Eau [III]
Et voilà que ta chevelure est une mer obscure
	livrant bataille à la gravité du temps.
	Et voilà que le bord de ton vêtement
	est une langue.
	Et voilà que tu marches à mes côtés.
	Et voilà
	que tu trouves refuge.
Choix et traduction de l’espagnol (Argentine) 
	par Yves Roullière