Thierry Le Pennec est né en 1955 dans la région parisienne. Il vit dans les Côtes d’Armor. Il est agriculteur et jardinier. Il reçoit le prix de poésie 2005 de la Ville d’Angers.
Poèmes choisis
Poèmes choisis
Autres lectures
Autres lectures
Jean-Paul Michel, “Autour d’eux, la vie sacrée…”
« Autour d’Eux la vie sacrée, dans sa fraîcheur émouvante … » ou Jean-Paul MICHEL et le Partage « […] celui qui, plus encore qu’il aime, aime aimer » (p.18) Avec quelle obstination Jean-Paul MICHEL ressuscite […]
Michael Edwards, “Paris Aubaine”
Michael Edwards est né en Angleterre en 1938. Mi février 2013, il a été élu membre de l’Académie Française. Professeur au Collège de France (chaire de poétique), il a développé une œuvre s’ouvrant sur […]
Traces d’instants et de toujours
Il arrive que le « reportage » se dégage du simple témoignage pour devenir une œuvre poétique au sens plein. La vie (si l’on ose dire) se donne à nous. Andoche Praudel — comme […]
20ème anniversaire de « Il fait un temps de poème »
Dans le cadre du Printemps des poètes et des Hivernales de LANNION, 20ème anniversaire des rencontres littéraires « Il fait un temps de poème » du mardi 19 mars au samedi 23 mars 2013 […]
Revue Phoenix
La revue PHŒNIX attribue chaque année le prix de poésie Léon-Gabriel Gros. Il récompense le manuscrit poétique d’un écrivain français ou étranger (traduit en français). Le lauréat du prix verra son œuvre publiée par la revue PHŒNIX sous […]
Adonis ou l’épopée contemporaine
En forme de réponse à Christophe Morlay
The four great loves of Gerard Manley Hopkins
Gerard Manley Hopkins was a man of intense passion and intense loves, and he can best be understood, perhaps, by probing his four great loves. But first it helps to know a bit about […]
Jacques Simonomis
Une bonne présentation biographique ici : http://www.leshommessansepaules.com/auteur-Jacques_SIMONOMIS-121–1‑1–0‑1.html une bibliographie ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Simonomis
Voici les larmes
Voici les larmes la robe du silence se déchire les souliers cognent les pavés les volcans grondent les derniers poings tendus sont broyés par nos chars Une grosse fanfare écrase vos chansons […]
Marche rivée
Marche rivée le cercle noir de nos poings blancs bronze du cœur restant aux images qui bougent les fusils en faisceaux prient sur notre misère Dehors les loques des enfants s’accrochent à […]