Clau­dine Bohi, lau­réate du prix Mal­lar­mé 2019.

 

Le 7 juin les mem­bres de l’A­cadémie Mal­lar­mé se sont réu­nis et ont attribué à par­tir de la sélec­tion finale établie le 12 avril le prix Mal­lar­mé à Clau­dine Bohi pour son recueil Naître c’est longtemps, paru en 2018 aux édi­tions La Tête à l’en­vers

La sélec­tion finale était la suivante :

André-Louis Aliamet, Les Eaux Noires, La Licorne, 2018
Clau­dine Bohi, Naître c’est longtemps, la tête à l’envers, 2018
Max de Car­val­ho, Le Grand Veneur des âmes, Arfuyen, 2019
Marie Murs­ki, Ailleurs jusqu’à l’aube, Les Hommes sans épaules, 2019
Cécile Oumhani, Mémoires incon­nues, La tête à l’envers, 2019
Mar­i­on Richard, Désir­er danser, Édi­tions de Cor­levour, 2019
Pas­cal Riou, D’âge en âge, Édi­tions de la revue Con­férence, 2018
Jean-Pierre Siméon, Lev­ez-vous du tombeau, Gal­li­mard, 2019
Jean-Pierre Val­lot­ton, Orphe­lins de l’orage, L’Atelier du Grand Tétras, 2018
Thomas Vin­au, C’est un beau jour pour ne pas mourir, Le Cas­tor Astral, 2019

Le prix Mal­lar­mé, doté par la ville de Brive, est le plus ancien prix de Poésie française. Il sera remis en novem­bre 2019, dans le cadre du Salon du livre de Brive, avec le sou­tien bien­veil­lant de la ville de Brive. Le recueil Le Grand Veneur des âmes de Max de Car­val­ho a égale­ment obtenu plusieurs voix, note l’A­cadémie Mallarmé.

 

A pro­pos de Clau­dine Bohi sur Recours au Poème :

Un arti­cle de Mar­i­lyne Bertoncini

Un fil de lec­ture de Lucien Wasselin

Clau­dine Bohi, Naître c’est longtemps, 
édi­tions La Tête à l’en­vers, 2018, 16€.