Marie Roumégas, Premiers espaces, Liliane Giraudon, Pot pourri

Par |2025-09-06T07:26:04+02:00 6 septembre 2025|Catégories : Critiques, Liliane Giraudon, Marie Roumegas|

Marie Roumé­gas et le silence de l’île

Marie Romé­gas dépeint une île sans nom, évo­quant la Crète ou la Corse. Le soleil, la terre rouge et les maisons chaulées incar­nent la dureté insu­laire des paysages méditer­ranéens à tra­vers des scènes sim­ples et puis­santes. Bien plus que der­rière un objec­tif pho­tographique une telle poète inter­roge l’imprévisible, l’improbable activés par le dou­ble désir : voir et ne pas voir. Voir enfin ce qui ne se voit pas d’emblée, pas à pas, saisir ce qui s’organise con­tre ce qu’il y a d’inique sous la loi qui pré­side à l’absence de vie. Ici l’île devient pre­mière : y voir par où ça passe où nous croyons que le monde s’engendre.

D’où ici le com­mence­ment, le recom­mence­ment, la déli­ai­son, le dé-lire au sein de reliefs peu à peu étrangers dans leur famil­iar­ité pour lecteurs et lec­tri­ces au prix d’une inces­sante vari­a­tion ou fuite. Pas d’événement dans les pho­togra­phies (Marie R omé­gas ne fait pas le coup du thème ou du motif : juste des frag­ments de langue, frag­ments com­pacts lut­tant con­tre la décom­po­si­tion ; frag­ments refaits de clichés retournés, d’images repris­es, de mots retenus sous occlu­sion intestine.

Alors, peut-on par­ler de déroule­ment, de dépliement, de lev­ée, de sor­tie pour repren­dre ce qu’écrivait Kaf­ka « le lieu de ma nais­sance », bref à ce qui fixe, qui fait référence. Écrire revient donc à instru­ire son pro­pre procès dans une suite de visions, de fig­ures de des­tin et de mémoire for­cée de la langue que ton l’œu­vre réac­tive sans fin.

Écrire l’île c’et donc ten­ter de se déplac­er, faire un pas, exis­ter comme effet du déjà ini­tié dès de lieu. où l’au­teure recon­stru­it des fresques afin de savoir com­ment c’é­tait avant dans une telle archéolo­gie du savoir. Des traces vibrent d’un bour­don­nement d’in­sectes mais d’in­sectes qui ne dis­paraî­traient pas lorsque la lampe s’éteint.

Marie Roumé­gas, Pre­miers espaces, Unes Edi­tions, Nice, 96 p., 17 €.

L’artiste du haut de la mon­tagne — où elle s’est sans doute retirée — cherche savoir com­ment c’était le passé. Elle en suit les traces, repren­dre à par­tir de là. Voici après tout un drôle d’endroit pour une ren­con­tre mais qu’importe. Trans­ferts, rat­tache­ments. Mais iso­la­tions idem. Dégus­ta­tion en silence de mou­ve­ments qui revi­en­nent, liés à un essieu du temps.

Réu­nies en scan­sion les poèmes for­ment un tour de l’île. Ils inscrivent des légen­des en nous de toute sorte de toute con­flu­ence où nous ne devenons des insectes fous emportés dans ses tour­bil­lons farouch­es. Nul peut dire si nous sommes alors avant après la ruine :  nous regar­dons c’est tout. Mais chaque image reste imprimée sur la rétine par les mots. En con­séquence les poèmes sont tur­bu­lents, flotte sur l’île. Tout sem­ble sta­ble mais rien ne sera sta­ble et fixe en nous. Puisque, à l’in­verse de l’île, rien ne l’a jamais été et l’être ne pos­sède pas de fond.  Mais ici les textes mul­ti­plient les images qua­si pre­mières  et dans le genre c’est bien.

 

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Lil­iane Giraudon et son road-mots-vie

Le titre Pot-pour­ri  mal­gré son accep­tion s’’apparente, de lie, s’agrippe au genre de la poésie et sans le moin­dre doute pos­si­ble. Toutes les sec­tions du livre touchent directe­ment au poème. Er l’auteure de nous aider : « C’est quoi la poésie ? On la fait avec quoi en dehors des mots ? Ça vient d’où ? Ça tra­verse quel corps ? Avec des retouch­es, des morceaux de poèmes morts, des lais­sés pour compte. »

Lil­iane Giraudon con­stru­it une con­ver­sa­tion avec sa poésie, son temps et en toute lib­erté de manœu­vre. Elle revient en arrière, retrou­ve les traces du tra­vail de ses poèmes – exé­cu­tions, réus­sites, échecs. De plus un fal­bala   d’archives (pages de cahiers, dessins, col­lages, scé­nar­ios de films non tournés, morceaux de théâtre injouables, pro­jets aban­don­nés) ori­ente avec émo­tion et humour vers ses derniers travaux aboutis.

Le livre con­stru­it de fait pour Lil­iane Giraudon le cur­sus de son auto­bi­ogra­phie et de sa poésie. Les deux sont insé­para­bles à la ques­tion « com­ment habiter le monde ? ». Et ses cor­pus livresques devi­en­nent le récep­ta­cle de traces qui, écrit-elle, s’agencent, « pour­suiv­ant la traque fan­tôme d’une forme-mou­ve­ment appelée poème. »

Sa poé­tique est à l’inverse du sur­réal­isme. Tout est, au con­traire, chez elle exis­ten­tial­iste. Qu’importe si par­fois les escaliers d’un poème  mon­tent vers un « No Exit ». Mais ses poèmes sont plus des pièces que  des cel­lules d’un per­pétuel huis clos . Et chez elle il n’existe per­son­ne à blâmer ( sinon elle-même avec un poil voire une coupe  de  lucid­ité). Son tra­vail est donc une ascèse et son œuvre rap­pelle par­fois la sourde men­ace et la vul­néra­bil­ité. Dans ce but elle a mul­ti­plié les cel­lules souch­es plus que mères pour rêver d’harmonie et de paix con­tre  chaos et  zizanie.

Lil­iane Giraudon, Pot pour­ri, P.O.L  édi­teur, 2025,  152 p., 20 €.

Salu­ons aus­si une de ses qual­ités par­fois super­fé­ta­toires :  Lil­iane Giraudon ne joue pas les “malines”, ne reste jamais en pos­tures figées. Elle cherche — par dif­férents agence­ments, dont le dessin lui-même — libér­er son esprit. Indul­gente pour les Don Juan elle refuse le faux-sem­blant et le bel­lâtre. Certes pour elle le geste d’écrire ne suf­fit pas. Ce qui compte demeure le résultat.

Son livre rap­pelle enfin que créer reste un acte pas une théorie. C’est une dérive voire une « patholo­gie sub­lime » quand ses mots tatouent la béance et le plein. Le tout à la suite de son et de ses temps en ses textes pliés, dépliés, par­fois troués, tor­turés, déchirés, tournés sur eux-mêmes en nœuds de résis­tance, reprise, répéti­tion, rup­ture. L’objectif est de sor­tir par­fois de tout effet de réel pour creuser l’énigme, le mys­térieux.  Sa poésie est donc Road-mot-vie avec par­fois une  belle com­plic­ité du men­songe mais pour refuser d’exhiber son leurre.

Reste chez elle la pul­sion, la force d’affect, la fragilité des femmes spi­ralées. Pour Lil­iane Giraudon la vie est une grotte. Une telle ex-petite fille devient der­viche en avers, revers, évo­ca­tion plus qu’exposition là où dans ce texte, la doc­u­men­ta­tion est acces­si­ble sous laque­lle se cache une robe rose mais sans faire tapis­serie. Une araignée dans sa tête tisse sa toile. Ici l’eau bout et l’au bout aus­si chez celle qui dans son agres­sive douceur devient la sainte dia­b­lesse dont le bât blesse. Vam­pire au besoin elle ne suce pas mais crache son venin, sa puissance

Sans pathos, juste avec le sym­bol­isme de l’élan vital jamais  faire pleur­er mar­got elle dit adieu à la petite fille en elle et veut tou­jours savoir com­ment les choses fonc­tion­nent. Aus­si bien les étoiles que le corps. D’où son intérêt pour les par­tic­ules élé­men­taires et leurs artic­u­la­tions. Afin aus­si que sa curiosité vis à vis de ce qui est éro­tique et sex­uel ce qui n’enlève rien à son intel­lec­tu­al­isme et mécan­isme d’attraction. L’œuvre est avant tout un tra­vail de décou­vre­ment, d’investigation con­tre l’ignorance et la superstition.

Chez elle la poésie est donc con­nais­sance sans par­ler de sub­li­ma­tion, qui ne reste sou­vent qu’une habileté. Lil­iane Giraudon   ne manque ni d’arrogance, ni d’ambition. Elle s’affirme indépen­dante et affranchie. D’un côté la sans peur, de l’autre (la coupable) qui trem­ble. Sans doute elle se sens très bien comme ça. D’autant qu’elle sait ce qu’elle vaut :  raisonnable   intel­li­gente et “dérangée” (qui la rend plus riche). N’est-ce pas tout compte fait la meilleure déf­i­ni­tion de la poésie ?

Ce qui est impor­tant pour une telle auteure n’est pas l’origine de la moti­va­tion de son tra­vail mais la façon dont elle est par­v­enue à vivre avec. Les deux sont insé­para­bles. Sa tache reste de se con­cen­tr­er son tra­vail par tis­sage d’une toile afin d’accéder à son œuvre. Elle sait jusqu’où, à tra­vers elle, elle on peut aller. Son tra­vail reste guidé par une seule lim­ite : ne pas se dépos­séder. Pass­er – au besoin – à côté de la vie mais pas à côté à côté du sujet. C’est pré­ten­tieux sans doute mais elle le sait parce qu’elle est mod­elée par ce qui lui résiste et aus­si par ce à quoi elle résiste.

A not­er :  Le Cen­tre inter­na­tion­al de poésie Mar­seille (Cipm) con­sacre une grande expo­si­tion à Lil­iane Giraudon à par­tir du 20 sep­tem­bre 2025.

Présentation de l’auteur

Marie Roumegas

Marie Roumé­gas est née en 2003 à Nicosie (Chypre), et a gran­di entre Chypre, la Corse et la Crète. Elle pour­suit des études en Arts et Lit­téra­ture à l’Ecole nor­male supérieure, et en musi­colo­gie au Con­ser­va­toire nation­al supérieur de musique et de danse de Paris. Elle s’in­téresse aux rela­tions entre lit­téra­ture et musique et tra­vaille sur la résur­gence de textes médié­vaux dans l’opéra contemporain. 

Bibliographie 

Pre­miers espaces est son pre­mier livre.

Poèmes choi­sis

Autres lec­tures

Présentation de l’auteur

Liliane Giraudon

Lil­iane Giraudon est une femme de let­tres française, née le . Depuis plusieurs années, elle habite à Mar­seille. Ses œuvres sont essen­tielle­ment com­posées à par­tir d’une écri­t­ure poé­tique et prosodique. Par­mi elles, on trou­ve des lec­tures publiques[1], des adap­ta­tions de textes pour le théâtre, une écri­t­ure col­lec­tive et de la tra­duc­tion. Plus tard, elle devient co-créa­trice et co-direc­trice de nom­breuses revues poé­tiques. Elle développe égale­ment un attrait pour le dessin numérique.

© Crédits pho­tos (sup­primer si inutile)

Bibliographie

  • Têtes rav­agées : une fresque, Nîmes, La Répéti­tion,
  • Je marche ou je m’endors, Paris, Hachette/P.O.L, , 151 p. (ISBN 978–2‑01–008089‑0)
  • La Réserve, Paris, P.O.L, , 154 p. (ISBN 978–2‑86744–029‑8)
  • Quel jour sommes-nous ?, Nœux-les-Mines, Édi­tions Ecbo­lade, , avec un polaroïd de l’auteur
  • La Nuit, Paris, P.O.L, , 80 p. (ISBN 978–2‑86744–073‑1)
  • V, La Souter­raine, Édi­tions la Main courante, , 6 vignettes de N. Balestrini
  • Diva­ga­tion des chiens, Paris, P.O.L, , 179 p. (ISBN 978–2‑86744–123‑3)
  • Pal­laksch, Pal­laksch, Paris, P.O.L, 1990, 123 p. (ISBN 978–2‑86744–181‑3), prix Mau­pas­sant 1990
  • Fur : nou­velles, Paris, P.O.L, , 106 p. (ISBN 978–2‑86744–295‑7)
  • Les ani­maux font tou­jours l’amour de la même manière, Paris, P.O.L, , 119 p. (ISBN 978–2‑86744–469‑2)
  • Park­ing des filles, Paris, P.O.L, , 154 p. (ISBN 978–2‑86744–621‑4)
  • Anne n’est pas Suzanne, La Souter­raine, Édi­tions la Main courante, , 25 p. (ISBN 978–2‑905280–83‑1)
  • Homo­bi­ogra­phie, Paris, Édi­tions Far­ra­go, , 63 p. (ISBN 978–2‑84490–024‑1)
  • Sker : homo­bi­ogra­phie, Paris, P.O.L, , 138 p. (ISBN 978–2‑86744–888‑1)
  • La Fiancée de Mah­kno, Paris, P.O.L, , 160 p. (ISBN 978–2‑86744–997‑0)
  • L’Onanisme d’Hamlet, Cla­mart, France, Les Cahiers de la Seine, , 20 p.
  • Car­net de nuit à Reyk­javik, Mar­seille, France, Édi­tions Fidel Anthelme X,
  • Greffe de spec­tres, Paris, P.O.L, , 128 p. (ISBN 978–2‑84682–079‑0)
  • Les tal­ibans n’ai­ment pas la fic­tion : car­net afghan, Paris, Édi­tions Inven­­taire-Inven­­tion, , 40 p. (ISBN 978–2‑914412–42‑1)
  • Mes bien-aimé(e)s, Paris, dessins de Christophe Chemin, Édi­tions Inven­­taire-Inven­­tion, , 104 p. (ISBN 978–2‑914412–61‑2)
  • La Poétesse : homo­bi­ogra­phie, Paris, P.O.L, , 128 p. (ISBN 978–2‑84682–302‑9)
  • Biogres. Mon­taigne, Mon­tesquieu, Mau­ri­ac, Coutras/ Bor­deaux, coéd. Per­ma­nences de la littérature/Centre François Mau­ri­ac de Mala­gar, , 58 p. (ISBN 978–2‑9535520–0‑3)
  • La Vraie Vie d’An­ge­line Chabert, Bar­jols, édi­tions Plaine Page, , 8 p. (ISBN 978–2‑910775–23‑0 et 2–910775–23–2)
  • L’Omelette rouge : mélo­drame, Paris, P.O.L, , 112 p. (ISBN 978–2‑8180–1361‑8)
  • Les Péné­tra­bles, Paris, P.O.L, 2012, 620 p. (ISBN 978–2‑8180–1646‑6)
  • Madame Him­self, Paris, P.O.L, 2013, 96 p. (ISBN 978–2‑8180–1906‑1)
  • La sphinge mange cru, images de Fabi­enne Létang, Mar­seille, Édi­tions Al Dante, 2013, 43 p. (ISBN 978–2‑84761–781‑8)
  • Le Garçon cousu, Paris, P.O.L, 2014, 120 p. (ISBN 978–2‑8180–2159‑0), Prix Maïse Plo­quin-Cau­­nan 2015 de l’Académie française
  • L’amour est plus froid que le lac, Paris, P.O.L, 2016, 112 p. (ISBN 978–28180–4123–9)
  • Le Tra­vail de la viande, Paris, P.O.L, 2019
  • Poly­phonie Penthésilée, Paris, P.O.L, 2021, 114 p. (ISBN 978–2‑8180–5339‑3)
  • Une femme morte n’écrit pas, Les press­es du réel/Al Dante, 2023

Écriture collective

  • Some post­cards about C.R.J. and oth­er cards, Mar­seille, avec Jean-Jacques Viton, Édi­tions Spec­tres fam­i­liers, , livret boîte à rythmes
  • Mal­mousque, Ivry-sur-Seine, avec Fred Deluy, Action poétique/Parcelle,
  • Benjamin/Baudelaire/Marseille, avec Jean-Jacques Cec­ca­rel­li et P. Box, Cor­n­away,
  • Poème pour la main gauche, La Souter­raine, avec Jean-Jacques Viton, Édi­tions la Main courante, , 15 p.(ISBN 978–2‑913919–00‑6)
  • Mar­quise vos beaux yeux, Lyon, avec Michelle Grangaud, Josée Lapeyrère, Anne Por­tu­gal, Édi­tions le Bleu du ciel, , 122 p. (ISBN 978–2‑915232–25‑7)
  • Pour Wal­ter Ben­jamin, avec Jean-Jacques Cec­ca­rel­li, in Les Yeux Fer­tiles, Suite Paul Elu­ard depuis 1989, col­lec­tion du MAC/VAL Musée d’art con­tem­po­rain du Val de Marne, Philippe Mon­cel, édi­tions cer­cle d’art, Paris, 2005
  • Vous met­trez ça sur la note, Mar­seille, avec Bernard Plasse et Jean-Jacques Viton, Édi­tions Diem Per­di­di, , 85 p.(ISBN 978–2‑9534544–0‑6)
  • A3, Ivry-sur-Seine, avec Fred Deluy et Jean-Jacques Viton, Action poé­tique, , 64 p. (ISBN 978–2‑85463–194‑4)
  • His­toire d’ail[6], avec Xavier Girard, Paris, édi­tions Argol, 2013 (ISBN 978–2‑915978–86‑5)

Théâtre

  • ACTE Vegas, trans­po­si­tion de La Mou­ette de Tchekhov, 2010

Collectif

  • Col­lec­tif, Écrire mai 68, 2008 (ISBN 978–2‑915978–36‑0)

Poèmes choi­sis

Autres lec­tures

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Jean-Paul Gavard-Perret

Jean-Paul Gavard-Per­ret est un poète, cri­tique et maître de con­férences en com­mu­ni­ca­tion à l´Université de Savoie. Doc­teur en lit­téra­ture, J.P. Gavard-Per­ret enseigne la com­mu­ni­ca­tion à l’Université de Savoie à Cham­béry. Il est mem­bre du Cen­tre de Recherche Imag­i­naire et Créa­tion. Il est spé­cial­iste de l’Image au XXe siè­cle et de l’œuvre de Samuel Beck­ett. Il col­la­bore à de nom­breuses revues dont Pas­sage d’encres, Les Temps Mod­ernes, Esprit, Ver­so Art et Let­tres, Champs visu­als et Com­mu­ni­ca­tion et Lan­gage. Il a pub­lié une quin­zaine de livres, de textes brefs ou d’essais. Pub­li­ca­tions Fic­tions et textes brefs Toile Peinte, Argo, Lau­sanne, 1976, (Sous le pseu­do­nyme d’An­nie Renaud). Dans ses gestes, l’At­tente, L’In­cer­tain, Paris, 1991. La Par­ti­tion, Garenne, Lyon, 1991. La Répéti­tion, La Demeure, Cour­taud, La Souter­raine, 1992. Ici en l’ob­scur, Ecbo­lade, Nœux, 1993. Comme un voy­age, Édi­tion Philippe Morice, 1° édi­tion 1993, 2e édi­tion revue, 1994. Le jour où j’ai tué Papa, Exquis-Cadavres, Vir­gin-Cal­man-Lévy. Paris, 1995. L’Œil du Cyc­lope, en col­lab­o­ra­tion avec le graveur Marc Pessin, La Main Courante, La Souter­raine, 1995. Le jardin des délices, Le flâneur des deux rives, Juvinas, 1996. Art, Légende, Réal­ité, Bar­ré-Dayez, Paris, 1996. Douce, tech­nique­ment. en col­lab­o­ra­tion avec le pein­tre Mar­cel War­men­hoven, Ecbo­lade, Nœux, 1996. Le froid, Édi­tions La Dérive, Verviers, 1996. Néces­saire sac­ri­fice aux étoiles, Édi­tions le Givre de l’É­clair, Troyes, 1998. Généalo­gie véni­ti­enne, Rafael de Sur­tis, Chèvres, 1998. L’Araignée de feu, Édi­tions du Non Ver­bal, Bor­deaux, 1998. Draw­ing by embers, La Main Courante, La Souter­raine, 1998. Trois faces du nom, L’Har­mat­tan, Paris, 1999. Venise, Édi­tions de L’Heure, Pry, Bel­gique, 1999. Le cycle des van­ités, Édi­tions Pier­ron, Sar­reguem­ines, 1999. Pas­sager de sa pluie, Édi­tions de l’Heure, Pry-lez-Wal­court (Bel­gique), 2000. Demain, hier, Édi­tions on @ faim, Saint Éti­enne de Rou­vray, 2001. Cielle, Édi­tions Cla­pas, Agues­sac, 2001. La mai­son de l’être, Édi­tions Cla­pas, Agues­sac, 2001. Soul-Eyes, Édi­tions à Demeure, Vals, 2001. La descente ; absence et crue, Édi­tions à Demeure, Vals, 2001. Une manière noire — frag­ments sur Jeanne, in «Cui­sine et cuisines», Édi­tions La Dérive, Verviers, 2001. Pre­mier Prix Georges Simenon 2001 K, Véronique Van Mol édi­teur; Orgeo (Bel­gique), 2001. Soir (de Paris), Ate­lier-Édi­tions Vin­cent Rougi­er, Port de Couze, 2002 Chants de déclin et de l’abandon, Édi­tions Pier­ron, Sar­reguem­ines, 2003. Neige suivi de l’immobile, coll. Ficelle, Ate­lier Vicent Rougi­er, Port de Couze Lalinde, 2005. L’im­age est une chi­enne, l’Ane qui Butine, Bel­gique, 2005. Fil rouge, édi­tions Regard; Petite revue d’Art, Le Grand Aberge­ment, 2005. Porc épique, édi­tions du Petit Véhicule, Nantes, 2006. A perte de vue : Man­hat­tan Trans­fert, coll. Pam­phlet, Édi­tions L’Âne qui butine, Mouscron (Bel­gique), 2007. Mon ex a épousé un Schtroumpf (sous pseu­do­nyme de Garr Gam­mel), Édi­tions Chloé des Lys, Bar­ry (Bel­gique) 2008. E muet, édi­tions du Tri­dent Neuf, pho­togra­phie de Marie Bau­thias, Toulouse, 2008 La jeune femme qui descend l’escalier, Édi­tions du Cygne, Paris, 2008. La mar­iée était en rouge, Édi­tions du Cygne, Paris, 2008. L’ap­pel de la forêt, avec des pein­tures de Jacques Bar­ry, Édi­tions Jean Ville­vieille, Saint Éti­enne, 2010. Je veux, La dic­tée-poésie sans faute, 60e “ficelle”, Ate­lier d’art Vicent Rougi­er, jan­vi­er 2011. Dis­sem­blance et fig­u­ra­tion, avec une inter­ven­tion plas­tique de Mari­ette, Édi­tions Le verbe et l’empreinte, Saint Lau­rent du Pont, 2011. Por­traits Sin­guliers avec et pour les pein­tures de Clau­dine Loquen, Édi­tions Leliv­redart, Paris 2011. Cyc­lope, Édi­tions de L’At­lan­tique, Saintes, 2011. Eugène Leroy ou les appari­tions, Alma­gra Édi­tions, Nantes, 2011. Labyrinthes, édi­tions Marie Delar­bre, Grig­nan, juil­let 2012. 25 courts textes dans le recueil de pho­togra­phie de Nath-Saku­ra Fatales, Édi­tions Vic­to­ria (ISBN 978–2‑9542917–0‑3) Autres recueils de textes brefs : Anoth­er – Hor­moz pho­togra­phies, Cor­ri­dor Ele­phant Edi­tions, Paris, 2016. “Le Faubourg” avec encres de Danielle Berthet, Voix Edi­tions, Richard Meier, 2019. Flu­id­i­fi­ca­tion des éc®oulements, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. Fornika­tord, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. La let­tre d’amour qui ne s’écrit pas, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. Le bal des mots dits, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. Le box­on de X, Z4 Edi­tions, 2019. Uni­vercités, Edi­tions Jacques Fla­ment,  2020. Patience dans la boîte noire — Jean- François Dalle-Rive, avec M‑P Deloche, Folazil, Greno­ble, 2020. Joguet, Joguette, Z4 Edi­tions, 2020. Phare d’eau, édi­tions Con­stel­la­tions, octo­bre 2022 Tou­s­sa pour ça & Fir­ma­man, édi­tions Con­stel­la­tions, décem­bre 2022 Pro Loques, édi­tions Con­stel­la­tions, févri­er 2023 Région humaine suivi de Zébu­lon Comète et sa maîtresse, édi­tions Con­stel­la­tions, mai 2023 Poésie Corps de Pierre, Le Pont de l’Épée, Paris, 1976. Elle, Écrite, Hautécri­t­ure, Nouail­lé, 1990. La main le Désert, Vague Verte., Wag­narue, 1991. Le délit d’Ab­solu, L’Ar­bre à Paroles, Amay-Brux­elles, 1991. L’ef­face­ment, L’Ar­bre à Paroles, Amay-Brux­elles, 1992. Suite intem­pes­tive, en col­lab­o­ra­tion avec René Quinon, Le Flâneur des deux rives, 1996. Ibériques, Interédi­tions, Paris, 1996. (Grand Prix de poésie du Val de Seine). Avalée, Avalanche, Le Chant de l’Aleph, Paris, 1997. Fer­me­ture en fon­du sur la lumière du soir, “Con­duite for­cée”, (Édi­tions à tirage lim­ité, Eric Coisel Édi­teur, Paris, 1998. Arach­néenne, Édi­tions de L’Agly, Saint Paul de Fenouil­let, 1998. Pêcheur d’Is­lande, (Grand Prix de poésie de la Ville de Dunkerque) Verbes suivi de Anglais­es, Édi­tions Cla­pas, Agues­sac, 1998. Bon­jour Mon­sieur le Fac­teur, sur des col­lages de Éric Coisel; Éric Coisel Édi­teur, Paris, 1999. Vis­ages, en col­lab­o­ra­tion avec la plas­ti­ci­enne Charlette Morel-Sauphar, Édi­tions Pas­sage d’Encres, Romainville, 1999. Noire sœur, écrit et illus­tré en hom­mage à S. Beck­ett, Vin­cent Cour­tois éd., 1999. Clé de l’abyme, Le scarabée d’or, en col­lab­o­ra­tion avec le plas­ti­ci­enne Charlette Morel-Sauphar, Pas­sage d’encres, Romainville, 2000 Inci­sions de lumière, en col­lab­o­ra­tion avec la plas­ti­ci­enne Charlette Morel-Sauphar, Pas­sage d’encres, Romainville, 2000. Prim­i­tives du futur, Édi­tions de La Porte, Laon, 2000. Final Cut & Sur­vivance, en col­lab­o­ra­tion avec la plas­ti­ci­enne Ch. Morel-Sauphar, Gech Mosa édi­tions d’art, Mâcon, 2001. L’Injonction, en col­lab­o­ra­tion avec Annie Frédéric, coll. Tête-à-tête, Édi­tions Alain Benoît, Rocheford du Gard, 2001. Les car­rés de Charlette, coll. Encres Blanch­es, Édi­tions Encres Vives, Colomiers, 2001. Rouge Sang, Charlette Morel-Sauphar ed., Bus­sières-Macon, 2002. Dons de Mélan­col­ie – A l’épreuve du temps, avec des pho­togra­phies de Geor­gette Glodek, Édi­tions Dumerchez, Creil, 2003. Déchirures, avec des pein­tures de Bernard Ques­ni­aux, Éric Coisel édi­teur, coll. “ Mémoires ”, Paris, 2004. Ether­nitée, avec des dessins de Mylène Besson, coll. “à la Main”, édi­tion l’Attentive, Paris, 2004. Ara­ba, Édi­tions du Con­tentieux, Toulouse, 2004. Don­ner ain­si l’espace, Édi­tions La Sétérée, Crest, 2005. Les blés d’or, Aquarelles de Nicole Pessin, coll. Le fil à retor­dre, Ate­lier Marc Pessin, Saint Lau­rent du Pont, 2006. Voy­ages immo­biles, avec des pein­tures de Chan­tal Brischoff et des pho­togra­phies de René Auger, RC Créa­tion, Tho­ris­sey. Les paroles de neige, Aquarelles de Nicole Pessin, coll. Le fil à retor­dre, Ate­lier Marc Pessin, Saint Lau­rent du Pont, 2007. Gisante, Eden et après, avec des illus­tra­tions de Mylène Besson, Édi­tions Chloé des Lys, Bar­ry (Bel­gique), 2007 Le voy­age, avec une inter­ven­tion orig­i­nale de Alain Quer­cia, Jean Pierre Huguet Édi­teur, Saint Julien Molin Molette, 2007. Ver­ti­cal Duo, avec Marie Bau­thias, Édi­tions du Tri­dent Neuf, Toulouse, 2008. Sil­lage de Lumière, avec des dessins de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2009. Faire par­ler le jour, avec des dessins de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2009. Odyssée, Ray­mond Chabert entrée en matière, avec des pein­tures de Ray­mond Chabert, pho­togra­phies de René Auger, RC Créa­tion, Tho­ris­sey, 2009. Sta­tions chris­tiques, avec des encres de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2009. & — livret 19, avec les pho­tos d’E­Ole, EOle édi­tions, La Batie Mont­gas­con, 2009. Miss Fitts et autres His­toires Ceintes, avec des dessins de Jean-Marc Scan­reigh, Édi­tions Ate­lier Vin­cent Rougi­er, Soligny la Trappe, 2010. L’al­pha­bet des prim­i­tifs du retour, avec des aquarelles de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2010. Les boîtes à A, coll Match­boox, Édi­tions Voix, Elne, 2010. Le Dic­tio­n­naire des Âmes, avec des aquarelles de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2010. Musikâa, édi­tions Marie Delar­bre, Malis­sard, 2010. Les enfants de la mer, avec des Aquarelles de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2011. Noël en alpha­bet, avec des Aquarelles de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2012. Les Seins d’Abeille , Edi­tions Jean-Pierre Huguet, St Julien Molin Molette, 2014. “Autre huche” Coll. Apos­tille Danielle Berthet, Aix Les Bains 2016 “Chéri( e)s ou le sexe se met en dernier”, coll. Apos­tilles, Danielle Berthet, Aix Les Bains, 2017. Cham­béry en alpha­bet dessins de Nicole Pessin, Edi­tion Varia Poet­i­ca, Saint Lau­rent duPont,2017 “Clavecin des brumes” avec des pein­tures orig­i­nales de Andelu, Edi­tions du Geste, 2016. Tu me vois — Sylvie Afla­lo-Haber­berg”, Paris, Sylvie Afla­lo-Haber­berg, 2019. “Cui cuit” Coll. Apos­tilles Danielle Berthet, Aix Les Bains, 2018 “Lionne va”, avec encres Danielle Berthet Le Livre Pau­vre, Daniel Leuw­ers, 2019. “Anna-Base”, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. “Pâle haie des spores”, coll. Apos­tilles, Danielle Berthet, Aix Les Bains, 2019. “Le retour sans l’aller”, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. Essais et Cat­a­logues La Pop-music, Édi­tion Bib­lio­thèque de Tra­vail, Paris.1978. Jean-Luc Favre ( Rey­mond) : la scène prim­i­tive et l’ob­sti­na­tion com­pul­sive, S.G.E. Genève. 1995. Jean Jacques Rousseau et retour — Cat­a­logue du sculp­teur Mar­cel War­men­hoven, Den Haag, 1996. 91 appari­tions de Marie-Madeleine, (sur les Pho­togra­phies de Véronique Sablery), Cen­tre d’Art Con­tem­po­rain, Hôtel Saint-Simon, Angoulême, 1996. Bur­roughs, le fil(s) per­du, de l’au­to­bi­ogra­phie à la scrip­togra­phie, Édi­tions Der­rière la salle de bains, Rouen, 1996. René Quinon : l’écri­t­ure & le silence, Édi­tions le flâneur des deux rives, Juvinas, 1997 Post­face à La dis­pari­tion Felli­ni de Jacques Kober, Rafael de Sur­tis Édi­teur, La Touche, 1998. Eugène Leroy ou les appari­tions, Patin et Coufin, Mar­seille, 1998 La didac­tique du français dans l’en­seigne­ment supérieur : Brico­lage ou réno­va­tion?, coll. Séman­tiques, L’Har­mat­tan, Paris, 1998. Josef Cies­la : les portes du silence ou le chant des signes, coll. les Sept Collines, Jean Pierre Huguet Édi­teur, St. Julien Molin Molette, 1999. Hypothèse du tableau comme clan­des­tinité — propo­si­tions pour Gérard Gasiorows­ki, Édi­tions Patin et Couf­fin, Mar­seille, 1999. Jacques Simonomis, en col­lab­o­ra­tion avec Jean Rous­selot, Édi­tions de La Lucarne Ovale, Paris, 1999. Eve­lyn Ger­baud, Édi­tions Pas­sage d’Encres, Romainville, 1999. Vis­ages — l’œuvre de Charlette Morel Sauphar, Édi­tions Pas­sage d’Encres, Romainville, 1999. Fil­igranes-Pas­sages, Cat­a­logue de la plas­ti­ci­enne Charlette Morel Sauphar, Macon, 2000. Les oubliés mag­nifiques, Édi­tions Librairie Bleue, Troyes, 2000. Samuel Beck­ett : l’Imaginaire para­dox­al ou la créa­tion absolue, Paris, Minard, 2001. Néces­saire défaut de la réal­ité ou la let­tre d’amour qui ne s’écrit pas, in «De tous les jours, pho­togra­phies de J‑Claude Bélé­gou», Édi­tions Pho­togra­phies & Co, Sausseuze­mare, 2001. Suites, séries, vari­a­tions. Cat­a­logue du pein­tre Joel Leick, in «Suites et Séries», Édi­tions L’Harmattan et Tour Car­rée, Paris, 2001. Beck­ett et la poésie : la dis­pari­tion des images, Édi­tions le Man­u­scrit, 2001. Draw­ing by Embers ou la poé­tique du silence & Du Par­adis in «Du Vide au Silence : La Poésie», Édi­tions Ver­mil­lon, Ottawa (Cana­da), 2002. Théo Cras­sas : Songs for Dis­tin­gué Lovers, Édi­tions Encres Vives, Colomi­er, 2002. Cat­a­logue de Véronique Sablery pour l’in­stal­la­tion “L’Ap­pari­tion”, Salle Royale, Église de la Madeleine, Paris (Avril, mai juin 2003). Thier­ry Tilli­er : Lieux et dérives du corps, Édi­tions de l’Heure, Charleroi, 2003. Un monde tou­jours nou­veau, CD-Rom des œuvres de Charlette Morel-Sauphar, réal­isé par Ch. Bau­dri­on, CRDP de Bour­gogne & CDDP de Saône et Loire, 2003, Dijon. Cat­a­logue de l’exposition Jean Gau­daire-Thor, Brid­gette May­er gallery, 209 Wal­nut street, Philadel­phie, USA. (sous pseu­do­nyme). Hom­mage à Blan­chot, col­lec­tion Signes, Édi­tions Aleph, Malis­sart, 2003. Mar­cel Rist, l’étreinte ou l’épreuve des traces, Édi­tions Anonyme, Auvers Saint Georges, 2004. Le chant des mots et la forêt des signes Pré­face de «Livres à l’envi — livres d’artistes et affich­es de J‑M Scan­reigh» de Jean Paul Laroche, Édi­tions Mémoire Active, 2004, Lyon. Cat­a­logue Michel Butor et les pein­tres, Musée Fau­re, Aix Les Bains, févri­er-mars 2005. François Bidault : le sur­face impos­si­ble ou le tableau qui pense in «Jeux de sur­face», coll. Écri­t­ure et Représen­ta­tion, LLS, Édi­tions Uni­ver­sité de Savoie, 2006. Marie Morel, Édi­tions anonyme, Cham­béry, 2006. Ankh : sculp­tures et gravures, Chapelle de la Vis­i­ta­tion, Thonon les Bains, 8 sep­tem­bre — 21 octo­bre. Franchir la fron­tière ou la poésie comme manuel de félix­ité et Théâtre de la poésie, poésie de la langue, in «Con­stan­tin Frosin, fran­cophile roumain» sous la direc­tion de Lau­rent Fels, coll. Essais/recherche, Édi­tions Poiêtês, Orthez, 2008. Cool Mem­o­ries”, cat­a­logue de l’Ex­po­si­tion de Véronique Sablery, «Ten­ta­tion du vis­i­ble», Abbaye Saint mar­tin de Mon­daye, juin-juil­let 2008. Une tra­ver­sée du siè­cle : arts, lit­téra­ture, philoso­phie : hom­mages à Jean Bur­gos, avec Bar­bara Meazzi et J‑Pol Madou, Presse de l’U­ni­ver­sité de Savoie, Cham­béry, 2008 Mar­tine Quès : Petits bassins d’eau salée, Pho­togra­phies, Ate­liers des Arts Mêlés, Gar­gas, 2008 Mar­tine Quès : Pho­togra­phi­er les rochers, Ate­liers des Arts Mêlés, Gar­gas, 2008 Il y a du frois­sé dans l’air, n° frois­sé, cat­a­logue pour l’ex­po­si­tion de Vin­cent Rougi­er à L’A­pos­tro­phe — Théâtre des Lou­vrais Pon­toise, Édi­tions Ate­lier Vivent Rougi­er, Soligny la Trappe, 2009. La céc­ité n’a pas gelé mon corps il l’é­tait avant, in «Au nom de la fragilité, des mots d’écrivains» sous la direc­tion de Charles Gar­dou, Édi­tions Erès, Paris. 2009. Jou­ve, la vision de la femme, in «Jou­ve poète européen», Cahiers P‑J Jou­ve, no 1, Édi­tions Cal­liopée, 2009. Loques et inter­loques : la vie dans les plis in «La sur­face : acci­dents et altéra­tions», coll. Écri­t­ure et Représen­ta­tion, LLS, Édi­tions Uni­ver­sité de Savoie, 2010. Mylène et Pierre in cat­a­logue «Pierre Leloup — Mylène Besson, Face à Face», Musée Fau­re, Aix les Bains. Pub­li­ca­tion de la société d’art et d’his­toire d’Aix les Bains, no 62, jan­vi­er 2011.. Voies de pas­sage et Petit dia­logue intem­pes­tif in cat­a­logue « Cour­to, frag­ments tatouant », Édi­tions Musées de la ville de Cham­béry, 2011. Miroir du déser­teur, lit­téra­ture, psy­ch­analyse, miroir de l’autre in «Polars En quête de… l’Autre», col­lec­tif sous la direc­tion de P‑L Savouret, coll. “Écri­t­ure et représen­ta­tion”, Édi­tions LLLS, Uni­ver­sité de Savoie, 2011. Eugène Leroy ou les Appari­tions, nou­velle ver­sion, 2011, Alma­gra Édi­tions, Nantes, 2011. Nicole Valentin et la chair-voy­ance, cat­a­logue de l’ex­po­si­tion “Autour du feu” de Nicole Valentin, espace Autour du feu, 24 rue Duran­tin, Paris 18e, juin 2011. Ouvrages “Si j’é­tais moi”, dans la revue d’art TROU no. XX, 2009 La Mar­iée était en rouge, Édi­tions du Cygne, Le Chant du cygne, 2009. La Jeune Femme qui descend l’escalier, Édi­tions du Cygne, Le Chant du cygne, 2008. À perte de vue : Man­hat­tan Trans­fert, L’Âne qui butine (Bel­gique), 2007. Les Impudiques : cratères lit­téraires, Édi­tions du Cygne, Le Chant du cygne, 2007. Le Voy­age, avec une inter­ven­tion orig­i­nale de Alain Quer­cia, Jean-Pierre Huguet édi­teur, 2007. L’Homme et l’e­space, Ate­lier Andelu, 2007. Porc épique, Édi­tions du Petit Véhicule, 2006. Les Blés d’or, aquarelles de Nicole Pessin, Marc Pessin, 2006. Don­ner ain­si l’e­space, La Sétérée, 2005. Thier­ry Tilli­er : lieux et dérives du corps, Édi­tions de l’Heure, 2003. Dons de Mélan­col­ie — à l’épreuve du temps, avec des pho­togra­phies de Geor­gette Glodek, Dumerchez, 2003. Chants de déclin et de l’a­ban­don, Édi­tions Pier­ron, 2003. Samuel Beck­ett : l’Imag­i­naire para­dox­al ou la créa­tion absolue, Minard, 2001. Le Silence de l’Ile, peint par Tony Souli­er, Éric Coisel, 2001. Beck­ett et la poésie : la dis­pari­tion des images, Édi­tions Le Man­u­scrit, 2001. Éve­lyn Ger­baud, Édi­tions Pas­sage d’En­cres, 1999. Trois Faces du nom, L’Har­mat­tan, 1999. Le Cycle des van­ités, Édi­tions Pier­ron, 1999. Josef Cies­la : les portes du silence ou le chant des signes, Jean-Pierre Huguet édi­teur, Les Sept Collines, 1999. Hypothèse du tableau comme clan­des­tinité — propo­si­tions pour Gérard Gasiorows­ki, Édi­tions Patin et Couf­fin, 1999. L’Araignée de feu, Édi­tions du Noroît (Cana­da), 1998. Généalo­gie véni­ti­enne, Rafael de Sur­tis, 1998. Eugène Leroy ou les appari­tions, Édi­tions Patin et Couf­fin, 1998. Draw­ing by embers, La Main courante, 1998. Arach­néenne, Édi­tions de L’Agly, 1998. Ibériques, Édit­in­ter, 1996. Bur­roughs : le fil(s) per­du, de l’au­to­bi­ogra­phie à la scrip­togra­phie, Édi­tions Der­rière la salle de bains, 1996. Le Jour où j’ai tué papa, Vir­gin-Cal­mann-Lévy, 1995. L’œil du cyc­lope (en col­lab­o­ra­tion avec Marc Pessin), La Main courante, 1995. Jean-Luc Favre : la scène prim­i­tive et l’ob­sti­na­tion com­pul­sive, SGE (Suisse), 1995. Ici en l’ob­scur, Ecbo­lade, 1993. L’Ef­face­ment, L’Ar­bre à paroles (Bel­gique), 1992. La Main, le désert, Vague verte, 1991. Elle, Écrite, Hautécri­t­ure, 1990. La Pop music, Édi­tions Bib­lio­thèque de Tra­vail, 1978. Corps de pierre, Le Pont de l’Épée, 1976.

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