Enseignant le français et la philosophie, l'activité à laquelle s'adonne Jean-Yves Guigot sur le plan existentiel est la quête de l'unité. L'écriture poétique est le lieu expérimental où se mêlent la vie et l’œuvre à naître, et les recueils, ainsi que ce vers quoi il tend, sont tournés vers cette quête. Le site lenchassement.com participe de cette expérience à travers tous les arts et les modes d'écriture.
Xavier Grall : Lisière d'un voleur de feu, éd. Blanc Silex, 1998.
Par delà le Voile Illuminé, éd. Blanc Silex, 1999.
La Traversée du silence, Douro, 2023.
Poèmes choisis
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Claire Lajus
Claire Lajus est poète, traductrice du turc, créatrice et animatrice de la revue en ligne Ayna, promouvant la poésie turque contemporaine (www.revueayna.com).
Elle enseigne actuellement le français et la traductologie à l’Université d’İstanbul, Turquie.
Elle écrit essentiellement de la poésie, mais aussi des nouvelles et un roman est en cours d’écriture.
Bibliographie
Ses poèmes ont été publiés dans diverses revues (Nouveaux Délits, Soleils&Cendre, Traction-Brabant, A L’index, La Main millénaire, Verso, In toto…). Elle a publié L’Ombre remue, recueil paru aux éditions La Crypte en 2018 ; Aux Aguets, dans la collection Levée d’ancre, L’Harmattan 2020, préface de Michel Cassir. Une Traversée, sortira chez A-Mars éditions fin 2023 et Aperçus İndisponibles, début 2024 chez les éditions La Crypte.
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Romain La Sala
Romain La Sala, professeur de Lettres, est né à Paris le 14 juillet 1974. De mère française et de père sicilien, il possède la double nationalité. Son état civil dit ainsi un peu de sa vie, une identité plurielle, à la confluence de deux cultures, celle de la liberté et des Lumières, et celle du soleil méditerranéen.
En 2022, il publie sur les réseaux sociaux, sous le nom de plume Vito, des poèmes écrits au jour le jour. Peu à peu se forme un récit poétique : les Chants du quotidien, œuvre qui interroge le temps, le souvenir et la multiplicité de l’individu. S’inspirant de la pensée jungienne, l’auteur, dans le dernier chant, donne la parole à l’âme, « anima » médiatrice entre le poète et le monde.
A présent, il écrit sous le nom de Solal, ami, compagnon de route et critique sceptique du poète Vito.
Bibliographie (supprimer si inutile)
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Emil Iulian Sude
Emil Iulian SUDE est né le 6 septembre 1974, à Bucarest. Il est l’un des premiers poètes primés d’origine rom en Roumanie. Il travaille actuellement de nuit, en tant qu’agent de sécurité dans une école publique tout en poursuivant ses études en romani et en roumain, à l’Université de Bucarest.
Sa poésie lui a valu plus d’une quinzaine de récompenses, dont notamment la première place au concours international de création littéraire et de traduction Bronislawa Wajs, célébrant le centenaire des Roms (1919-2019), ainsi que la quatrième place au concours de manuscrits 2018 organisé par le Centre national de la culture rom Romano Kher en collaboration avec le gouvernement roumain.
Il a fait ses débuts littéraires avec le recueil de poésie Scărarul, Le Confectionneur d’échelles, Éd. Grinta, 2014, avec des références critiques de Nora Iuga.
En 2016, a été publié le recueil de poèmes Chiar nu, Vraiment pas, Éd. Eurostampa, avec des critiques d’Al. Cistelecan, Gabriel Nedelea, Nora Iuga, Ciprian Chirvasiu. Il a été invité à de nombreux festivals et événements culturels organisés par l’Association Direcţia 9. Ses poèmes ont été publiés dans l’anthologie Moștenirea Văcăreștilor, L’Héritage des Văcărești, (2013), ouvrage couronnant le concours éponyme, ainsi que dans des périodiques culturels prestigieux. Les critiques et références dans : Viaţa românească, Steaua, Contemporanul, Vatra, Mozaicul, participation au festival de littérature religieuse de Caraiman, organisé par le journal Ziarul Lumina. En 2018, est paru le recueil de poésie Povești, Histoires, suite à sa participation au concours de manuscrits organisé par le Centre national de culture rom Romano Kehr. La même année lui est décerné le diplôme d’excellence pour sa « contribution remarquable au développement et à la promotion de la culture et de l’identité rom ». Après Rapsodiile unui gelos, Les Rhapsodies d’un jaloux, éditions Rafet, 2022 (le prix du manuscrit et le deuxième prix lors du festival national Alexandru Macedonski), son dernier recueil, paru en 2023, s’intitule Paznic de noapte, Veilleur de nuit. La liste des prix remportés pour des poèmes extraits de Paznic de noapte, Veilleur de nuit est assez conséquente : 1) Prix « George Hanibal Văleanu » au concours littéraire Roșu Vertical, 2001 2) Deuxième prix au concours de poésie « Tradem », 34ᵉ édition, 2012. 3) Troisième prix au concours de poésie « Tradem », 35ᵉ édition, 2013. 4) Prix spécial de la revue Impact cultural [Impacte Culturel] dans la section poésie, au festival Moștenirea Văcăreștilor [L’Héritage des Văcărești], 2013 5) Prix du meilleur premier recueil de poésie au festival Poezia – Oglinda Sufletului [La Poésie – Miroir de l’âme], deuxième édition, 2016 6) Deuxième prix au concours de poésie Andrei Mureșanu, 2016. 7) Deuxième prix au concours national de création littéraire Bronislawa Wajs, 2018. 8) Quatrième place lors du concours de manuscrits soutenu par le gouvernement roumain via le Centre national de la culture rom Romano Kher, et publication du recueil de poésie Povești [Histoires] 2018. 9) Nommé au concours Lidia Vianu Translate, 2018. 10) Premier prix concours national de création littéraire Bronislawa Wajs à l’occasion du Centenaire des Roms 1919-2019 11) Premier au concours Călimara cu cerneală [L’Encrier], organisé par la maison des étudiants de Târgu Mureș, 2019 12) Premier prix au concours Cuvinte [Paroles] 13) Sélectionné au concours Poster X Poem, 2020 14) Deuxième prix en poésie/étudiants au concours « Ocrotiți de Eminescu », 2021 15) Prix spécial au concours Mantaua lui Gogol [Le Manteau de Gogol], 2021 16) Lauréat du concours pour l’obtention d’une place dans « l’atelier de création » soutenu par le musée national de littérature roumaine dans le cadre de la manifestation Zilele Bucureștiului [Les Journées de Bucarest] organisé par Dan Mircea-Cipariu et Florin Iaru
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Jane Johnston Schoolcraft
Jane Johnston Schoolcraft ou Bamewawagezhikaquay ( - ) est la première écrivaine Amérindienne. Elle était d'origine Ojibwé et irlandaise. Son nom amérindien pouvait également s'écrire O-bah-bahm-wawa-ge-zhe-go-qua ce qui signifie « Femme du son [que font les étoiles] en traversant le ciel ». Elle vécut une grande partie de sa vie à Sault Ste. Marie mais aussi sur l'île Mackinac.
Elle écrivit des poèmes et des histoires de la culture Ojibwé. Elle traduisait des chansons de l'Ojibwé vers l'anglais. Ses poèmes étaient en général en anglais bien qu'elle ait écrit des poèmes en langue Ojibwé. Ses œuvres n'étaient pas publiées et concernaient surtout sa vie privée.
Bien plus tard, ses écrits attirèrent pourtant de nombreux étudiants curieux de la littérature et de la culture amérindienne. Elle sera alors reconnue comme la première écrivaine et poétesse Amérindienne.
Bibliographie
The Sound the Stars Make Rushing Through the Sky: The Writings of Jane Johnston Schoolcraft (University of Pennsylvania Press).
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Georges Cathalo
Georges Cathalo est un poète français..Il a passé toute son enfance dans la campagne tarnaise avant de devenir instituteur. Il vit depuis lors à Saint-Vincent, non loin de Toulouse. Il est marié, a deux filles et trois petits-enfants. Il est à la retraite depuis 2003.
Bibliographie non exhaustive
Bestioleries poétiques, illustrations Claudine Goux, éd. les Carnets du dessert de lune, 2015 (essai). La feuillée des mots, éd. Henry, 2014 (poésie). Près des yeux, près du coeur, illustrations Evelyne Bouvier, éd. de la Renarde rouge, 2014 (poésie). Noms communs, deuxième vague, éd. Gros Textes, 2010 (poésie). A l’envers des nuages, éd. Encres Vives, 2009 (poésie). Brèves d’Ovalie, avec Laurent Galès, éd. Chiflet & Cie, 2007 (humour). Quotidiennes pour dire, éd. La Porte, 2007 (poésie). Quotidiennes pour oublier, éd. La Porte, 2006 (poésie). Absurdement vôtre, éd. Mots & Cie, 2006 (poésie). L’échappée, éd. Encres Vives, 2006 (poésie). Noms communs, éd. Gros Textes, 2004 (poésie). Des mots plein les poches, éd. Milan, 2002 (poésie). Carnet des relevés du cadastre poétique, éd. les Carnets du dessert de lune, 2001 (poésie).
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Lara Dopff est née en 1989, elle est diplômée en Arts Dramatiques et en Création Littéraire. Elle est poète, metteur en scène et éditrice. Elle a participé à de nombreux festivals et salons en France et à travers le monde, et intervient dans des Universités (Saint Louis University États-Unis, Université Bretagne Sud, Université de Normandie, Université de Sfax Tunisie). Elle anime des Classes de Maître et ateliers d’écriture de Création littéraire depuis 10 ans. Elle a publié une quinzaine de recueils poétiques, invoquant le corps, la nature, la marche, la musique, l’extinction et l’errance à travers le monde (Grèce, Inde, Iran, Turquie, Sibérie, Amérique). Lara Dopff participe à des recueils collectifs et à des revues (Voix d'encre, Bacchanales Maison de la Poésie Rhône-Alpes, La Volée Rosa Canina Edition). Ses poèmes ont été traduits et publiés en espagnol (El gallo y la serpiente, Poesia francesa actual, trad. A. Hidalgo, Cìrculo de Poesìa) et en anglais (trad. D. Morris).
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Khaled Ezzedine
Chercheur, médecin dermatologue et poète, Khaled Ezzedine est né au centre du Sénégal. Son enfance a été marquée par les dimanches passés dans les îles du Saloum, ce fleuve qui se jette dans l’Atlantique et dessine un réseau de chenaux qui découpent la terre. Il a obtenu le prix de La Crypte en 1995.
Bibliographie
Crépuscule d’eau, éditions de La Crypte (prix de La Crypte 1995) Le Chant des oiseaux de lierre, éditions Encres Vives, 1998 La Saison des pluies, éditions de La Crypte, 2012 loin, éditions de La Crypte, 2022
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Philippe Longchamp
Philippe Longchamp est un poète français, né le à Boulogne-Billancourt.
D'abord ingénieur électronicien (travaillant jusqu'en 1969 au Service de la Recherche de l'ORTFdirigé par Pierre Schaeffer), il fut ensuite et jusqu'à la retraite professeur de lycée dans l'enseignement technique, en banlieue parisienne, puis à la Porte de Clignancourt.
Auteur de volumes de poésies, principalement, mais aussi de récits pour jeunes lecteurs (Aliocha) et de proses (La Compagnie des animaux tièdes et La Photo de mariage).
Une poésie du quotidien, ne boudant pas les formes fixes (alexandrins, et quelquefois rime voire acrostiches).
Dits du coq d'ardoise, Éditions Saint-Germain-des-Prés, 1975
Feux à genoux suivi de Pierres posées pour un gué, Éditions Ressacs, 1979
Aliocha, avec des illustrations de Nicole Pommaux, Éditions d'Utovie, 1981
La Photo de mariage, illustrations de Marie Fougère, Éditions d'Utovie, 1985
Emploi du temps, Éditions Fourbis, 1991
L'Été, calme bleu, Le Dé bleu, 2000
La Compagnie des animaux tièdes, Cheyne Éditeur, 2000
Et dessous le sang bouscule, Cheyne Éditeur, 2003
Des pas de crabe sur du jaune, Cheyne Éditeur, 2004
La ville au Jardin des Latitudes, L'idée bleue, 2004
Soleil pas d'équerre, Cheyne Éditeur, 2008
Des Saisons plutôt claires, Editions L'Idée bleue, 2009
Ici-Loin, Livre sérigraphié par Yves Picquet, Approches éditions, 2010
Sans hâte, un monde [ Le Caire ], Photographies de Michel Durigneux, La Dragonne, 2011
Compressions, concrétions & coulures, La Dragonne, 2011
Saumur, bords de Loire, Éditions Le Chat qui tousse, 2011
Nommer néanmoins, Éditions Milagro, 2022
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Marina Tsvetaïeva
Née en 1892 à Moscou et fille du fondateur de l’actuel Musée Pouchkine de Moscou, Marina Tsvétaïeva est l’un des poètes essentiels et des plus tragiques du XXe siècle russe. Ses premiers recueils sont publiés juste avant et pendant la Révolution (comme ses Poèmes à Blok) et lui valent déjà une grande reconnaissance. Son mari, Serguéï Efron, s’engage dans l’Armée blanche. Après être restée seule à Moscou pendant l’hiver de famine 1920-1921, et après la mort de sa deuxième fille Irina, elle décide d’émigrer, d’abord en Tchécoslovaquie, puis en France.
Marina Tsvétaïéva est, dans la vie comme dans son œuvre, la passion incarnée. Anna Akhmatova dira: « Marina commence par le do le plus haut, et puis elle ne cesse de monter ». Elle pousse la langue à un degré d’intensité et de violence qu’elle est la seule à atteindre. La même passion irradie ses rapports avec ses contemporains et la correspondance qu’elle entretient avec Rainer Marie Rilke (qui lui dédie une de ses Elégies) et Boris Pasternak.
À Paris, vivant dans une misère croissante et s’éloignant de plus en plus des cercles de l’émigration, elle poursuivra une œuvre d’une immense richesse. Son recueil essentiel, Après la Russie, est publié en 1928.
Elle rentre en URSS en 1939, mais Serguéï Efron puis sa fille Ariadna sont arrêtés (Serguéï Efron sera assassiné). Tsvétaïéva, dans la misère absolue, interdite de toute publication, finit par se pendre au début de la guerre, le 31 août 1941, en Tatarie, à Elabouga, où elle a été évacuée avec son fils.
Bibliographie
Indices terrestres
Mon Pouchkine
Nathalie Gontcharova
Histoire de Sonetchka
De vie à vie
Neuf lettres avec une dixième retenue & une onzième reçue
Lettres à Anna Teskova
Quinze lettres à Boris Pasternak
Une aventure, le Phénix
Le Gars
Averse de lumière
Lettres de la montagne & lettres de la fin
Les Flagellantes (1988, trad. et présentation Denise Yoccoz-Neugnot)
Lettres de Marina Tsvétaéva à Konstantin Rodzévitch dont la traduction par Nicolas Struve a remporté une mention spéciale au Prix Russophonie 2008
Les éditions L'Âge d'homme ont également édité plusieurs de ses œuvres :
Le diable et autres récits (1979, trad. V. Lossky)
Ariane (1979)
Le poème de la montagne - Le poème de la fin (1984) [Traduit et présenté par Eve Malleret (1945-1984), traductrice de référence en langue française]
Chez d'autres éditeurs :
Mon frère féminin (Mercure de France, 1979. Texte en français de Marina Tsvetaïeva)
Correspondances à trois (Rainer Maria Rilke-Boris Pasternak-Marina Tsvetaïeva) (Gallimard, 1983. Trad. L. Denis)
Le ciel brûle (Les cahiers des brisants, 1987)
L'art à la lumière de la conscience (Le temps qu'il fait, 1987)
Lettres d’exil (correspondance avec Boris Pasternak) (Albin Michel, 1988)
Histoire d'une dédicace (Le temps qu'il fait, 1989. Trad. J. Kaemfer-Waniewicz)
Le gars (Des femmes, 1992. Texte en français de M. Tsvetaeva)
Poèmes (Librairie du Globe, 1992. Édition bilingue, 254 pages) Traductions H. Abril, G. Larriac, E. Malleret, etc.
Romantika, théâtre (Le Valet de cœur, La Tempête de neige, La Fortune, L'Ange de pierre, Une aventure, Le Phénix), traduit et présenté par Hélène Henry (Éditions Gallimard, Du monde entier, 1998)
Le Ciel brûle, suivi de Tentative de jalousie (Poésie/Gallimard, 1999)
Lettres à Anna (Édition des Syrtes, 2003. Trad. Éveline Amoursky)
Lettres du grenier de Wilno (Édition des Syrtes, 2004. Trad. Éveline Amoursky)
L'offense lyrique et autres poèmes (Éditions Farrago, 2004. Trad. H. Deluy)
Marina Tsvetaeva Boris Pasternak Correspondance 1922-1936 (Édition des Syrtes, 2005. Trad. Éveline Amoursky, Luba Jurgenson - rééd. 2019)
Cet été-là Correspondances 1928-1933 (Édition des Syrtes, 2005. Trad. C. Houlon-Crespel)
Souvenirs (Anatolia, Éditions du Rocher, 2006. Trad. Anne-Marie Tatsis-Botton)
Octobre en wagon (Anatolia, 2007. Trad. Anne-Marie Tatsis-Botton)
Les Carnets (Éditions des Syrtes, 2008, sous la direction de Luba Jurgenson. Trad. Éveline Amoursky et Nadine Dubourvieux)
Œuvres : Tome 1, Prose autobiographique (Éditions du Seuil, 2009)
Œuvres : Tome 2, Récits et essais (Éditions du Seuil, 2011)
Insomnie et autres poèmes (Poésie/Gallimard, 2011)
Mon dernier livre 1940, traduit du russe par Véronique Lossky (Éditions du Cerf, 2012)
Les Poésies d'amour, éditions Circé, 2015. Traduit et présenté par Henri Abril.
Le charmeur de rats (Éditions La Barque, 2017. Trad. Éveline Amoursky). Bilingue
Les Grands Poèmes (Édition des Syrtes, 2018. Trad. Véronique Lossky. Bilingue)
Livres d'artistes
Les Démons, poème d’Alexandre Pouchkine, traduction du russe par Marina Tsvetaeva, collection « Laboratoire du livres d’artiste », 2010
Escalier obscur, traduction française inédite du Poème de l'escalier par Anne Arc, collection « Livre vertical », 2012.
Je voudrais chanter l’escalier argenté (Anne Arc, Barbara Beisingoff, Serge Chamchinov), collection « Sphinx blanc », Granville, 2012
Le Poème de l'escalier, édition vérifiée et corrigée, Éditions Groupe Sphinx Blanc, Paris, 2016
Mise en musique
Six de ses poèmes ont été mis en musique par Dmitri Chostakovitch (opus 143 pour alto et piano en 1973, orchestrés en 1974).
Sofia Goubaïdoulina met en musique L'Heure de l'âme en 1974 pour mezzo-soprano et orchestre à vent, puis en 1984, cinq de ses poèmes réunis en un Hommage à Marina Tsvetaïeva pour chœur a cappella.
Elena Frolova a composé un album guitare-voix mettant en musique dix-huit poèmes de Marina Tsvetaïeva.
D'autre part, le chanteur français Dominique A lui a dédié une chanson, intitulée Marina Tsvetaeva.
Le compositeur Max Richter a mis en musique un poème de Tsvetaïeva dans le titre Maria, the Poet (1913) de l'album Memoryhouse, 2.
La compositrice Ivane Bellocq lui a dédié Je suis Marina T., pour orchestre à plectres, création à Argenteuil le 7 mars 2020 par l’ensemble MG21, direction Florentino Calvo, dans le cadre du projet “7 femmes et +”.
Adaptations dramatiques
Sous le titre Vivre dans le feu, les carnets de Marina Tsvetaïeva ont fait en 2011 l'objet d'une adaptation théâtrale à Lorient sous la direction de Bérangère Jannelle, avec Natacha Régnier dans le rôle de la poétesse. Le spectacle a été repris à Paris au festival d'automne, puis au théâtre des Abbesses.
Les Lunes, pièce de théâtre d'après les œuvres de Marina Tsvetaeva. Adaptation et mise en scène : Isabelle Hurtin. Le spectaclhttp://cieduness.wixsite.com/ness/les-lunese est joué du 7 au à l'Épée de Bois, Cartoucherie de Vincennes.
Hommages
Un entier postal (timbre imprimé sur carte postale) célébrant le centenaire de sa naissance a été émis en 1992 par la Poste soviétique.
Une plaque commémorative a été apposée sur l'ancien pensionnat où elle vécut à Lausanne, ainsi que sur la maison qu'elle habita à Vanves entre et .
En , une statue en bronze de la poétesse, œuvre du sculpteur russe d'origine géorgienne Zourab Tsereteli, a été inaugurée dans la commune de Saint-Gilles-Croix-de-Vie en présence de l'ambassadeur de Russie.
En , le Conseil de Paris a décidé de rendre hommage à Marina Tsvetaïeva en donnant son nom à la bibliothèque Glacière sise rue Glacière dans le 13e arrondissement de Paris.
Le cratère vénusien Tsvetayeva et l'astéroide (3511) Tsvetaeva portent son nom.
Au cinéma
Élégie de Paris : Marina Tsvetaeva (2009), un film documentaire écrit et réalisé par Aleksandra Svinina.
Зеркала (Miroirs) : un film russe (2013) de Marina Migounova retraçant la vie de Marina Tsvetaïeva (avec Viktoria Issakova dans le rôle de la poétesse).