Esther Tellermann, Choix de poèmes, Annie Dana, Tremblement des jours

Par |2025-05-24T11:20:36+02:00 24 mai 2025|Catégories : Annie Dana, Critiques, Esther Tellermann|

L’exigence poé­tique d’Esther Tellermann

Esther Teller­mann est la maîtresse en poésie d’un imag­i­naire par­ti­c­uli­er. Il mêle les élé­ments de la psy­ché per­son­nelle de la créa­trice à divers sym­bol­es en un long poème qui n’a plus rien à voir avec un brou­et dis­pendieux qui ramèn­erait le texte à une aut­ofic­tion. Se pénètre un monde labyrinthique et gnomique fait d’un lan­gage abrupt et sans con­ces­sion. Ce long poème réu­nit le chant et ses frac­tions au sein d’une voix intérieure qui sem­ble tou­jours sur le point de se cass­er. La poétesse évite tous les effets là où l’ésotérisme donne à l’intimité une face nou­velle. A tra­vers elle Esther Teller­mann ouvre des inter­ro­ga­tions là où elle feint d’offrir que des états de constatation.

Dans cette « antholo­gie » chronologique, elle se nour­rit de l’instant de l’écriture fondé sur un passé présent et col­lec­tif. Elle lorgne vers un inces­sant avenir dans lequel la ques­tion de l’identité reste une énigme. Cet advenir demeure avant tout spir­ituel : l’âge venant la poétesse trou­ve une sagesse et un par­don. Les échanges de l’altérité pousse à un nou­v­el accord. Le corps, la terre n’y sont pas oubliés, mais les deux devi­en­nent en con­nex­ions avec un monde de la « dif­fer­ance » (comme écrivait Derrida).

Sor­tant du con­texte de la quo­ti­di­en­neté ses livres dans sa propen­sion onirique devi­en­nent une var­iété de spécu­la­tion. Ils per­me­t­tent de retrou­ver l’être pro­fond voué à un non-savoir et une attente per­pétuelle. La poésie est une manière de cass­er l’attente, elle se revendique  comme action et propédeu­tique : « écoutez / ce qui vibre / et gagne / altère / la race / ral­lie / la horde / dérobe la / réponse / et nous / sus­pend / à l’air”. Preuve que cette action n’est pas sim­ple et que le lieu de poème demeure une inci­ta­tion au retour à soi dans l’appel à l’autre comme com­plé­ment de son identité.

Esther Teller­mann, Choix de poèmes, Edi­tions Unes  2025. 120 pages, 13 €.

Ce choix de poèmes par Esther Teller­mann défend une poésie qui n’a rien de rou­tinière ou d’arbitrairement « imageante ». Et ce livre impres­sionne par sa rigueur et sa richesse gnomique. Sa force par­le au plus pro­fond au sein même d’un onirisme doux. La poétesse ne se refuse pas aux érup­tions de l’affect mais ne s’y lim­ite pas. Existe  une dis­tor­sion cap­i­tale : l’œu­vre s’ar­rache à une forme d’émotion

Divers­es organ­i­sa­tions se relayent et s’op­posent au sein de ce livre.  Des séries de vari­a­tions  et d’adjonctions dérangent les  repères cérébraux. La forme est intéri­or­isée au moment même où elle gicle de manière “physique”. Elle  dément l’or­dre des choses mais aus­si le chaos, l’or­gan­ise pour lui don­ner un sens. En résumé , Esther Teller­mann sait que le monde ne s’adapte pas au poème pas plus que ce dernier se laisse couler dans les choses  vues. La créa­trice ne cherche jamais à ras­sur­er par une sim­ple har­monie. Son esthé­tique et éthique répand une poé­tique habitée inédite. Et une telle créa­trice méta­mor­phose tout ce qu’elle saisit.

∗∗∗

Annie Dana et la force qui va

Annie Dana  est de celles qui tirent les rideaux mais non les grossières ficelles.  Son monde se récon­forte dans une étrangeté qui le sépare de celui qu’on nomme vraisem­blable ou réal­ité. Elle grat­te les don­nées, revient  vers l’enfance où « inno­cence et cru­auté sont insé­para­bles » mais nous rap­pel­lent «qu’il faut grandir / Dans la vio­lence écar­late / Pour savoir enfin renoncer ». 

Une telle poétesse fondée sur son expéri­ence et sa quête ini­ti­a­tique affronte des falais­es, lan­cent ses échos mais sans qu’elles ou ils  débaroulent sur elle.  De l’existence, Annie Dana déplie des raisons : en véri­ta­ble poétesse dont le sens ne tourne jamais tel un moulin et pour rien. 

A sa manière Annie elle  ne red­oute pas le ton­nerre. Elle ouvre son univers sans se préoc­cu­per du reste. Il faut y entr­er non sur la pointe des pieds pour ne rien déranger.  En con­séquence un tel tra­vail poé­tique réveille non les morts mais les vivants. Elle se donne du courage mais aus­si aux astres sans for­cé­ment dégrafer son corsage.

Sa sil­hou­ette peut tra­versent en robe légère l’été avant que tout som­bre dans la gri­saille sous un dédale noc­turne où cer­tains corps sont meur­tris. Mais nul n’en saura plus. Reste la source du pre­mier ver­tige.  Seule l’eau en con­nait les secrets. Les enfants étaient ce qu’ils étaient mais ont-ils  déjà  tout vu, tout enten­du, tout subi main­tenant ? Et est-il ter­miné de tous les con­tes de fées ? 

Com­ment savoir désor­mais qui est qui ? Qui voit ?  Qui est là ? Où sont les autres ?  Un dia­ble a fait l’affaire peut-être. Mais la créa­trice s’en soucie. Et ses mots le démasquent. Elle déplie encore son secret par déboîte­ment mais pas de sornettes. 

Annie Dana, Trem­ble­ment des jours, coll. Ficelle & Plis Urgents, Edi­tions Vin­cent Rougi­er, 2025, 48 p., 13 €.

Existe là un monde tel­lurique. Les ombres rebondis­sent. On croît pou­voir leur don­ner des ordres.  Mais si les fan­tômes ne changent pas une telle femme se prend en main,  elle aise au besoin les autres pour leur indi­quer où aller.

Une telle poésie insurgée habite non seule­ment le monde mais le cos­mos. Si l’angoisse nour­rit sa dou­ve, la semence du ciel devient une haie vive. Par­fois une poupée y  joue. Le doigt d’une fée y décrit son cercle.

Présentation de l’auteur

Esther Tellermann

Textes

Esther Teller­mann est une poètesse et psy­ch­an­a­lyste française.  Elle reçoit le Grand prix de poésie de l’A­cadémie française pour Pre­mière appari­tion avec épais­seur en 1986, le prix François-Cop­pée de l’A­cadémie française pour Guerre extrême en 2000 et le prix Max-Jacob pour Sous votre nom en 2016.

© Crédits pho­tos La pierre et le sel.

Bib­li­ogra­phie 

Poésie

  • Pre­mière appari­tion avec épais­seur, Flam­mar­i­on, 1986, rééd. 2007, Grand prix de poésie de l’A­cadémie française (1986).
  • Trois plans inhu­mains, Flam­mar­i­on, 1989.
  • Dis­tance de fuite, Flam­mar­i­on, 1993.
  • Pangéia, Flam­mar­i­on, 1996.
  • États d’ur­gence, ill. de Jean-Claude Le Gouic, Area 1999.
  • Guerre extrême, Flam­mar­i­on, 1999, prix François-Cop­pée de l’Académie française (2000).
  • Du Dit jamais, Les Cahiers de la Seine, 2002.
  • Men­tal ground, traduit du français par Kei­th Wal­drop, Burn­ing Deck, Prov­i­dence, 2002.
  • Encre plus rouge, Flam­mar­i­on, 2003.
  • Une odeur humaine, Farrago/Léo Scheer, 2004 (réc­it).
  • Terre exacte, Flam­mar­i­on, 2007.
  • Voix à rayures, Poliphile, 2009.
  • J’é­tais pleine d’e­spoir…, Fis­sile, 2010.
  • Con­tre l’épisode, Flam­mar­i­on, 2011.
  • Le Troisième, Édi­tions Unes, 2013.
  • Car­nets à bruire, Edi­tions de La let­tre volée,2014.
  • Nous ne sommes jamais assez poète, Edi­tions de la let­tre volée, 2014 (essai).
  • Avant la règle, Fis­sile, 2014.
  • Un point fixe, Fis­sile, 2014.
  • Sous votre nom, Flam­mar­i­on, 2015, prix Max Jacob (2016).
  • Racine, ill. de Jean-Gilles Badaire, Édi­tions Unes, 2015.
  • Éter­nité à coudre, Édi­tions Unes, 2016.
  • Pre­mière ver­sion du monde, Édi­tions Unes, 2018 (réc­it).
  • Un ver­sant l’autre, Flam­mar­i­on, 2019.
  • Corps rassem­blé, Édi­tions Unes, 2020.

Livres d’artistes

  • État d’ur­gence, avec trois pein­tures orig­i­nales de Jean-Claude Le Gouic, Néo/Aréa-Alain Avi­la, 1999.
  • Du dit jamais, avec une encre orig­i­nale de Philippe Hélénon, Les Cahiers de la Seine, 2002.
  • Nag­garkot, œuvre d’art rassem­blant des extraits de Guerre extrême d’Es­ther Teller­mann et des travaux de Béa­trice Casadesus, série des Livres Uniques, exposée à la galerie Romag­ny (Paris IVe), en mai 1997, puis à la rétro­spec­tive « Béa­trice Casadesus », Mai­son des Arts de Malakoff, en 2002.
  • Épis­sure, Esther Teller­mann et Béa­trice Casadesus, Le Livre pau­vre, Daniel Leuwers.
  • Un monde dou­ble, livre d’artiste (en col­lab­o­ra­tion avec Marie-Claude Bugeaud et Thier­ry Le Saëc), édi­tions de La Canopée, 2019.

Livres collectifs sous la direction d’Esther Tellermann

  • La Pas­sion Artaud, (La Céli­bataire, numéro 29, EDP Sci­ences, 2015).
  • Michel Deguy, Exer­ci­ces de con­trar­iété, (édi­tions Her­mann, 2017).
  • Bernard Noël, L’ex­péri­ence extérieure, (édi­tions Her­mann, 2018).
  • François Rouan, Les cahiers de Laver­sine, (édi­tions Her­mann, 2020).

Poèmes choi­sis

Autres lec­tures

Présentation de l’auteur

Annie Dana

Exilée d’Algérie, pays qui demeure pour moi une référence majeure, j’ai entamé des études supérieures de Philoso­phie à la Sor­bonne avant d’entreprendre une car­rière de comé­di­enne au Con­ser­va­toire Nation­al puis à la Comédie Française.
J’ai assuré régulière­ment la mise en scène de spec­ta­cles et, après l’obtention du Cer­ti­fi­cat d’Aptitude à l’Enseignement de l’art Dra­ma­tique, enseigné pen­dant 8 ans en Con­ser­va­toire de région où j’ai pré­paré de nom­breux élèves à l’entrée des Con­cours nationaux.
Entre temps, écrire s’était imposé comme une révo­lu­tion, une néces­sité de tra­vers­er les inter­dits, un ques­tion­nement per­ma­nent sur les bar­rières internes de l’individu et l’ambivalence des gen­res. Depuis plus de 20 ans, j’ai pour­suivi ma recherche en expéri­men­tant cette inter­ro­ga­tion sous de mul­ti­ples formes poé­tiques, romanesques ou théâ­trales. Mon inspi­ra­tion puise aux sources du rêve, du fan­tasme et de l’autobiographie. En écho à mon expéri­ence théâ­trale, la scan­sion et la poten­tial­ité orale d’un texte s’imposent comme un fac­teur déter­mi­nant, ce qui a per­mis à la plu­part des miens d’être adap­tés et dif­fusés sur France Culture.
Par­al­lèle­ment, j’anime depuis 15 ans des Ate­liers d’écriture et de lec­ture, avec une prédilec­tion pour les milieux sen­si­bles et le monde carcéral.

Bibliographie

2003 — 2004 
– Ecri­t­ure d’un roman de groupe, Rouge mémoire avec Michel Host, Jean Claude Bologne, Alain Absire, Jean Luc More­au, Denis Borel.
2001 — 2005
– Pub­li­ca­tion de nou­velles dans plusieurs revues : Nou­velle Donne, La Barbacane… 
2000 — 2002 
– Les con­tes de la rue Per­raul, roman de groupe, Edi­tions Online
1991 De Pon­toise à Osny, Ecri­t­ure et tour­nage d’un doc­u­men­taire sur le milieu péni­ten­ti­aire (Min­istère de la Justice).
1986
– Odysséa, pièce de théâtre, dif­fusée sur France Cul­ture au « Nou­veau Réper­toire Dra­ma­tique », réal­i­sa­tion Eve­lyne Fremy
1983 
– L’Oracle inver­sé, roman (Edi­tions Rup­ture) dif­fusé sur France Cul­ture dans l’émission « Un livre, des voix ».
1982 
– Eblouie, fic­tion (Edi­tions Rup­ture) représen­tée à Théâtre Ouvert, dif­fusée sur France Cul­ture dans l’émission « Ecri­t­ure de femmes ».

Poèmes choi­sis

Autres lec­tures

Annie Dana, Le deuil du chagrin

Après L’usure du cha­grin paru en 2022 chez le même édi­teur, en voici le deuil. On pour­rait voir dans ce poème le réc­it d’une réso­lu­tion, sachant que ce mot com­porte deux ver­sants : on […]

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Jean-Paul Gavard-Perret

Jean-Paul Gavard-Per­ret est un poète, cri­tique et maître de con­férences en com­mu­ni­ca­tion à l´Université de Savoie. Doc­teur en lit­téra­ture, J.P. Gavard-Per­ret enseigne la com­mu­ni­ca­tion à l’Université de Savoie à Cham­béry. Il est mem­bre du Cen­tre de Recherche Imag­i­naire et Créa­tion. Il est spé­cial­iste de l’Image au XXe siè­cle et de l’œuvre de Samuel Beck­ett. Il col­la­bore à de nom­breuses revues dont Pas­sage d’encres, Les Temps Mod­ernes, Esprit, Ver­so Art et Let­tres, Champs visu­als et Com­mu­ni­ca­tion et Lan­gage. Il a pub­lié une quin­zaine de livres, de textes brefs ou d’essais. Pub­li­ca­tions Fic­tions et textes brefs Toile Peinte, Argo, Lau­sanne, 1976, (Sous le pseu­do­nyme d’An­nie Renaud). Dans ses gestes, l’At­tente, L’In­cer­tain, Paris, 1991. La Par­ti­tion, Garenne, Lyon, 1991. La Répéti­tion, La Demeure, Cour­taud, La Souter­raine, 1992. Ici en l’ob­scur, Ecbo­lade, Nœux, 1993. Comme un voy­age, Édi­tion Philippe Morice, 1° édi­tion 1993, 2e édi­tion revue, 1994. Le jour où j’ai tué Papa, Exquis-Cadavres, Vir­gin-Cal­man-Lévy. Paris, 1995. L’Œil du Cyc­lope, en col­lab­o­ra­tion avec le graveur Marc Pessin, La Main Courante, La Souter­raine, 1995. Le jardin des délices, Le flâneur des deux rives, Juvinas, 1996. Art, Légende, Réal­ité, Bar­ré-Dayez, Paris, 1996. Douce, tech­nique­ment. en col­lab­o­ra­tion avec le pein­tre Mar­cel War­men­hoven, Ecbo­lade, Nœux, 1996. Le froid, Édi­tions La Dérive, Verviers, 1996. Néces­saire sac­ri­fice aux étoiles, Édi­tions le Givre de l’É­clair, Troyes, 1998. Généalo­gie véni­ti­enne, Rafael de Sur­tis, Chèvres, 1998. L’Araignée de feu, Édi­tions du Non Ver­bal, Bor­deaux, 1998. Draw­ing by embers, La Main Courante, La Souter­raine, 1998. Trois faces du nom, L’Har­mat­tan, Paris, 1999. Venise, Édi­tions de L’Heure, Pry, Bel­gique, 1999. Le cycle des van­ités, Édi­tions Pier­ron, Sar­reguem­ines, 1999. Pas­sager de sa pluie, Édi­tions de l’Heure, Pry-lez-Wal­court (Bel­gique), 2000. Demain, hier, Édi­tions on @ faim, Saint Éti­enne de Rou­vray, 2001. Cielle, Édi­tions Cla­pas, Agues­sac, 2001. La mai­son de l’être, Édi­tions Cla­pas, Agues­sac, 2001. Soul-Eyes, Édi­tions à Demeure, Vals, 2001. La descente ; absence et crue, Édi­tions à Demeure, Vals, 2001. Une manière noire — frag­ments sur Jeanne, in «Cui­sine et cuisines», Édi­tions La Dérive, Verviers, 2001. Pre­mier Prix Georges Simenon 2001 K, Véronique Van Mol édi­teur; Orgeo (Bel­gique), 2001. Soir (de Paris), Ate­lier-Édi­tions Vin­cent Rougi­er, Port de Couze, 2002 Chants de déclin et de l’abandon, Édi­tions Pier­ron, Sar­reguem­ines, 2003. Neige suivi de l’immobile, coll. Ficelle, Ate­lier Vicent Rougi­er, Port de Couze Lalinde, 2005. L’im­age est une chi­enne, l’Ane qui Butine, Bel­gique, 2005. Fil rouge, édi­tions Regard; Petite revue d’Art, Le Grand Aberge­ment, 2005. Porc épique, édi­tions du Petit Véhicule, Nantes, 2006. A perte de vue : Man­hat­tan Trans­fert, coll. Pam­phlet, Édi­tions L’Âne qui butine, Mouscron (Bel­gique), 2007. Mon ex a épousé un Schtroumpf (sous pseu­do­nyme de Garr Gam­mel), Édi­tions Chloé des Lys, Bar­ry (Bel­gique) 2008. E muet, édi­tions du Tri­dent Neuf, pho­togra­phie de Marie Bau­thias, Toulouse, 2008 La jeune femme qui descend l’escalier, Édi­tions du Cygne, Paris, 2008. La mar­iée était en rouge, Édi­tions du Cygne, Paris, 2008. L’ap­pel de la forêt, avec des pein­tures de Jacques Bar­ry, Édi­tions Jean Ville­vieille, Saint Éti­enne, 2010. Je veux, La dic­tée-poésie sans faute, 60e “ficelle”, Ate­lier d’art Vicent Rougi­er, jan­vi­er 2011. Dis­sem­blance et fig­u­ra­tion, avec une inter­ven­tion plas­tique de Mari­ette, Édi­tions Le verbe et l’empreinte, Saint Lau­rent du Pont, 2011. Por­traits Sin­guliers avec et pour les pein­tures de Clau­dine Loquen, Édi­tions Leliv­redart, Paris 2011. Cyc­lope, Édi­tions de L’At­lan­tique, Saintes, 2011. Eugène Leroy ou les appari­tions, Alma­gra Édi­tions, Nantes, 2011. Labyrinthes, édi­tions Marie Delar­bre, Grig­nan, juil­let 2012. 25 courts textes dans le recueil de pho­togra­phie de Nath-Saku­ra Fatales, Édi­tions Vic­to­ria (ISBN 978–2‑9542917–0‑3) Autres recueils de textes brefs : Anoth­er – Hor­moz pho­togra­phies, Cor­ri­dor Ele­phant Edi­tions, Paris, 2016. “Le Faubourg” avec encres de Danielle Berthet, Voix Edi­tions, Richard Meier, 2019. Flu­id­i­fi­ca­tion des éc®oulements, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. Fornika­tord, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. La let­tre d’amour qui ne s’écrit pas, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. Le bal des mots dits, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. Le box­on de X, Z4 Edi­tions, 2019. Uni­vercités, Edi­tions Jacques Fla­ment,  2020. Patience dans la boîte noire — Jean- François Dalle-Rive, avec M‑P Deloche, Folazil, Greno­ble, 2020. Joguet, Joguette, Z4 Edi­tions, 2020. Phare d’eau, édi­tions Con­stel­la­tions, octo­bre 2022 Tou­s­sa pour ça & Fir­ma­man, édi­tions Con­stel­la­tions, décem­bre 2022 Pro Loques, édi­tions Con­stel­la­tions, févri­er 2023 Région humaine suivi de Zébu­lon Comète et sa maîtresse, édi­tions Con­stel­la­tions, mai 2023 Poésie Corps de Pierre, Le Pont de l’Épée, Paris, 1976. Elle, Écrite, Hautécri­t­ure, Nouail­lé, 1990. La main le Désert, Vague Verte., Wag­narue, 1991. Le délit d’Ab­solu, L’Ar­bre à Paroles, Amay-Brux­elles, 1991. L’ef­face­ment, L’Ar­bre à Paroles, Amay-Brux­elles, 1992. Suite intem­pes­tive, en col­lab­o­ra­tion avec René Quinon, Le Flâneur des deux rives, 1996. Ibériques, Interédi­tions, Paris, 1996. (Grand Prix de poésie du Val de Seine). Avalée, Avalanche, Le Chant de l’Aleph, Paris, 1997. Fer­me­ture en fon­du sur la lumière du soir, “Con­duite for­cée”, (Édi­tions à tirage lim­ité, Eric Coisel Édi­teur, Paris, 1998. Arach­néenne, Édi­tions de L’Agly, Saint Paul de Fenouil­let, 1998. Pêcheur d’Is­lande, (Grand Prix de poésie de la Ville de Dunkerque) Verbes suivi de Anglais­es, Édi­tions Cla­pas, Agues­sac, 1998. Bon­jour Mon­sieur le Fac­teur, sur des col­lages de Éric Coisel; Éric Coisel Édi­teur, Paris, 1999. Vis­ages, en col­lab­o­ra­tion avec la plas­ti­ci­enne Charlette Morel-Sauphar, Édi­tions Pas­sage d’Encres, Romainville, 1999. Noire sœur, écrit et illus­tré en hom­mage à S. Beck­ett, Vin­cent Cour­tois éd., 1999. Clé de l’abyme, Le scarabée d’or, en col­lab­o­ra­tion avec le plas­ti­ci­enne Charlette Morel-Sauphar, Pas­sage d’encres, Romainville, 2000 Inci­sions de lumière, en col­lab­o­ra­tion avec la plas­ti­ci­enne Charlette Morel-Sauphar, Pas­sage d’encres, Romainville, 2000. Prim­i­tives du futur, Édi­tions de La Porte, Laon, 2000. Final Cut & Sur­vivance, en col­lab­o­ra­tion avec la plas­ti­ci­enne Ch. Morel-Sauphar, Gech Mosa édi­tions d’art, Mâcon, 2001. L’Injonction, en col­lab­o­ra­tion avec Annie Frédéric, coll. Tête-à-tête, Édi­tions Alain Benoît, Rocheford du Gard, 2001. Les car­rés de Charlette, coll. Encres Blanch­es, Édi­tions Encres Vives, Colomiers, 2001. Rouge Sang, Charlette Morel-Sauphar ed., Bus­sières-Macon, 2002. Dons de Mélan­col­ie – A l’épreuve du temps, avec des pho­togra­phies de Geor­gette Glodek, Édi­tions Dumerchez, Creil, 2003. Déchirures, avec des pein­tures de Bernard Ques­ni­aux, Éric Coisel édi­teur, coll. “ Mémoires ”, Paris, 2004. Ether­nitée, avec des dessins de Mylène Besson, coll. “à la Main”, édi­tion l’Attentive, Paris, 2004. Ara­ba, Édi­tions du Con­tentieux, Toulouse, 2004. Don­ner ain­si l’espace, Édi­tions La Sétérée, Crest, 2005. Les blés d’or, Aquarelles de Nicole Pessin, coll. Le fil à retor­dre, Ate­lier Marc Pessin, Saint Lau­rent du Pont, 2006. Voy­ages immo­biles, avec des pein­tures de Chan­tal Brischoff et des pho­togra­phies de René Auger, RC Créa­tion, Tho­ris­sey. Les paroles de neige, Aquarelles de Nicole Pessin, coll. Le fil à retor­dre, Ate­lier Marc Pessin, Saint Lau­rent du Pont, 2007. Gisante, Eden et après, avec des illus­tra­tions de Mylène Besson, Édi­tions Chloé des Lys, Bar­ry (Bel­gique), 2007 Le voy­age, avec une inter­ven­tion orig­i­nale de Alain Quer­cia, Jean Pierre Huguet Édi­teur, Saint Julien Molin Molette, 2007. Ver­ti­cal Duo, avec Marie Bau­thias, Édi­tions du Tri­dent Neuf, Toulouse, 2008. Sil­lage de Lumière, avec des dessins de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2009. Faire par­ler le jour, avec des dessins de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2009. Odyssée, Ray­mond Chabert entrée en matière, avec des pein­tures de Ray­mond Chabert, pho­togra­phies de René Auger, RC Créa­tion, Tho­ris­sey, 2009. Sta­tions chris­tiques, avec des encres de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2009. & — livret 19, avec les pho­tos d’E­Ole, EOle édi­tions, La Batie Mont­gas­con, 2009. Miss Fitts et autres His­toires Ceintes, avec des dessins de Jean-Marc Scan­reigh, Édi­tions Ate­lier Vin­cent Rougi­er, Soligny la Trappe, 2010. L’al­pha­bet des prim­i­tifs du retour, avec des aquarelles de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2010. Les boîtes à A, coll Match­boox, Édi­tions Voix, Elne, 2010. Le Dic­tio­n­naire des Âmes, avec des aquarelles de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2010. Musikâa, édi­tions Marie Delar­bre, Malis­sard, 2010. Les enfants de la mer, avec des Aquarelles de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2011. Noël en alpha­bet, avec des Aquarelles de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2012. Les Seins d’Abeille , Edi­tions Jean-Pierre Huguet, St Julien Molin Molette, 2014. “Autre huche” Coll. Apos­tille Danielle Berthet, Aix Les Bains 2016 “Chéri( e)s ou le sexe se met en dernier”, coll. Apos­tilles, Danielle Berthet, Aix Les Bains, 2017. Cham­béry en alpha­bet dessins de Nicole Pessin, Edi­tion Varia Poet­i­ca, Saint Lau­rent duPont,2017 “Clavecin des brumes” avec des pein­tures orig­i­nales de Andelu, Edi­tions du Geste, 2016. Tu me vois — Sylvie Afla­lo-Haber­berg”, Paris, Sylvie Afla­lo-Haber­berg, 2019. “Cui cuit” Coll. Apos­tilles Danielle Berthet, Aix Les Bains, 2018 “Lionne va”, avec encres Danielle Berthet Le Livre Pau­vre, Daniel Leuw­ers, 2019. “Anna-Base”, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. “Pâle haie des spores”, coll. Apos­tilles, Danielle Berthet, Aix Les Bains, 2019. “Le retour sans l’aller”, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. Essais et Cat­a­logues La Pop-music, Édi­tion Bib­lio­thèque de Tra­vail, Paris.1978. Jean-Luc Favre ( Rey­mond) : la scène prim­i­tive et l’ob­sti­na­tion com­pul­sive, S.G.E. Genève. 1995. Jean Jacques Rousseau et retour — Cat­a­logue du sculp­teur Mar­cel War­men­hoven, Den Haag, 1996. 91 appari­tions de Marie-Madeleine, (sur les Pho­togra­phies de Véronique Sablery), Cen­tre d’Art Con­tem­po­rain, Hôtel Saint-Simon, Angoulême, 1996. Bur­roughs, le fil(s) per­du, de l’au­to­bi­ogra­phie à la scrip­togra­phie, Édi­tions Der­rière la salle de bains, Rouen, 1996. René Quinon : l’écri­t­ure & le silence, Édi­tions le flâneur des deux rives, Juvinas, 1997 Post­face à La dis­pari­tion Felli­ni de Jacques Kober, Rafael de Sur­tis Édi­teur, La Touche, 1998. Eugène Leroy ou les appari­tions, Patin et Coufin, Mar­seille, 1998 La didac­tique du français dans l’en­seigne­ment supérieur : Brico­lage ou réno­va­tion?, coll. Séman­tiques, L’Har­mat­tan, Paris, 1998. Josef Cies­la : les portes du silence ou le chant des signes, coll. les Sept Collines, Jean Pierre Huguet Édi­teur, St. Julien Molin Molette, 1999. Hypothèse du tableau comme clan­des­tinité — propo­si­tions pour Gérard Gasiorows­ki, Édi­tions Patin et Couf­fin, Mar­seille, 1999. Jacques Simonomis, en col­lab­o­ra­tion avec Jean Rous­selot, Édi­tions de La Lucarne Ovale, Paris, 1999. Eve­lyn Ger­baud, Édi­tions Pas­sage d’Encres, Romainville, 1999. Vis­ages — l’œuvre de Charlette Morel Sauphar, Édi­tions Pas­sage d’Encres, Romainville, 1999. Fil­igranes-Pas­sages, Cat­a­logue de la plas­ti­ci­enne Charlette Morel Sauphar, Macon, 2000. Les oubliés mag­nifiques, Édi­tions Librairie Bleue, Troyes, 2000. Samuel Beck­ett : l’Imaginaire para­dox­al ou la créa­tion absolue, Paris, Minard, 2001. Néces­saire défaut de la réal­ité ou la let­tre d’amour qui ne s’écrit pas, in «De tous les jours, pho­togra­phies de J‑Claude Bélé­gou», Édi­tions Pho­togra­phies & Co, Sausseuze­mare, 2001. Suites, séries, vari­a­tions. Cat­a­logue du pein­tre Joel Leick, in «Suites et Séries», Édi­tions L’Harmattan et Tour Car­rée, Paris, 2001. Beck­ett et la poésie : la dis­pari­tion des images, Édi­tions le Man­u­scrit, 2001. Draw­ing by Embers ou la poé­tique du silence & Du Par­adis in «Du Vide au Silence : La Poésie», Édi­tions Ver­mil­lon, Ottawa (Cana­da), 2002. Théo Cras­sas : Songs for Dis­tin­gué Lovers, Édi­tions Encres Vives, Colomi­er, 2002. Cat­a­logue de Véronique Sablery pour l’in­stal­la­tion “L’Ap­pari­tion”, Salle Royale, Église de la Madeleine, Paris (Avril, mai juin 2003). Thier­ry Tilli­er : Lieux et dérives du corps, Édi­tions de l’Heure, Charleroi, 2003. Un monde tou­jours nou­veau, CD-Rom des œuvres de Charlette Morel-Sauphar, réal­isé par Ch. Bau­dri­on, CRDP de Bour­gogne & CDDP de Saône et Loire, 2003, Dijon. Cat­a­logue de l’exposition Jean Gau­daire-Thor, Brid­gette May­er gallery, 209 Wal­nut street, Philadel­phie, USA. (sous pseu­do­nyme). Hom­mage à Blan­chot, col­lec­tion Signes, Édi­tions Aleph, Malis­sart, 2003. Mar­cel Rist, l’étreinte ou l’épreuve des traces, Édi­tions Anonyme, Auvers Saint Georges, 2004. Le chant des mots et la forêt des signes Pré­face de «Livres à l’envi — livres d’artistes et affich­es de J‑M Scan­reigh» de Jean Paul Laroche, Édi­tions Mémoire Active, 2004, Lyon. Cat­a­logue Michel Butor et les pein­tres, Musée Fau­re, Aix Les Bains, févri­er-mars 2005. François Bidault : le sur­face impos­si­ble ou le tableau qui pense in «Jeux de sur­face», coll. Écri­t­ure et Représen­ta­tion, LLS, Édi­tions Uni­ver­sité de Savoie, 2006. Marie Morel, Édi­tions anonyme, Cham­béry, 2006. Ankh : sculp­tures et gravures, Chapelle de la Vis­i­ta­tion, Thonon les Bains, 8 sep­tem­bre — 21 octo­bre. Franchir la fron­tière ou la poésie comme manuel de félix­ité et Théâtre de la poésie, poésie de la langue, in «Con­stan­tin Frosin, fran­cophile roumain» sous la direc­tion de Lau­rent Fels, coll. Essais/recherche, Édi­tions Poiêtês, Orthez, 2008. Cool Mem­o­ries”, cat­a­logue de l’Ex­po­si­tion de Véronique Sablery, «Ten­ta­tion du vis­i­ble», Abbaye Saint mar­tin de Mon­daye, juin-juil­let 2008. Une tra­ver­sée du siè­cle : arts, lit­téra­ture, philoso­phie : hom­mages à Jean Bur­gos, avec Bar­bara Meazzi et J‑Pol Madou, Presse de l’U­ni­ver­sité de Savoie, Cham­béry, 2008 Mar­tine Quès : Petits bassins d’eau salée, Pho­togra­phies, Ate­liers des Arts Mêlés, Gar­gas, 2008 Mar­tine Quès : Pho­togra­phi­er les rochers, Ate­liers des Arts Mêlés, Gar­gas, 2008 Il y a du frois­sé dans l’air, n° frois­sé, cat­a­logue pour l’ex­po­si­tion de Vin­cent Rougi­er à L’A­pos­tro­phe — Théâtre des Lou­vrais Pon­toise, Édi­tions Ate­lier Vivent Rougi­er, Soligny la Trappe, 2009. La céc­ité n’a pas gelé mon corps il l’é­tait avant, in «Au nom de la fragilité, des mots d’écrivains» sous la direc­tion de Charles Gar­dou, Édi­tions Erès, Paris. 2009. Jou­ve, la vision de la femme, in «Jou­ve poète européen», Cahiers P‑J Jou­ve, no 1, Édi­tions Cal­liopée, 2009. Loques et inter­loques : la vie dans les plis in «La sur­face : acci­dents et altéra­tions», coll. Écri­t­ure et Représen­ta­tion, LLS, Édi­tions Uni­ver­sité de Savoie, 2010. Mylène et Pierre in cat­a­logue «Pierre Leloup — Mylène Besson, Face à Face», Musée Fau­re, Aix les Bains. Pub­li­ca­tion de la société d’art et d’his­toire d’Aix les Bains, no 62, jan­vi­er 2011.. Voies de pas­sage et Petit dia­logue intem­pes­tif in cat­a­logue « Cour­to, frag­ments tatouant », Édi­tions Musées de la ville de Cham­béry, 2011. Miroir du déser­teur, lit­téra­ture, psy­ch­analyse, miroir de l’autre in «Polars En quête de… l’Autre», col­lec­tif sous la direc­tion de P‑L Savouret, coll. “Écri­t­ure et représen­ta­tion”, Édi­tions LLLS, Uni­ver­sité de Savoie, 2011. Eugène Leroy ou les Appari­tions, nou­velle ver­sion, 2011, Alma­gra Édi­tions, Nantes, 2011. Nicole Valentin et la chair-voy­ance, cat­a­logue de l’ex­po­si­tion “Autour du feu” de Nicole Valentin, espace Autour du feu, 24 rue Duran­tin, Paris 18e, juin 2011. Ouvrages “Si j’é­tais moi”, dans la revue d’art TROU no. XX, 2009 La Mar­iée était en rouge, Édi­tions du Cygne, Le Chant du cygne, 2009. La Jeune Femme qui descend l’escalier, Édi­tions du Cygne, Le Chant du cygne, 2008. À perte de vue : Man­hat­tan Trans­fert, L’Âne qui butine (Bel­gique), 2007. Les Impudiques : cratères lit­téraires, Édi­tions du Cygne, Le Chant du cygne, 2007. Le Voy­age, avec une inter­ven­tion orig­i­nale de Alain Quer­cia, Jean-Pierre Huguet édi­teur, 2007. L’Homme et l’e­space, Ate­lier Andelu, 2007. Porc épique, Édi­tions du Petit Véhicule, 2006. Les Blés d’or, aquarelles de Nicole Pessin, Marc Pessin, 2006. Don­ner ain­si l’e­space, La Sétérée, 2005. Thier­ry Tilli­er : lieux et dérives du corps, Édi­tions de l’Heure, 2003. Dons de Mélan­col­ie — à l’épreuve du temps, avec des pho­togra­phies de Geor­gette Glodek, Dumerchez, 2003. Chants de déclin et de l’a­ban­don, Édi­tions Pier­ron, 2003. Samuel Beck­ett : l’Imag­i­naire para­dox­al ou la créa­tion absolue, Minard, 2001. Le Silence de l’Ile, peint par Tony Souli­er, Éric Coisel, 2001. Beck­ett et la poésie : la dis­pari­tion des images, Édi­tions Le Man­u­scrit, 2001. Éve­lyn Ger­baud, Édi­tions Pas­sage d’En­cres, 1999. Trois Faces du nom, L’Har­mat­tan, 1999. Le Cycle des van­ités, Édi­tions Pier­ron, 1999. Josef Cies­la : les portes du silence ou le chant des signes, Jean-Pierre Huguet édi­teur, Les Sept Collines, 1999. Hypothèse du tableau comme clan­des­tinité — propo­si­tions pour Gérard Gasiorows­ki, Édi­tions Patin et Couf­fin, 1999. L’Araignée de feu, Édi­tions du Noroît (Cana­da), 1998. Généalo­gie véni­ti­enne, Rafael de Sur­tis, 1998. Eugène Leroy ou les appari­tions, Édi­tions Patin et Couf­fin, 1998. Draw­ing by embers, La Main courante, 1998. Arach­néenne, Édi­tions de L’Agly, 1998. Ibériques, Édit­in­ter, 1996. Bur­roughs : le fil(s) per­du, de l’au­to­bi­ogra­phie à la scrip­togra­phie, Édi­tions Der­rière la salle de bains, 1996. Le Jour où j’ai tué papa, Vir­gin-Cal­mann-Lévy, 1995. L’œil du cyc­lope (en col­lab­o­ra­tion avec Marc Pessin), La Main courante, 1995. Jean-Luc Favre : la scène prim­i­tive et l’ob­sti­na­tion com­pul­sive, SGE (Suisse), 1995. Ici en l’ob­scur, Ecbo­lade, 1993. L’Ef­face­ment, L’Ar­bre à paroles (Bel­gique), 1992. La Main, le désert, Vague verte, 1991. Elle, Écrite, Hautécri­t­ure, 1990. La Pop music, Édi­tions Bib­lio­thèque de Tra­vail, 1978. Corps de pierre, Le Pont de l’Épée, 1976.

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