Leïlah Beai­ni-Yam­mine vit en Ile-de-France où elle s’est instal­lée il y a sept ans. Née dans une petite ville du Liban Nord, elle a pub­lié poèmes, arti­cles, et réc­its dans des jour­naux et mag­a­zines locaux, au Liban puis plus tard aux Etats-Unis où elle enseignait, ani­mait des groupes de lec­ture et fai­sait de la traduction.

Depuis quelques années, elle écrit surtout de petits réc­its et de la poésie, his­toire d’allumer un petit feu, une musique. De lus­tr­er une nos­tal­gie. de rassem­bler les débris d’un monde dont le sol trem­ble et les murs s’écaillent, lais­sant les humains en tête à tête avec l’infini de leur soli­tude ter­restre où pousse par­fois comme une fleur, une gerbe de mots, une œuvre d’art, un poème.

Poèmes choi­sis