André Chenet

2020-02-04T12:51:23+01:00

André Chenet vit entre Paris et Buenos Aires.

Après avoir longtemps vagabondé, il a com­mencé sur le tard à pub­li­er dans de nom­breuses revues fran­coph­o­nes. Il pub­lie depuis 2006 « Dan­ger Poésie », un blog détourné en « revue de poésie ». En 2004, il a fondé le mag­a­zine de poésie « La Voix des Autres » (sept numéros imprimés parus à ce jour) où se croisent et se traduisent des poètes fran­coph­o­nes et étrangers. Dès le début des années 2000, il a organ­isé de nom­breuses Ren­con­tres poésie dans le Sud-Est de la France (Nice, Antibes). En mars 2012, il a ini­tié  le Fes­ti­val de poésie « Les Fous du Loup », dans le vil­lage de La Colle s/ Loup (Alpes-Mar­itimes). Il a par­ticipé à de nom­breux fes­ti­vals de poésie en France et a représen­té son pays, en tant qu’au­teur de la revue “Les citadelles” de Philippe Démeron, au Fes­ti­val Inter­na­tion­al de poésie de Bratisla­va en Slo­vaquie (2009).  De 2011 à 2014, il a fait par­tie du Comité de lec­ture du site fran­coph­o­ne Fran­copo­lis. Il fut mem­bre d’hon­neur et con­seiller de la revue Con­ver­gence. Il a écrit et inter­prété plusieurs « non-spec­ta­cles » de poésie sous forme de per­for­mances inti­t­ulées « dans le corps du poème ». A par­tir de 2016, il a organ­isé des Ren­dez-vous poé­tiques à Paris au Cri du Singe (Mon­treuil) à La Vache Bleue (Paris 19e) et des lec­tures à Tilleul Presse (Paris 18e)… En avril 1917, avec la poète et danseuse de tan­go Aurélie Ondine Men­ninger, il a ini­tié le Fes­ti­val itinérant « Poe­sia en la piel » (La Poésie dans la peau) à Buenos Aires et Paris (2019). 

Plusieurs de ses poèmes ont paru dans des revues inter­na­tionales et ont été traduits en anglais, castil­lan, por­tu­gais, ital­ien, arabe, kabyle et slo­vaque  et en japonais.

« Je ne con­nais rien de plus beau que ces émo­tions qui me tra­versent de part en part, me don­nant le sen­ti­ment pro­fond d’être un voyageur tra­ver­sant un ter­ri­toire sacré où s’en­ten­dent des présages boulever­sants dans l’in­fini­tude de l’in­stant. C’est peut-être pour cela que j’écris de la poésie (l’ac­tion péné­trante du non-agir), parce que cha­cun de mes pas me porte à aimer plus fort en dépit des dis­so­nances et des man­ques me harce­lant sans cesse, en dépit des souf­frances sans fond qui sont le lot quo­ti­di­en du plus grand nom­bre dont je me sens indéfin­i­ment sol­idaire et je ne trou­verai aucun repos — sinon la mort — tant que des enfants mour­ront de faim, que des femmes seront sac­ri­fiées, que des armées bom­barderont des peu­plades inno­centes… » André Chenet

Dernières paru­tions: « Au cœur du cri » (Les Voleurs de feu éd., 2010), « Secret poème » (Éd. Chemin de plumes, 2013.). 

À paraître : Mélu­sine réen­chan­tée (en édi­tion bilingue, français/espagnol), « Exil de la poésie », suivi de « Les brasiers de l’aube », « Dans le corps du poème ».

 

Bib­li­ogra­phie (sup­primer si inutile)

Autres lec­tures

Aller en haut