Alain Morinais

Par |2018-08-17T08:25:43+02:00 16 août 2018|

Mem­bre de la Société des Poètes Français ; de Poètes Sans Fron­tières ; de l’as­so­ci­a­tion “Le Cap­i­tal des Mots” ; des “Flammes Vives”.

Prix du Ter­roir 2018 (Prix de poésie MARIE NOËL) attribué à “La Lumineuse aux par­fums de couleurs” ;Lau­réat des Prix de poésie 2017 de la Société des Poètes Français, Diplôme d’Hon­neur pour “Réso­nances” ; Lau­réat du Grand Prix d’au­tomne 2016 de Short Édi­tion ; Flamme de bronze 2015 des Flammes Vives de la poésie

 

En 2006, j’en­tame l’écri­t­ure des Laboureurs d’e­spoirs, présen­té par épisode sur le site histoire-genealogie.com.

En 2008, Chem­ine­ments édi­tions pub­lient, à compte d’édi­teur, cette fic­tion doc­u­men­taire met­tant en scène les Mori­nays et les laboureurs bre­tons vivant leur Révo­lu­tion au jour le jour en 1789.

En 2009, j’en­gage l’écri­t­ure du roman de Céline, inter­rompue par le can­cer de l’amour de ma vie. Elle insiste et me fait promet­tre d’aller au bout quoiqu’il arrive. J’achève Au prix du silenceen 2012, trop tard pour qu’elle puisse le lire inté­grale­ment. Imprimé par Édilivre à 100 exem­plaires qui res­teront oubliés dans un carton.

En 2015, je m’at­taque à mes lam­beaux de mémoire qu’elle voulait tant me voir écrire, et c’est en mai 2016 que j’achève Le chemin mène à demain, imprimé sans édi­teur pour mes enfants. Une fresque per­son­nelle voulue par celle qui partagea l’essen­tiel du chemin sachant qu’il mène à demain sans jamais en con­naître la fin.

En 2016, je suis admis à la Société des Poètes Français sur présen­ta­tion de trois recueils de poèmes imprimés pour mes besoins per­son­nels. Je me plais à décou­vrir une forme d’écri­t­ure qui me comble.

En 2017, je fais imprimer “Réso­nances” et “Réso­nances (ampli­fiées)” pour par­ticiper à des con­cours littéraires.

En 2018, à la veille d’une abla­tion de la thy­roïde, atteint d’un can­cer, je fais imprimer une antholo­gie per­son­nelle (inté­grale de 2009 à 2018) pour mes enfants.

 

Je suis né en 1946, à Sartrou­ville (78) ; en 1968 je suis Directeur des restau­rants des per­son­nels Hotchkiss-Brandt ; 1970 Directeur Com­mer­cial d’In­ter­co — Branche restau­ra­tion col­lec­tive de la Com­pag­nie Européenne de Dis­tri­b­u­tion ; 1974 Directeur Général-Adjoint de la Société Cen­trale de Restau­ra­tion (Inter­co-GFR) ; 1983 Directeur du Développe­ment du Cen­tre Français de Restau­ra­tion ; 1985 Directeur Général du Groupe Hen­ri Azue­los ; 1988 Prési­dent-Directeur Général fon­da­teur de Stra.TJ Restau­ra­tion jusqu’en 2008.

 

 

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