu’irradie la joie
d’initier au premier matin du monde