Sandra Santos

Sandra Santos (Barcelos, Portugal, 1994) se consacre à la poésie, à l'écriture, à la traduction, à la révision, à l'enseignement, à l'art et à d'autres mystères. Elle est titulaire d'un diplôme en Langues et Relations Internationales (Université de Porto) et d'un master en Études Éditoriales (Université d'Aveiro). Elle participe à des projets sociaux, culturels, artistiques et littéraires. Ses poèmes et traductions ont été publiés dans des livres, des anthologies, des magazines et des blogs au Portugal, en Espagne, en Amérique latine et aux États-Unis. Ses poèmes ont été traduits en espagnol, catalan, français, anglais et allemand. En tant que poète invitée du Portugal, elle a participé à divers salons du livre, festivals littéraires et à d'autres événements dans le monde entier.

© Crédits photos Gabriel Oliveira, Livraria da Vila, São Paulo, Brésil, 2022

Bibliographie

Son premier livre de poésie, Éther, en 2018, a été sélectionné par un programme de soutien à l'édition et à la traduction de l'Institut Camões et de la Direction Générale Portugaise du Livre, des Archives et des Bibliothèques pour être publié en portugais et en espagnol au Brésil et au Mexique. Son deuxième livre, Silence/En Silence, a été publié en 2021 au Brésil en version bilingue portugais/espagnol. Ses poèmes ont été traduits en espagnol, catalan, français, anglais et allemand. En tant que poète invitée du Portugal, elle a participé à divers salons du livre, festivals littéraires et à d'autres événements dans le monde entier.

Poèmes choisis

Autres lectures




Urszula Honek

Urszula Honek est une poétesse et romancière polonaise née en 1987 à Racławice. Depuis 2016, elle est l’autrice de trois livres de poésie, parmi lesquels Zimowanie (fr. hivernage), son dernier paru en 2021. Lauréate de nombreux prix littéraires nationaux, elle a publié l’année dernière le recueil de nouvelles Białe noce (Les nuits blanches), nominé pour le prix international Premio Grand Continent. 

© Crédits photos Dominik Musiałek

Bibliographie 

Poèmes choisis

Autres lectures




D’Arcy McNickle

William D'Arcy McNickle (14 janvier 1904 - 10 octobre 1977) (Salish Kootenai) était un écrivain, un militant amérindien, un professeur d'université, un administrateur et un anthropologue. D'origine irlandaise et métis, il s'inscrit plus tard dans la nation Salish Kootenai, sa mère étant venue dans le Montana avec les Métis en tant que réfugiée. Il est également connu pour son roman The Surrounded.

Bibliographie

Fiction

L'encerclement (1936)
Le coureur au soleil : A Story of Indian Maize (1954), roman pour jeunes adultes
Le vent d'un ciel ennemi (1978)
Le faucon a faim et autres histoires (1992)

Ouvrages non romanesques

Ils sont arrivés les premiers : l'épopée de l'Inde américaine (1949, édition révisée en 1975)
L'Indien dans la société américaine (pour le Congrès national des Indiens d'Amérique, 1955)
Indiens et autres Américains : Deux modes de vie se rencontrent (1959)
Un Homme indien : Une vie d'Oliver La Farge (1971)
Tribalisme amérindien : Survivances et renouvellements indiens (1973)
Un examen historique des relations entre le gouvernement fédéral et les Indiens (Commission d'examen de la politique à l'égard des Indiens d'Amérique, 1975)

Poèmes choisis

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Adeline Miermont-Giustinati

  Née à Nancy en 1979, Adeline Miermont-Giustinati est diplômée en Humanités et en Création littéraire. Elle vit depuis cinq ans dans La Hague, près de Cherbourg. Elle a exercé les métiers de rédactrice et relectrice dans la presse écrite et sur le web, professeure de français et de français langue étrangère, avant de se consacrer entièrement à l'écriture et la littérature.
       Autrice de plusieurs recueils de poésie et de textes publiés en revues, anthologies et sous forme de livres d'artiste, elle se dit également “passeuse d’écriture”, et met ses compétences d'écriture et littéraires, au service de différents publics, assurant la relecture et le suivi de manuscrits et en proposant de l'accompagnement rédactionnel, notamment pour des récits de vie.
      Elle a fondé la revue Carabosse, à sensibilité poétique et féministe, et l'a dirigée pendant deux ans. Enfin, elle a créé la Maison de poésie en Cotentin, baptisée La Péninsule, située dans le hangar d'ateliers d'artistes La Cherche, à Cherbourg, et qui met à l'honneur le matrimoine et la création sonore. Elle y organise, depuis deux ans, des événements poétiques (lectures, rencontres, performances, ateliers d'écriture, scènes ouvertes, projections vidéos, podcasts), et accueille également, depuis cette année, des auteurs en résidence.

© Crédits photos Adeline Miermont

Bibliographie

Recueils :

De Chair et de chimères (La Bruyère, 2007) qui a donné lieu à une performance par trois comédiennes à la Lucarne des écrivains (Paris);

Entre les côtes de Mehen (Sélénites², 2013), en collaboration avec l'artiste-plasticienne Émeline Sourget avec qui elle monte la maison d'édition et participe à plusieurs expositions, salons et lectures publiques, en Bretagne et Normandie;

Incises (CMJN, 2016), livre d'artiste écrit en regard de gravures de Thierry Tuffigo,

Sumballein (Tarmac, 2018, pour la première édition).

 

Anthologies/ recueils collectifs :

Traverser (éditions de l'Aigrette-Maison de poésie de la Drôme, 2019),

Rage écarlate (éditions Folazil, 2020).

Revues :

FPM, Cabaret, Lichen, Les Impromptus, Méninge, Nuit de boue (gazette réalisée en workshop avec Charles Pennequin), Salade, Alora (revue universitaire espagnole), Pojar.

Poèmes choisis

Autres lectures




Joseph-Antoine D’Ornano

Joseph-Antoine d'Ornano est un artiste-peintre et un écrivain. Il a fait des études pluridisciplinaires, lettres, droit et sciences po Paris. Il vit et travaille à Paris.

Passionné de littérature et d'art, romancier, peintre, il explore depuis plusieurs années la notion de relation à laquelle il a consacré deux essais et quelques articles.

Poèmes choisis

Autres lectures




Joël Gayraud

Étudie les lettres et la philosophie en khâgne au lycée Condorcet, puis par lui-même au gré des rencontres et des voyages. Traducteur du latin (Ovide, L'art d'aimer), et de l'italien (Leopardi, Pensées, Petites œuvres morales, etc. ; Pavese, La Trilogie des machines ; Giorgio Agamben, L'Ouvert, État d'exception). Enseigne également les lettres classiques à Paris.

Bibliographie

Œuvres

  • Prose au lit (poèmes, aphorismes), Paris, La petite chambre rouge, 1985.
  • Si je t’attrape, tu meurs (roman pour la jeunesse), Paris, Syros, 1995.
  • La Peau de l’ombre (aphorismes, réflexions critiques et philosophiques), Paris, José Corti, 2003.
  • Ordonnance (poème), Saint-Clément, Le Cadran ligné, 2009.
  • Clairière du rêve (poème), avec des images de Jean-Pierre Paraggio, Annemasse, L’Umbo, 2010.
  • Passage public (proses), Montréal, L’oie de Cravan, 2012.
  • Ocelles (poèmes), avec des dessins de Virginia Tentindo, Toulouse, L’Umbo, 2014.
  • La Paupière auriculaire (aphorismes, réflexions critiques et philosophiques), Paris, Éditions Corti, 2017.
  • L’Homme sans horizon. Matériaux sur l’utopie, Montreuil, Libertalia, 2019.
  • Les Tentations de la matière, poèmes sur des sculptures de Virginia Tentindo, Nérac, Pierre Mainard éditeur [archive], coll. « Hors Sentiers », 2021.
  • Les Aléas du calendrier, avec des dessins de Guy Girard, Gajan, Venus d'ailleurs éditeurs [archive], 2022.

Traductions

De l’italien

  • Internazionale situazionista, Écrits complets, trad. en collab. avec Luc Mercier, Paris, Contre-Moule, 1988.
  • Giacomo Leopardi, Pensées, Paris, Allia, 1992 ; rééd. 1994, augmentée d’une préface et de commentaires de Cesare Galimberti.
  • Giacomo Leopardi, Petites œuvres morales, Paris, Allia, 1992; rééd. revue et corrigée, ibid., 2007.
  • Cesare Pavese, La Trilogie des machines, Paris, Mille et une nuits, 1993.
  • Giacomo Leopardi, Le Massacre des illusions, Paris, Allia, 1993.
  • Giacomo Leopardi, La Théorie du plaisir, Paris, Allia, 1994.
  • Giacomo Leopardi, Journal du premier amour, Paris, Allia, 1994.
  • Primo Levi, Le Devoir de mémoire, Paris, Mille et une nuits, 1995.
  • Giacomo Leopardi, Éloge des oiseaux, Paris, Mille et une nuits, 1995.
  • Machiavel, Histoire du diable qui prit femme, Paris, Mille et une nuits, 1996.
  • Giacomo Leopardi, Théorie des arts et des lettres (anthologie établie, présentée et annotée par J. Gayraud), Paris, Allia, 1996.
  • Mario Rigoni Stern, Lointains hivers, trad. en collab. avec Marilène Raiola, Paris, Mille et une nuits, 1999.
  • Giacomo Leopardi, Mémoires de ma vie (anthologie établie, présentée et annotée par J. Gayraud), Paris, José Corti, 2000.
  • Giorgio Agamben, L'Ouvert, Paris, Rivages, 2002.
  • Giorgio Agamben, Valeria Piazza, L'Ombre de l'amour, Paris, Rivages, 2003.
  • Giorgio Agamben, État d'exception, Paris, Le Seuil, 2004.
  • Giorgio Agamben, La Puissance de la pensée, trad. en collab. avec Martin Rueff, Paris, Rivages, 2006.
  • Giorgio Agamben, Signatura rerum, Paris, Vrin, 2008.
  • Giorgio Agamben, Le Règne et la gloire, trad. en collab. avec Martin Rueff, Paris, Le Seuil, 2008.
  • Giorgio Agamben, Le Sacrement du langage, Paris, Vrin, 2009.
  • Giorgio Agamben, De la très haute pauvreté, Paris, Rivages, 2011.
  • Giorgio Agamben, Qu'est-ce que le commandement ? Paris, Rivages, 2013.
  • Giorgio Agamben, Pilate et Jésus, Paris, Rivages, 2014.
  • Giorgio Agamben, La Guerre civile, Paris, Points, Le Seuil, 2015.
  • Giorgio Agamben, L’Usage des corps, Paris, Le Seuil, 2015.
  • Giorgio Agamben, L’Aventure, Paris, Rivages, 2016.
  • Rosa Rosà, La Femme d’après-demain (textes réunis, présentés et traduits par J. Gayraud), in revue Mirabilia, n° 10, décembre 2016.
  • Giorgio Agamben, Le Problème du mal, Paris, Bayard, 2017.
  • Giorgio Agamben, Principia hermeneutica et Sur l’écriture des préambules, in revue Critique n° 836-837, janvier-février 2017.
  • Giorgio Agamben, Au-delà du droit et de la personne, préface à La personne et le sacré de Simone Weil, Paris, Rivages, 2017.
  • Giorgio Agamben, Karman, Court traité sur la faute, l’action et le geste, Paris, Le Seuil, 2018.
  • Giorgio Agamben, Création et anarchie, Paris, Rivages, 2019.
  • Giorgio Agamben, Le Royaume et le Jardin, Paris, Rivages, 2020.
  • Emanuele Coccia, Hiérarchie. La société des anges, Paris, Rivages, 2023.

De l’anglais

  • Sylwia Chrostowska, Feux croisés, propos sur l’histoire de la survie, coll. Critique de la Politique, Paris, Klincksieck, 2019.

Du grec ancien

  • Lucien de Samosate, Sectes à vendre, trad. de Belin de Ballu, révisée, corrigée, annotée et postfacée, Paris, Mille et une nuits, 1997.
  • Sappho de Mytilène, Ode I, 2, Saint-Clément, Le Cadran ligné, 2012.

Du latin

  • Ovide, L'Art d’aimer, trad. annotée et postfacée, Paris, Mille et une nuits, 1998.
  • Érasme, Les Travaux d’Hercule, trad. annotée et commentée, Bruxelles, Editions du Hazard, Haute Ecole de Bruxelles, Institut supérieur de traducteurs et interprètes, février 2012.

Poèmes choisis

Autres lectures




Luce Guilbaud

Luce Guilbaud est née en 1941 en Vendée. Peintre et poète, elle est professeur d'arts plastiques. Elle vit et travaille dans la région de Montargis et en Vendée.

Bibliographie

Œuvres écrites par Luce Guilbaud

  • Pierre de souche, Georges Monti, 1977.
  • La Chair à vif des roses, Le Pont de l’épée, 1978.
  • En retard d’une foudre, Le Pont de l’épée, 1984.
  • Présages et tremblements, La Bartavelle, 1989.
  • Partage du couchant, La Bartavelle, 1997.
  • Le Cœur antérieur, Le dé bleu, 1998. Couverture de Sylvie Turpin.
  • L’Homme perpendiculaire dans sa nuit, Encres vives, 1999.
  • À mon seul désir, Les petits classiques du grand pirate, 2001. Accompagnement de Sylvie Turpin.
  • Les oiseaux sont pleins de nuages, Soc et foc, 2001. Illustrations de Line Gourgues. Pour la jeunesse.
  • Rouge incertain, Le dé bleu-Écrits des forges, 2002. Couverture de Sylvie Turpin.
  • Une pluie de non retour, Dumerchez, 2002. Gravures de Sylvie Turpin.
  • Une robe de feuilles, Ficelle, no 51, Atelier V. Rougier, 2003.
  • Du sel sur la langue, Soc et foc, 2004. Illustrations de Claudine Gabin. Pour la jeunesse.
  • Comme elle dirait la mer, Tarabuste, 2004. Dessins de Christian Bonnefoi.
  • Noir et après, Éditions Alain Benoit, 2004. illustrations de Bernard Joubert.
  • Au terme de l’abeille, Ficelle, no 87, Atelier V. Rougier, 2008. Gravures de Vincent Rougier.
  • L’Enfant sur la branche, L'Idée bleue-Cadex, 2008. Illustrations de Fanny Millard. Pour la jeunesse.
  • Feuillée de vert avec retouches, Tarabuste, 2009. Frontispice de Jean-Louis Gerbaud.
  • Iris (Danièle Fournier et Luce Guilbaud), Québec, L’Hexagone, 2012.
  • Au présent d’infini, Ficelle, no 107, Atelier V.Rougier, 2012. Gravures de Vincent Rougier.
  • Nuit l’habitable ou le dit d’amour épris, Les arêtes, 2012. Accompagnement de Bernard Joubert.
  • Pas encore et déjà, suivi de Trame, Henry, 2012. Couverture d'Isabelle Clément.
  • Par les plumes de l’alouette, 2012, Corps puce, 2012. Photographies de Camille Bonnefoi. Pour la jeunesse.
  • Naviguer dans les marges, Soc et foc, 2013.Illustrations de Maïté Laboudigue. Pour la jeunesse.
  • Mère ou l’autre, Tarabuste, 2014.
  • Le Sourire du scarabée, La renarde rouge, 2014. Illustrations de Nelly Buret. Pour la jeunesse.
  • Vent de leur nom, Henry, 2015.
  • Dans mes filets, Ficelle, no 124, Atelier V.Rougier, 2016. Gravures de Vincent Rougier.
  • L'Esprit des lieux, La main qui écrit, Saint-Omer en toutes lettres, 2016.
  • Demain, l'instant du large, Lanskine, 2017.
  • Débordé pourpre, Les Lieux-Dits Éditions. Collages de Sylvie Turpin, 2020.
  • Où la chambre d'enfant, Collection Doute B.A.T., Tarabuste, 2020.
  • Perspective flottante, marais poitevin, vignettes de V. Rougier, Vincent Rougier éditions, coll. Plis urgents, 59, 2021.
  • Au bord de l'autre, gravures de Sylvie Turpin, Atelier des noyers, 2021.
  • La Perte que j'habite, ill. de Sylvie turpin, Cahiers du Loup bleu, Les Lieux-Dits éditions, 2023.

Œuvres écrites et illustrées par Luce Guilbaud

  • La Mutation des racines, SGDP, 1975.
  • L’Âge des terres fluides, Arcam, 1979 (encres).
  • Les Repaires de la nuit, Le dé bleu, 1979 (couverture illustrée).
  • Les Moustaches vertes, Farfadet, Le dé bleu, 1981 (réédition en 1986 et 1997). Pour la jeunesse.
  • La petite feuille aux yeux bleus, Farfadet, Le dé bleu, 1983 (réédition en 1998). Pour la jeunesse.
  • Dérivée, Soc et foc, 1984 (encres).
  • Le Dormeur d’épaves, Polder, Décharge, 1986 (couverture illustrée).
  • Une journée, quelques mots simples, La Bartavelle, 1992 (réédition en 1999).
  • Des fourmis dans les mots, L’épi de seigle, 1997 (couverture illustrée, réédition en 1999). Pour la jeunesse.
  • Une cigale dans la tête, Farfadet, Le dé bleu-Écrits des forges, 1998. Pour la jeunesse.
  • Autoportrait à ciel perdu, Tarabuste, 1998 (monotypes).
  • Qui ? Que ? Quoi ?, Tarabuste, 2002 (collages). Pour la jeunesse.
  • Poèmes du matin au soir, Le dé bleu-Écrits des forges, 2004 (couverture). Pour la jeunesse.
  • Sanguine, La renarde rouge, 2005 (monotypes).
  • Ici rouge-gorge, La renarde rouge, 2009 (monotypes). Pour la jeunesse.
  • Incarnat, Contre-allées, 2011.
  • Qui va là ?, Les carnets du dessert de lune, 2013 (collages). Pour la jeunesse.
  • Renouées (Amandine Marembert et Luce Guilbaud), Les éditions du petit pois, 2014 (monotypes).
  • Aux quatre orients le fleuve, Vagamundo, 2015 (encres).
  • Risques et reliques, Le cordel de Luce Guilbaud, Les arêtes, 2016 (encres).
  • Appels en absence, Les éditions du petit pois, 2017 (encre de couverture).
  • Couleurs par ci, couleurs par là, Henry (coll. Bleu marine), 2018. Pour la jeunesse.
  • Grandir plus loin, La Renarde rouge, 2018. Pour la jeunesse.
  • Qui va avec ailes, Éditions Les Carnets du Dessert de Lune, 2019. Pour la jeunesse. Prix Vercelé.
  • Amour dormant, éditions Al Manar, 2020 (2 éditions dont un livre d'artiste).
  • Mourir enfin d'amour, suivi d'Amour dormant, éditions Al Manar, 2021 (3 monotypes).
  • Sourire de Lune (anthologie), Les Carnets du dessert de lune (collection Petite lune), 2022. Pour la jeunesse.
  • Une leçon de présence, éditions Al Manar, 2023 (monotypes).

Livres d’artiste

  • Tresser les heures, poème de L. Guilbaud, photographies et réalisation plastique de Cristina de Melo, 2009.
  • Calendrier d’arbres, texte de Patrick Joquel, conception graphique et monotypes de L. Guilbaud, Éditions de la Pointe Sarène, 2009.
  • L’amour m’avait trouée vivante, poème de L. Guilbaud, réalisation plastique de Nelly Buret, Éditions Entre 2, 2010.
  • Méandres, cahier d’artiste, série 2, poème de L. Guilbaud, réalisation plastique de N. Buret, Éditions Entre 2, 2010.
  • La Foudre sur le crayon, texte de Maria Gabriela Llansol, couv. et 20 monotypes de L. Guilbaud (papier Népal pour les tirages de tête), Les Arêtes, 2010.
  • Braises, poème de L. Guilbaud, réalisation plastique de N. Buret, Éditions Entre 2, 2010.
  • Écorces et lichens, texte de Patrick Joquel, ill. de L. Guilbaud, Les cahiers du Museur, 2011.
  • Le Rien du tout, texte de Claude Vercey, ill. de L. Guilbaud, Les cahiers du Museur, 2012.
  • Exister tremble, texte de Jeanine Baude, accompagnement de L. Guilbaud, Livre pauvre, 2013.
  • Debout sur la mer, poème de L. Guilbaud, gravure de Sylvie Turpin, Les cahiers du Museur, 2013.
  • Toute une forêt, texte de Romain Fustier sur une gravure de L.Guilbaud, Livre manuscrit, chez l’artiste, 2013.
  • Quelque chose manque ou quelqu'un, poème de L.Guilbaud, gravures de N. Buret, Typographie de Fred Ouri, Éditions Entre 2, 2014.
  • Jardin d'en haut, poème de Florence Saint-Roch, 21 monotypes de L.Guilbaud (papier Népal pour les tirages de tête), Les cahiers du Museur, 2016.
  • Ces jours heureux, texte de Jeanine Baude, Monotype L. Guilbaud (Pour les 30 ans de la Maison de la poésie Rhône Alpes), 2016.
  • Laisse de mer, poème de L. Guilbaud, Gravures et conception graphique de N. Buret, Éditions Entre 2, 2017.
  • Histoire sorcière, poème de L. Guilbaud, estampes d'Yves Picquet, Éditions Double-cloche, 2018.
  • Mourir enfin d'amour, poème de L. Guilbaud, Aquarelles et mise en page de Jacky Essirard, Atelier de Villemorge, 2018.
  • Rouge à poing, texte d'Yvette Calas, La Maison ronde, 2020.
  • L'Heure d'hiver, poème de Luce Guilbaud, livre-objet d'Yves Picquet, 2021.
  • Le Dernier Pas avant la mer, Port-folio de Nelly Buret (photographies) sur un poème de L.Guilbaud, Nelly Buret éditrice, coll.A2, 2022.
  • Pluie et vent, texte de Marie Huot, Les cahiers du Museur, 2023.

Ouvrages accompagnés par Luce Guilbaud

  • Jean-Gabriel Cosculluela, L’affouillé, Jacques Bremond, 1980.
  • Jean-Pierre Georges, Dizains disette, Le dé bleu, 1987.
  • Jacques Brémond, Cette ville aux quinze portes, La Bartavelle, 1990.
  • Jacques Charpentreau, Musée secret, Les éditions Serpenoise, Presses universitaires de Nancy, 1992.
  • Jacqueline Held, Ton chat t’écoute, Le dé bleu, Farfadet, 1994.
  • Catherine Mafaraud, Ombres de dos en plein soleil, Alain Benoist, 2002.
  • Anne-Marielle Wilwerth, "Démesurément la lumière", L’Arbre à paroles, 2003.
  • Joël Bastard, Papillotes sans chocolat, Rougier, Ficelle, no 71, 2006.
  • Colette Andriot, Pattes d’oiseaux pattes de chat, La renarde rouge, 2007.
  • Yves-Jacques Bouin, Elle ne passe jamais bien loin, Mazette, 2010.
  • Danielle Terrien, Traces vertes, Rougier, Ficelle, 2010.
  • Cécile Oumhani, Cités d’oiseaux, La lune bleue, 2011.

Présence dans les anthologies

  • Enfance et poésie, Jacques Charpentreau, Éditions ouvrières, coll. L'Enfance heureuse, 1972.
  • Quelques poètes poitevins d'aujourd'hui, Menanteau, Valensol, 1978.
  • En Vendée voilà, Le dé bleu, 1991.
  • Êtres femmes, Le Temps des cerises et Écrits des forges, 1999.
  • L’Évidence d'aimer, Louis Dubost, Le dé bleu, 2000.
  • Poèmes à lire et à rêver, Seuil jeunesse, 2003.
  • Les plus beaux poèmes d'hier et d'aujourd'hui: le florilège de Fleurs d'encre, J.Charpentreau, Hachette, 2004.
  • Ce que disent les mots, Pierre Maubé, Éclats d'encre, 2004.
  • Drôles d'oiseaux, un livre, un CD, Didier jeunesse, 2006.
  • Si le rouge disparaissait, Le Temps des cerises, 2010.
  • La Fête de la vie, Das Fest des Lebens, En forêt, im Wald, 2011.
  • Enfance, Rue du monde, 2012.
  • La vie funambule, Montini-Carpentier, Couleur livres, ill. de L. Guilbaud, 2013.
  • Jouer avec les poètes, Jacques Charpentreau, 2015.
  • Anthologie islandaise, Por Stefansson, 2016.
  • L’Epais des forêts, La main qui écrit, Direction Florence Saint-Roch, 2018.
  • Anthologie sur l’eau, textes réunis par Claudine Bertrand, Henry, 2018.
  • Mes premières comptines et autres petits poèmes, ill. et poèmes de L. Guilbaud, Couleur livres, 2019.
  • Qui rira lira, illustré par B.Gibert, Le Seuil, 2020.
  • Sourire de lune, Anthologie de poèmes parus au Dé bleu et ill. , Les carnets du dessert de lune, 2022.
  • Le Feu, anthologie dirigée par Claudine Bertrand, Ed Henry, 2023.

Poèmes choisis

Autres lectures




Jean-Philippe Testefort

Né en 1964, père de deux enfants, il partage sa vie entre Troyes et Paris.

Entre la fin des années 1980 et le début des années 2000, tout en pratiquant les percussions, il a animé des ateliers d’écriture, joué et produit pour le théâtre comme pour le spectacle de rue. Depuis, il se consacre à « la recherche d’une vie juste dans un monde délabré », pour reprendre la belle expression de Philippe Jaccottet, selon une voie double, philosophique et poétique.

Après quelques années d’enseignement en tant qu’instituteur, il est devenu professeur de philosophie en 1989. Il est docteur en Philosophie et Sciences Sociales, diplômé de l’EHESS en 2010 (Paris).

Sa thèse porte sur le rôle des images dans la formation de la subjectivité, des images technologiques en particulier depuis l’invention de la photographie. Son travail traite également des conditions de l’éducation dans les sociétés contemporaines marquées par le passage d’une transmission patrimoniale des savoirs fondée sur l’écrit, à une transmission informationnelle modélisée par les technologies de l’information et de la communication.

Dans cette perspective, il s’est intéressé au design en tant que celui-ci apparait comme exemplaire des promesses impossibles de nos sociétés.

Son activité de recherche s’est aussi développée sur le terrain poétique, parallèlement à l’écriture philosophique de type phénoménologique. Croisant les sagesses primitives d’ordre mythique, il a été conduit à expérimenter toujours plus avant une écriture hybride susceptible de toucher la corporéité pleine et entière.

Il dirige dans cet esprit, depuis 2018, la collection « Imagination Critique » aux éditions Unicité.

Ses textes philosophiques et poétiques sont publiés dans différentes maisons d’édition.

Bibliographie

Poésie

Essai hypocrite sur le féminin et quelques thèmes adjacents, éditions Unicité 2023

Sourire à la grimace, Le politique incarné, éditions Unicité, 2022

On n’en meurt pas, j’voudrais juste pas crever, éditions Unicité, 2021

Au temps où les fantômes m’enchantaient encore, éditions Unicité, 2020

De ma part du démon, éditions Unicité, 2020

délivrance du vers, éditions Unicité, 2019

À tire-d’angle, éditions Unicité, 2017

111 tercets pour s’y faire, éditions Unicité, 2016

(Sous le nom de Florian Chantôme)

Chants de rouille, éditions Encres Vives, 2014

Les mines indigestes (2 vol.), éditions Encres Vives, 2013

Pour rien au monde, éditions Encres Vives, 2011

Obsolescence, éditions Encres Vives, 2010

Des grains d’alors, éditions Soc&Foc, 2009

Inoffensives, éditions Encres Vives, 2007

Les pas rayés, éditions Encres Vives, 2007

Miroir d’Eire, éditions Encres Vives, 2006

Des ordres, éditions Encres Vives, 2006

Survol animal entre 7 et 8, éditions Encres Vives, 2005

Les étoffes de l’auprès, éditions Encres Vives, 2005

Un carnet du couchant, éditions Encres Vives

À la fuite de quoi, éditions Encres Vives, 2005

D’une mutité, l’autre, éditions Encres Vives, 2003

Participation à diverses revues, catalogues collaboratifs et anthologies collectives.

Philosophie et Sciences Sociales

Manifeste pour un avenir non-politique, 2024 (à paraître)

Pensée du design, éditions Unicité, 2019

« Éducation au développement durable », in Dictionnaire de la pensée écologique, sous la direction de D. Bourg et A. Papaux, éditions PUF, 2015

Éléments pour une éthique de la représentation, Le rôle des images dans la formation de la subjectivité, éditions ANRT, 2014

etre@eleve.com, Envisager une transmission durable, éditions L’Harmattan, 2009

De la destruction du savoir en temps de paix, École, Université, Patrimoine, Recherche, en codirection avec C. Abensour, B. Sergent, E. Wolf, éditions Mille et une nuits, 2007

« Mythe et photographie : le vol de l’âme », in Le mythe : pratiques, récits, théories, vol. 2, sous la direction de M. Boccara, P. Catala, M. Zafiropoulos, éditions Economica Anthropos, 2004

Du risque de philosopher, L’enseignement philosophique en question, éditions L’Harmattan, 2001

Poèmes choisis

Autres lectures




Aliocha Wald Lasowski

Essayiste, auteur de vingt-cinq livres (des ouvrages sur Sartre, Althusser, James Bond ou le rythme...), Aliocha Wald Lasowski est aussi batteur dans différents groupes. Il est également Professeur d'Université et enseigne les politiques et esthétiques postcoloniales. Lauréat de la Bourse Édouard Glissant en 2008, il questionne la pensée archipélique de Glissant, pensée tout à la fois politique, philosophique et esthétique. Penseur de la créolisation, poète, romancier, philosophe, essayiste, militant, figure de la pensée postcoloniale, de la francophonie, de la culture des Caraïbes, Glissant n’a cessé d’œuvrer à un dialogue avec les artistes, développant une pensée de l’art que Wald Lasowski nomme "chaosthétique".

© Crédits photos (supprimer si inutile)

Bibliographie

Parmi ses récents livres, on peut citer Jean-Paul Sartre, une introduction, Pocket « Agora » ; Althusser et nous. Vingt conversations, Puf ; Le Jeu des ritournelles, Gallimard, « Arcades » ; Dialogue sur l’Art et sur Pierre Soulages, avec Alain Badiou, Cercle d’art ; Penser l'émancipation, avec Jacques Rancière, L’Aube ou encore Les cinq secrets de James Bond, Max Milo.

 

Poèmes choisis

Autres lectures




Linda Maria Baros

Poète. Traductrice. Éditrice. Née en 1981. Docteur en littérature comparée – Sorbonne. Vit à Paris. 7 recueils de poèmes, dont La nageuse désossée. Légendes métropolitaines (Le Castor Astral) qui s’est vu décerner, en 2021, le Grand Prix de Poésie de la Société des Gens de Lettres, le Prix international francophone du Festival de la poésie de Montréal et le Prix Rimbaud de la Maison de Poésie de Paris. Poèmes traduits et publiés dans 42 pays. A participé à 105 festivals internationaux de poésie.

            Lauréate et secrétaire générale du Prix Apollinaire. Rapporteur général de l’Académie Mallarmé. Vice-présidente du PEN Club français. A traduit 55 livres.

            Directrice de la maison d’édition La Traductière et du Poésie Poetry Paris/Festival franco-anglais de poésie. Rédactrice en chef de la revue de poésie et art visuel La Traductière.

            Énorme griffe en argent à la main droite.

© Crédits photos Phil Journe.

Publications – sélection

recueils de poèmes – sélection

  • 2022, Les tireurs d’élite caressent de loin ton front (80 p.), édition trilingue (français-roumain-chinois), traduction en roumain par l’auteur, traduction en chinois par Bonnie Tchien Hwen-Ying, beau livre réalisé en collaboration avec les photographes Tïa-Calli Borlase et Zazoum, Éditions Transignum, France.
  • 2020, La nageuse désossée (108 p.), Le Castor Astral, France, Grand Prix de Poésie 2021 de la Société des Gens de Lettres de France, Prix international francophone 2021 du Festival de la poésie de Montréal et Prix Rimbaud 2021 de la Maison de Poésie de Paris ; Înotătoarea dezosată. Legende metropolitane (80 p.), Cartea Românească, Roumanie.

     • 2009, L’Autoroute A4 et autres poèmes, recueil de poèmes (80 p.), Cheyne éditeur, France.

     • 2006, rééd. 2008, La Maison en lames de rasoir, recueil de poèmes (80 p.), Cheyne éditeur, France, Prix Apollinaire, France ; 2006, Casa din lame de ras (64 p.), Editura Cartea Românească, Roumanie.

     • 2004, Le Livre de signes et d’ombres, recueil de poèmes (64 p.), Cheyne éditeur, France, Prix de la Vocation ; 2005, Dicţionarul de semne şi trepte (64 p.), Junimea, Roumanie.

  • 2003, Poemul cu cap de mistreţ (72 p.), Vinea, Roumanie.

recueils de poèmes en traduction – sélection

  • 2021, Безхребетна плавчиня. Міські легенди (La nageuse désossée. Légendes métropolitaines, 64 p.), trad. Anatol Viere, Bukrek, Ukraine.
  • 2021, Avtocesta A4 in druge pesmi (L’Autoroute A4 et autres poèmes, 48 p.), trad. Barbara Pogačnik, Belletrina, Slovénie.
  • 2021, Die Autobahn A4 : und andere Gedichte (L’Autoroute A4 et autres poèmes, 70 p.), trad. Christian W. Schenk, Dionysos, Allemagne.
  • 2020, Borotvapengeház (La Maison en lames de rasoir, 64 p.), trad. Halmosi Sándor, Ab Art Kiadó, Budapest, Hongrie.
  • 2018, Het huis van scheermesjes (La Maison en lames de rasoir, 64 p.), trad. Jan H. Mysjkin, Uitgeverij Vleugels, Amsterdam, Pays-Bas.
  • 2018, হাইওয়ে A4 ও অন্যান্য কবিতা (L’Autoroute A4 et autres poèmes, 64 p.), trad. Shuhrid Shahidullah, Bhashalipi, Calcutta, Inde.
  • 2018, Обезкостената плувкиня. Легенди от метрополиса (La nageuse désossée. Légendes métropolitaines, 80 p.), trad. Vanina Bozikova, FLB, Sofia, Bulgarie.
  • 2018, Shtëpia me brisque rroje (La Maison en lames de rasoir, 64 p.), trad. Luan Topçiu, Albas, Tirana, Albanie, Prix national de littérature de l’Albanie, dans la catégorie traductions.
  • 2017, রেজর ব্লেডে তৈরি বাড়ি (La Maison en lames de rasoir, 72 p.), trad. Shuhrid Shahidullah, Ulukhar, Dhaka, Bangladesh.
  • 2016, Hiša iz rezil britve (La Maison en lames de rasoir, 64 p.), trad. Barbara Pogačnik, Hyperion, Slovénie.
  • 2016, Fem dikter (Cinq poèmes), édition trilingue (français-suédois-anglais), trad. Hillevi Hellberg pour la version suédoise, trad. Alistair Ian Blyth et Liliana Ursu pour la version anglaise, Littfest, Suède.
  • 2014, De A4 Autoweg en andere gedichten (L’Autoroute A4 et autres poèmes, 64 p.), trad. Jan H. Mysjkin, Poëziecentrum, Belgique.
  • 2011, Bārdasnažu asmeņu nams (La Maison en lames de rasoir, 64 p.), trad. Dagnija Dreika, Daugava, Lettonie.
  • 2010, Къща от бръснарски ножчета (La Maison en lames de rasoir, 68 p.), trad. Aksinia Mihaylova, FLB, Bulgarie.

autres publications

  • Linda Maria Baros a également publié 13 livres d’artiste à profil poétique en collaboration avec des plasticiens français, 2 pièces de théâtre, 2 ouvrages scientifiques, de même que 23 articles scientifiques dans des livres ou des revues de spécialité. Ses poèmes ont été publiés dans 87 anthologies ainsi que dans de nombreux journaux et revues du monde entier. Ses poèmes sont traduits et publiés dans 42 pays.

Traductions – sélection

55 recueils de poèmes, anthologies poétiques, romans – dont 38 titres publiés en français

  • 2023, 5 + 5. Ondes de propagation (5 poètes et 5 plasticiennes), beau livre – anthologie poétique et visuelle (104 p.), choix par Linda Maria Baros et Emilia Persu, traduction par Linda Maria Baros, La Traductière, France.
  • 2023, Andrei Roman, Tu attends un bref transfert de sensations, recueil de poèmes (64 p.), édition bilingue (français-anglais), Éditions Transignum, France.
  • 2022, Le livre de Mircea, Ovidiu Genaru, recueil de poèmes (104 p.), La Traductière, France.
  • 2022, Le faux Dimitrie, Dumitru Crudu, anthologie poétique (96 p.), choix et traduction par Linda Maria Baros, La Traductière, France.
  • 2022, Poeţii care schimbă dona (Les poètes qui changent la donne), anthologie poétique (220 p.), choix et traduction par Linda Maria Baros, Exigent, Roumanie.
  • 2021, Je t’aimerai jusqu’au bout du lit, Daniel Bănulescu, anthologie poétique (84 p.), choix et traduction par Linda Maria Baros, La Traductière, France.
  • 2019, Poèmes, Eleanor Rees, recueil de poèmes (64 p.), édition bilingue (anglais-français), La Traductière, France.
  • 2018, personne n’a jamais ressuscité dans ma ville, Gabriel Chifu, anthologie poétique (88 p.), choix et traduction par Linda Maria Baros, La Traductière, France.
  • 2017, Souterraines, Mircea Bârsilă, anthologie poétique (80 p.), préface, choix et traduction par Linda Maria Baros, La rumeur libre, France.
  • 2017, Poèmes, Meirion Jordan, recueil de poèmes (64 p.), édition bilingue (anglais-français), La Traductière, France.
  • 2016, Larmoire de textes, Hélène Cixous, essais et poésie (256 p.), édition bilingue (français-roumain), trad. Linda Maria Baros pour les poèmes, Éditions Transignum, France.
  • 2013, L’Apocalypse selon Marta, Marta Petreu, anthologie poétique (96 p.), préface, choix et traduction par Linda Maria Baros, Éditions Caractères, France.
  • 2013, Je guéris avec ma langue, Floarea Ţuţuianu, anthologie poétique (80 p.), préface, choix et traduction par Linda Maria Baros, Éditions Caractères, France.
  • 2013, Chaosmos, Magda Cârneci, anthologie poétique (80 p.), traduction par Linda Maria Baros et l’auteur, Éditions de Corlevour, France.
  • 2011, Je mange mes vers/Îmi manânc versurile, Angela Marinescu, anthologie poétique (106 p.), choix et traduction par Linda Maria Baros, édition bilingue, Éditions L’Oreille du Loup, France.
  • 2010, Sans issue/Fără ieşire, Ioan Es. Pop, anthologie poétique (124 p.), choix et traduction par Linda Maria Baros, édition bilingue, Éditions L’Oreille du Loup, France.
  • 2008, Anthologie de la poésie roumaine contemporaine (20 poètes, 144 p.), Linda Maria Baros et Magda Cârneci éd., trad. Linda Maria Baros (17 poètes) et André Cadar (3 poètes), Confluences poétiques, France.
  • 2007, Travaux en vert. Mon plaidoyer pour la poésie, Simona Popescu, recueil de poèmes (108 p.), édition trilingue (roumain-français-allemand), trad. par Linda Maria Baros, Magda Cârneci, Werner Dürsson, Alain Lance, Jean Portante et Lionel Ray, Éditions PHI & Institut Pierre Werner, Luxembourg.
  • 2007, Attention, Tsiganes ! Histoire d’un malentendu, Corina Ciocârlie et Laurent Bonzon éd., publication scientifique (396 p.), édition bilingue (français-allemand), trad. Linda Maria Baros pour la version française, Musée d’Histoire de la Ville de Luxembourg, Luxembourg.
  • 2005, les recueils de poèmes 11 élégies et Une Vision des sentiments dans Les non-mots et autres poèmes, Nichita Stănescu, anthologie poétique (240 p.), Éditions Textuel, France.
  • 2005, Laudă bucătăriei de ţară, Guy Goffette, recueil de poèmes (196 p.), AMB, Roumanie.
  • 2003, L’Évangile selon Jean la Métaphore, Dumitru M. Ion, recueil de poèmes (64 p.), édition bilingue (français-arabe), trad. Linda Maria Baros pour la version française, Naaman, Liban.
  • 2002, rééd. 2004, Un oarecare Plume/Un certain Plume, Henri Michaux, recueil de poèmes (100 p.), édition bilingue, trad. Linda Maria Baros, Alina Ioana Filioreanu et Adrian Cristea, Editura Paralela 45, Roumanie.
  • 2002, rééd. 2004, 2006, N-aş prea vrea ca s-o mierlesc/Je voudrais pas crever, Boris Vian, recueil de poèmes (96 p.), édition bilingue, trad. Linda Maria Baros et Georgiana Banu, Editura Paralela 45, Roumanie.
  • 1999, Piciul, Alphonse Daudet, roman (336 p.), Tedit FZH, Roumanie.

Interventions publiques

  • Linda Maria Baros a participé à 105 festivals de poésie dans 27 pays ainsi qu’à de nombreux salons européens du livre.
  • Plus de 1.000 lectures et débats littéraires sur 5 continents.
  • Parallèlement, elle a soutenu 6 conférences plénières et a présenté des communications dans le cadre de 5 congrès et de 26 colloques internationaux.

Prix littéraires – sélection

  • 2021, Grand Prix de Poésie de la Société des Gens de Lettres pour La nageuse désossée, Le Castor Astral, 2020.
  • 2021, Prix francophone international du Festival de la poésie de Montréal pour La nageuse désossée, Le Castor Astral, 2020.
  • 2021, Prix Rimbaud de la Maison de Poésie de Paris pour La nageuse désossée, Le Castor Astral, 2020.
  • 2007, Prix Apollinaire pour La Maison en lames de rasoir, Cheyne éditeur, 2006.

2004, Prix de la Vocation – prix de poésie accordé par la Fondation Marcel Bleustein-Blanchet pour Le Livre de signes et d’ombr

Poèmes choisis

Autres lectures