Thierry Le Pennec est né en 1955 dans la région parisienne. Il vit dans les Côtes d’Armor. Il est agriculteur et jardinier. Il reçoit le prix de poésie 2005 de la Ville d’Angers.
Poèmes choisis
Poèmes choisis
Autres lectures
Autres lectures
Les jumeaux
Les jumeaux sont Du même cru Ils sont un Bien que deux La différence entre Un Et deux Va savoir Je le dis Sans Calcul Et fais l’économie De l’addiction A la division […]
Échonomie
Juste une pièce De la vaste monnaie De l’histoire virgule Cédille Dans la large antiphrase De l’existence Et tout l’effort Sur la page de la vie Pour n’être au mieux Qu’une grosse coupure […]
Cactus
Que peut le cœur Du poète Face à la toile D’une gouache Trouble Il prend le pinceau De l’oubli Et à la javel Des pleurs Se refait le portrait O bel enfant Dis-moi […]
La femme Polyandre
Les pavés de ma rue Ont la marche Des matins Atones Un rien aphone Sur le sol Désaccordé De ma portée Le malheur M’a‑t-on dit Est une femme Polyandre Jamais deux Sans trois […]
Sursis
Dans son sac Babel Enlace Plusieurs tours Des jumelles Des télescopées De la monnaie Une langue de bois Et plus d’un arc-en ciel Chantant des cieux D’un même bleu Au dessus De toutes […]
Terre à Ciel
Entretien de Gwen Garnier-Duguy par Matthieu Gosztola http://terreaciel.free.fr/arbre/gwengarnierentretien.htm
Le Rêve, l’ombre et la vision
On inscrit généralement Manner parmi les poètes Modernistes finnois, mouvement qui a émergé après la seconde guerre mondiale, dans un pays où la poésie écrite est récente. Les Modernistes préconisaient l’abandon de la rime, […]
Souffles nomades
Il y a des voix qui n’ont pas besoin d’un lent cheminement pour entrer en résonance. Elles éclatent soudain dans leur singularité, et défient alors toutes les tentations des faiseurs de mots arrondis. […]
NINA ŽIVANČEVIĆ
LECTURE et Signature du recueil de poèmes L’amour n’est qu’un mot (traduit par Ljiljana et Raymond Fuzellier, préfacé par Jean- Pierre Faye) Editeur : Philippe Tancelin, Dessins d’Agata Siecinska Lecture et présentation […]
S’ils te mordent, Morlay ! (3)
L’épopée : notre plus grande filiation