Thierry Le Pennec

2018-12-22T06:12:27+01:00

Thier­ry Le Pen­nec est  né en 1955 dans la région parisi­enne. Il vit dans les Côtes d’Armor. Il est agricul­teur et jar­dinier. Il reçoit  le prix de poésie 2005 de la Ville d’Angers.

Poèmes choi­sis

Autres lec­tures

Qu’est devenu le temps

  Qu’est devenu le temps où tu par­lais aux moineaux, à la petite lune qui écrivait sur l’eau trem­blante mille fois ton nom et tu le savais et c’était toi.   Extrait de Secondes, […]

Aujourd’hui encore, parfois

  Aujourd’hui encore, par­fois, tu peux avec la clef d’un sim­ple trèfle ouvrir le monde.   Extrait de Sec­on­des, tra­duc­tion Marie-Cécile Fauvin

Jours de grand froid

  Jours de grand froid. Sans poêle ni cig­a­rette. D’une allumette ils ont mis le feu à leurs man­u­scrits et leur mort a resplen­di.   Extrait de Sec­on­des, tra­duc­tion Marie-Cécile Fauvin

Nous revenons à ce que nous avons quitté

  Nous revenons à ce que nous avons quit­té, à ce qui nous a quit­té. Dans nos mains un tas de clés, qui n’ouvrent ni porte ni tiroir ni valise – nous les faisons […]

Régis Lefort

Régis Lefort est l’au­teur de Des matins fous d’é­ten­due de désert et de mer pub­lié dans la col­lec­tion Poèm(e) des édi­tions Nu(e) en 2011. Il est égale­ment l’au­teur de poèmes pub­liés dans les revues […]

Elle, Vallongue

        cet art que tu portes dans la voix et offres     de ren­dre sim­ple et légère la vie     cet art incer­tain que la mort ensauvage     langue pre­mière et désaccoutumée […]

Nageur enclume

     chaque jour    un jour    une absence    des oursins posés    dans les yeux    l’arc et la voûte    se retrou­vent pris    dans l’en­clume de vivre un […]

Elisa Biagini

Elisa Biagi­ni lives in Flo­rence, Italy after hav­ing taught and stud­ied in the U.S. for sev­er­al years. Her poems have been pub­lished in sev­er­al Ital­ian and Amer­i­can reviews and antholo­gies. She has pub­lished 6 […]

Don’t talk with strangers

  Grand-mère, main de loup,             ouvre ta voix, ouvre ma gorge pour me bour­rer encore mieux de nour­ri­t­ure, pour user mes cordes à linge,            pour faire de moi une arus­picine : et […]

dans cette lumière jaune

  dans cette lumière jaune de fièvre, d’ac­ci­dent, tu recueilles mes cheveux comme des champignons tu véri­fies un par un, comme s’ils étaient encore vivants, les yeux qui m’en­vahissent comme des majus­cules. (ici le […]

Sommaires

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