Sophie Loizeau, Les Moines de la pluie, Tom Buron, Les cinquantièmes hurlants

Par |2025-05-06T08:04:21+02:00 6 mai 2025|Catégories : Critiques, Sophie Loizeau, Tom Buron|

Faces, pièges voire attrape-nigauds par Sophie Loizeau

D’un oiseau l’autre, d’une poésie à la nar­ra­tion, le « Je » de Sophie Loizeau — la si bien nom­mée — se méta­mor­phose – par exem­ple – en effraie : « J’enfile une tunique alour­die de mouss­es, de lierre, de fleurs, et un loup en plumes blanch­es et or. Le cos­tume en soi ressem­ble à un amon­celle­ment de déchets verts – pas comme le loup qui est lux­ueux. Le masque du print­emps dans toute son ambiguïté ».

Et c’est ain­si qu’entre réc­its, con­tes, poèmes toute une volière humaine mélange ce qui s’agite en éro­tisme, fan­tas­magorie, un peu d’horreur et beau­coup de magie (ver­bale – mais pas seule­ment). Entre une « Vieille femme dans le berceau » et « Vul­ves » tout vagabonde d’un château l’autre comme écrivait Céline. Mais de tels édi­fices vont bien ici. Tout se répond dans ce monde foresti­er : mou­ettes, bich­es, renardes, moines de la pluie per­me­t­tent (même si ce ne sont pas les seuls per­me­t­tent des ren­con­tres même si elles n’ont pas lieu face-à-face mer­veilleux mais des mir­a­cles renaissent.

Sophie Loizeau puise dans l’ici comme dans les mythes une manière ludique e(t humoris­tique pour entr­er en  esprit d’animaux plus ou moins grâce à la den­sité d’une langue qui va sa lib­erté dans ce livre présen­té habile­ment en chapitres.

Out va au lecteur qui voy­age entre divers­es ten­sions et ten­ta­tions là où la poésie donne au besoin des fric­tions à la fic­tion. Mais le tout reste homogène sans oubli­er les plaisirs de la mise en abime du réel que celui de la langue. Et qu’importe les mares où elles s’ébroue pour invo­quer au besoin disparu(e ) ou fan­tômes allongés (par­fois sur la nar­ra­trice-auteure) ou debout. Par­fois le jeu des corps fonc­tionne, par­fois – évrit l’auteure – « la syn­chro­ni­sa­tion déconne ».

Certes ici la vie est un ensem­ble de gains et de pertes sans que le lecteur s’en plaigne. Il souf­fre au besoin d’un pil, mais le plaisir imbibe son cerveau par les mas­sages men­taux et styl­is­tiques d’une telle fée des songes. 

Sophie Loizeau, Les Moines de la pluie, Édi­tions Le Pom­mi­er, 2024, 213 p., 18 €.

Cha­cun d’un texte à l’autre espère sa venue même si par­fois (telle une sédi­tieuse) abuse de l’ellipse. Mais com­ment lui par­don­ner et qu’importe les dénoue­ments d’une telle créa­trice manip­u­la­trice par­fois jusqu’à l’hurluberlu. Nous rêvons de roder autour d’elle maitresse femme accom­plie nous en sommes aus­si d’un autre genre qu’elle : l’hurluberlué.

∗∗∗

Aux san­dales du voyant

Tom Buron creuse une place pour le silence intérieur puisqu’en cha­cun de nous veille l’enfant à la langue tue. L’enfant à qui — afin qu’il ne voit pas la souf­france — on a tou­jours si mal bandé les yeux. L’auteurs à l’inverse reste le voyant.

Dès lors pas besoin de pren­dre la pause en un  tel livre. Lais­sons-nous aller. Le monde éclate il n’a pas de fron­tière : mais se barat­tent les ténèbres. Toute­fois pour Buron  ce qui ne pou­vait s’accepter mais qui demeure et ne finit pas. Le monde avait donc per­du sa mesure même si l’enfant rêvait de s’arracher au temps.

Chaque lecteur veut toute­fois les mots, on espère jusqu’à la prochaine émo­tion – joie ou douleur, jusqu’au prochain silence même si l’écriture qui n’accomplit jamais mais elle a besoin d’espérance sauf retourn­er jamais

Demeure l’inconnu. Il per­met de révéler l’ob­scur noy­au d’un secret  Nous n’en saurons ne saura rien sinon quelques indices, quelques traces. Com­pren­dre sim­ple­ment que les corps ne font plus corps Mais Buron les remet en cause parce qu’il demeure la chair de l’être en exhiber les stig­mates, les énigmes —  matière inavouée dans ses points de fuite.

Il faut donc la laiss­er par­ler sa langue obscure. Elle joue tou­jours à l’ex­trémité d’une représen­ta­tion qui avance à tâtons dans l’in­con­nu loin du poids immense des livres, des Tal­mud et des Bible et même de Blake.

Cette aube-cré­pus­cule appelle sans cesse  ce que les mots repousse en croy­ant la par­ler. Impos­si­ble de penser la poésie autrement là où elle est arrosée par le sang du mys­tère  qui en nous pri­vant par­foi  de repères nous offre un néces­saire saut dans le vide. 

Tom Buron, Les cinquan­tièmes hurlants, Col­lec­tion Blanche, Gal­li­mard, 2025, 17 €.

Nous pou­vons le com­pren­dre au mieux on peut enten­dre ses échos.  La cara­pace de l’être éclate. Quelque chose peut sur­gir : de l’or­dre de la joie, une dernière attente : “ qu’en sera-t-il de nous ? ”  reste une ques­tion ouverte.

Et la poésie  demeure la sen­tinelle égarée qui tente chaque fois le saut dans l’impossible. Ombre et lumière se man­gent là où ne sub­siste que la folie du croire, du croire voir. Folie de la couleur parci­monieuse aux échan­crures de noir.

 

Présentation de l’auteur

Sophie Loizeau

Née en 1970, Sophie Loizeau est poète, elle écrit égale­ment des réc­its. Elle vit à Versailles.

Ses trois pre­miers livres, écrits entre 1998 et 2004 (Le Corps saison­nier, La Nue-bête, Envi­rons du bouc) sont mar­qués par la présence de la nature. Une nature qui fraye avec le fan­tas­tique et le mythologique, avec le désir et la sex­u­al­ité. Les livres suiv­ants (La femme lit, Le roman de Diane, Cau­dal), écrits entre 2004 et 2013, for­ment une trilo­gie autour du mythe de Diane et ten­tent une fémin­i­sa­tion sys­té­ma­tique et rad­i­cale de la langue.

© Crédits pho­tos Adri­enne Arth

Bibliographie

  • Le Corps saison­nier, Chail­lé-sous-les-Ormeaux, Le Dé bleu, (BNF 37711847), édi­tion bib­lio­philique numérotée enrichie de lith­o­gra­phies de Jacques Vimard, Édi­tions Bar­bo­va, 2009.
  • La Nue-bête, Cham­béry, Com­p’Act,
    Prix Georges Per­ros 2006.
  • Envi­rons du bouc, Cham­béry, Com­p’Act,
    Avec une qua­trième de cou­ver­ture de Bernard Noël. Réédi­tion en 2011 aux Édi­tions de L’A­mandi­er, Paris, aug­men­té d’un entre­tien avec Pas­cal Quig­nard paru en octo­bre 2008 dans le n°5–6 de la revue Pas­sages à l’Act (BNF 42606899). Prix Yvan Goll en 2005.
  • George Sand, Daniel Arsand (suite), Céline Minard (suite) et Sophie Loizeau (suite), Albine Fiori : roman inachevé de George Sand ; avec trois suites de Daniel Arsand, Céline Minard, Sophie Loizeau, Cham­béry, Édi­tions Comp’Act,
    Roman inachevé de George Sand avec 3 « suites ».
  • Sophie Loizeau et Claude Panier (fron­tispice), Ani­ma mun­di, Cla­mart, Les Cahiers de la Seine,
  • Berg­a­mon­stres, Cham­béry, L’Act Mem,
    Nou­velle édi­tion réu­nis­sant La Nue-bête et Envi­rons du bouc.
  • La Femme lit, Paris, Flam­mar­i­on,
    Ce livre a béné­fi­cié d’une bourse du CNL en 2005.
  • Son appen­dice, cau­dal, Montluçon, Con­tre-allées,
    Réal­isé dans le cadre du 6e fes­ti­val de poésie con­tem­po­raine Poètes au potager.
  • Cau­dal, Paris, Flam­mar­i­on, Ce livre a été pub­lié avec une aide de 900 € du Cen­tre nation­al du livre.
  • Lys, Fis­sile 2014 avec des dessins de Bernard Noël.
  • Ma maîtresse forme : Naturewrit­ing, Champ Val­lon, 2017.
  • La cham­bre sous le saule, PU Rouen, 2017.
  • Les Loups, José Cor­ti, 2019.
  • Les Épines rouges, Le Cas­tor Astral, 2022.

En anthologies

Des œuvres de Sophie Loizeau fig­urent égale­ment dans plusieurs antholo­gies, dont :

  • Passeur de mémoire, col­lec­tion Poésie / Gal­li­mard, 2005,
  • Couleur femme, Cas­tor Astral, Le Print­emps des poètes, 2010,
  • La poésie à plusieurs voix, Armand Col­in, 2010,
  • Éros émer­veil­lé, col­lec­tion Poésie / Gal­li­mard, 2012.

Participations

  • « Orig­i­naire », Regards croisés sur la car­rière Chéret, Con­ser­va­toire d’e­spaces naturels, 2011. 

Théâtre et performances

  • Un spec­ta­cle poé­tique : Le plus clair du temps je suis nue, mis en scène par Claude Guerre, créé à La Comédie de Reims en 2005 et repris à la Mai­son de la Poésie de Paris en 2008.
  • Écri­t­ure et choré­gra­phie : Pleine peau, textes écrits à par­tir d’un tra­vail choré­graphique de Maria Dona­ta d’Urso, créée au Cent Qua­tre à Paris en 2010.
  • Des lec­­tures-per­­for­­mances à la Mai­son de la poésie de Paris, Arkhéon, mai 2011. Con­cep­tion : Wil­fried Wendling / mise en scène : Sophie Loizeau.

Poèmes choi­sis

Autres lec­tures

Présentation de l’auteur

Tom Buron

Tom Buron est né en 1992 en ban­lieue parisi­enne. 
Auteur de poèmes et de nou­velles, il se taille tout d’abord une répu­ta­tion dans l’un­der­ground lit­téraire parisien par les lec­tures publiques de son poème-fleuve souter­rain et con­vul­sif Le Blues du 21e Siè­cle dont une pre­mière ver­sion est pub­liée en 2015 dans la revue Le Cafard Héré­tique. Le webzine Booka­li­cious salue alors « la musi­cal­ité et le rythme » du texte : « un voleur de feu qui préserve la flamme de la poésie ». 

Dans le même temps, il com­met quelques tra­duc­tions de textes courts d’auteurs anglo­phones pour des revues et pub­lie quelques uns de ses poèmes traduits dans de nom­breux fanzines en Angleterre et en Irlande, tout en réal­isant quelques piges sous son nom et sous pseu­do­nymes. En 2016, il pré­face l’édition bri­tan­nique du roman ini­ti­a­tique Blos­soms and Blood de l’écrivain améri­cain Mark SaFranko dont il est la voix française lors de sa tournée dans l’hexagone un an plus tard. 
En 2017 paraît son deux­ième ouvrage, Nos­taljuke­box, imprégné de jazz et dont les poèmes s’articulent autour d’un chant cen­tral, oscil­lant entre la bourlingue des bas-fonds urbains et la quête spir­ituelle. Dans sa pré­face, le poète beat Jack Hirschman ne tar­it pas d’éloges : « Buron représente la con­tem­po­ranéité de demain, ce par quoi nous serons tous sai­sis dans les jours à venir de la poésie ». Il est à cette occa­sion sélec­tion­né par­mi les jeunes poètes promet­teurs lors de la Nuit des Nou­velles Ecri­t­ures de la Bien­nale Inter­na­tionale de Poésie du Val de Marne. L’ouvrage est salué par la revue culte Les Let­tres Français­es, par le quo­ti­di­en belge Le Soir, et le comé­di­en Jacques Bon­naf­fé en lit un extrait sur France Culture. 

Début 2018, lors de sa rési­dence d’auteur à Metz pro­posée par L’Atteinte et dont France 3 tire un reportage, il réalise un spec­ta­cle musi­cal autour de Nos­taljuke­box avec le musi­cien Jean Sébastien Grunfelder.

Bibliographie 

NOSTALJUKEBOX (pré­face de Jack Hirschman), book­leg #135, Edi­tions Mael­strÖm, 2017
LE BLUES DU 21e SIECLE, book­leg #124, Edi­tions Mael­strÖm, 2016

Par­tic­i­pa­tions aux revues & mag­a­zines : Souf­fles, Le Cafard Héré­tique (orig­i­nal), Tra­ver­sées, Les Nou­veaux Dél­its, Comme en Poésie, Microbe, Fes­ti­val Per­ma­nent des Mots, On Peut Se Per­me­t­tre, Schnaps, Le Zaporogue, Paper & Ink, Mange Monde, Spered Gouez, etc.

Par­tic­i­pa­tions aux antholo­gies : Dehors (Edi­tions Janus – Prix Ribot 2016), Rev­o­lu­tion­ary Poets Brigade (#3 & #4), 50 Poètes Sémapho­ristes (Mai­son de la Poésie de Quim­per­lé, 2017), L’Arcane de la Force (Mael­strÖm, 2017), zOOd­i­ac Cos­moso­phies (Mael­strÖm, 2018), etc.

Trois de ses poèmes ont égale­ment été pub­liés sous forme de petits livres con­ceptuels par la micro-édi­­tion cal­i­forni­enne Poems­ForAll : Sinkin Ship (#1368) en 2015, 100mph (#1451) en 2016 puis Reha­bil­i­ta­tion of the Sun (#1823) en 2018, ain­si que sa tra­duc­tion en anglais d’un extrait du « Hie » d’Arthur Cra­van (#1450).

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Jean-Paul Gavard-Perret

Jean-Paul Gavard-Per­ret est un poète, cri­tique et maître de con­férences en com­mu­ni­ca­tion à l´Université de Savoie. Doc­teur en lit­téra­ture, J.P. Gavard-Per­ret enseigne la com­mu­ni­ca­tion à l’Université de Savoie à Cham­béry. Il est mem­bre du Cen­tre de Recherche Imag­i­naire et Créa­tion. Il est spé­cial­iste de l’Image au XXe siè­cle et de l’œuvre de Samuel Beck­ett. Il col­la­bore à de nom­breuses revues dont Pas­sage d’encres, Les Temps Mod­ernes, Esprit, Ver­so Art et Let­tres, Champs visu­als et Com­mu­ni­ca­tion et Lan­gage. Il a pub­lié une quin­zaine de livres, de textes brefs ou d’essais. Pub­li­ca­tions Fic­tions et textes brefs Toile Peinte, Argo, Lau­sanne, 1976, (Sous le pseu­do­nyme d’An­nie Renaud). Dans ses gestes, l’At­tente, L’In­cer­tain, Paris, 1991. La Par­ti­tion, Garenne, Lyon, 1991. La Répéti­tion, La Demeure, Cour­taud, La Souter­raine, 1992. Ici en l’ob­scur, Ecbo­lade, Nœux, 1993. Comme un voy­age, Édi­tion Philippe Morice, 1° édi­tion 1993, 2e édi­tion revue, 1994. Le jour où j’ai tué Papa, Exquis-Cadavres, Vir­gin-Cal­man-Lévy. Paris, 1995. L’Œil du Cyc­lope, en col­lab­o­ra­tion avec le graveur Marc Pessin, La Main Courante, La Souter­raine, 1995. Le jardin des délices, Le flâneur des deux rives, Juvinas, 1996. Art, Légende, Réal­ité, Bar­ré-Dayez, Paris, 1996. Douce, tech­nique­ment. en col­lab­o­ra­tion avec le pein­tre Mar­cel War­men­hoven, Ecbo­lade, Nœux, 1996. Le froid, Édi­tions La Dérive, Verviers, 1996. Néces­saire sac­ri­fice aux étoiles, Édi­tions le Givre de l’É­clair, Troyes, 1998. Généalo­gie véni­ti­enne, Rafael de Sur­tis, Chèvres, 1998. L’Araignée de feu, Édi­tions du Non Ver­bal, Bor­deaux, 1998. Draw­ing by embers, La Main Courante, La Souter­raine, 1998. Trois faces du nom, L’Har­mat­tan, Paris, 1999. Venise, Édi­tions de L’Heure, Pry, Bel­gique, 1999. Le cycle des van­ités, Édi­tions Pier­ron, Sar­reguem­ines, 1999. Pas­sager de sa pluie, Édi­tions de l’Heure, Pry-lez-Wal­court (Bel­gique), 2000. Demain, hier, Édi­tions on @ faim, Saint Éti­enne de Rou­vray, 2001. Cielle, Édi­tions Cla­pas, Agues­sac, 2001. La mai­son de l’être, Édi­tions Cla­pas, Agues­sac, 2001. Soul-Eyes, Édi­tions à Demeure, Vals, 2001. La descente ; absence et crue, Édi­tions à Demeure, Vals, 2001. Une manière noire — frag­ments sur Jeanne, in «Cui­sine et cuisines», Édi­tions La Dérive, Verviers, 2001. Pre­mier Prix Georges Simenon 2001 K, Véronique Van Mol édi­teur; Orgeo (Bel­gique), 2001. Soir (de Paris), Ate­lier-Édi­tions Vin­cent Rougi­er, Port de Couze, 2002 Chants de déclin et de l’abandon, Édi­tions Pier­ron, Sar­reguem­ines, 2003. Neige suivi de l’immobile, coll. Ficelle, Ate­lier Vicent Rougi­er, Port de Couze Lalinde, 2005. L’im­age est une chi­enne, l’Ane qui Butine, Bel­gique, 2005. Fil rouge, édi­tions Regard; Petite revue d’Art, Le Grand Aberge­ment, 2005. Porc épique, édi­tions du Petit Véhicule, Nantes, 2006. A perte de vue : Man­hat­tan Trans­fert, coll. Pam­phlet, Édi­tions L’Âne qui butine, Mouscron (Bel­gique), 2007. Mon ex a épousé un Schtroumpf (sous pseu­do­nyme de Garr Gam­mel), Édi­tions Chloé des Lys, Bar­ry (Bel­gique) 2008. E muet, édi­tions du Tri­dent Neuf, pho­togra­phie de Marie Bau­thias, Toulouse, 2008 La jeune femme qui descend l’escalier, Édi­tions du Cygne, Paris, 2008. La mar­iée était en rouge, Édi­tions du Cygne, Paris, 2008. L’ap­pel de la forêt, avec des pein­tures de Jacques Bar­ry, Édi­tions Jean Ville­vieille, Saint Éti­enne, 2010. Je veux, La dic­tée-poésie sans faute, 60e “ficelle”, Ate­lier d’art Vicent Rougi­er, jan­vi­er 2011. Dis­sem­blance et fig­u­ra­tion, avec une inter­ven­tion plas­tique de Mari­ette, Édi­tions Le verbe et l’empreinte, Saint Lau­rent du Pont, 2011. Por­traits Sin­guliers avec et pour les pein­tures de Clau­dine Loquen, Édi­tions Leliv­redart, Paris 2011. Cyc­lope, Édi­tions de L’At­lan­tique, Saintes, 2011. Eugène Leroy ou les appari­tions, Alma­gra Édi­tions, Nantes, 2011. Labyrinthes, édi­tions Marie Delar­bre, Grig­nan, juil­let 2012. 25 courts textes dans le recueil de pho­togra­phie de Nath-Saku­ra Fatales, Édi­tions Vic­to­ria (ISBN 978–2‑9542917–0‑3) Autres recueils de textes brefs : Anoth­er – Hor­moz pho­togra­phies, Cor­ri­dor Ele­phant Edi­tions, Paris, 2016. “Le Faubourg” avec encres de Danielle Berthet, Voix Edi­tions, Richard Meier, 2019. Flu­id­i­fi­ca­tion des éc®oulements, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. Fornika­tord, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. La let­tre d’amour qui ne s’écrit pas, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. Le bal des mots dits, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. Le box­on de X, Z4 Edi­tions, 2019. Uni­vercités, Edi­tions Jacques Fla­ment,  2020. Patience dans la boîte noire — Jean- François Dalle-Rive, avec M‑P Deloche, Folazil, Greno­ble, 2020. Joguet, Joguette, Z4 Edi­tions, 2020. Phare d’eau, édi­tions Con­stel­la­tions, octo­bre 2022 Tou­s­sa pour ça & Fir­ma­man, édi­tions Con­stel­la­tions, décem­bre 2022 Pro Loques, édi­tions Con­stel­la­tions, févri­er 2023 Région humaine suivi de Zébu­lon Comète et sa maîtresse, édi­tions Con­stel­la­tions, mai 2023 Poésie Corps de Pierre, Le Pont de l’Épée, Paris, 1976. Elle, Écrite, Hautécri­t­ure, Nouail­lé, 1990. La main le Désert, Vague Verte., Wag­narue, 1991. Le délit d’Ab­solu, L’Ar­bre à Paroles, Amay-Brux­elles, 1991. L’ef­face­ment, L’Ar­bre à Paroles, Amay-Brux­elles, 1992. Suite intem­pes­tive, en col­lab­o­ra­tion avec René Quinon, Le Flâneur des deux rives, 1996. Ibériques, Interédi­tions, Paris, 1996. (Grand Prix de poésie du Val de Seine). Avalée, Avalanche, Le Chant de l’Aleph, Paris, 1997. Fer­me­ture en fon­du sur la lumière du soir, “Con­duite for­cée”, (Édi­tions à tirage lim­ité, Eric Coisel Édi­teur, Paris, 1998. Arach­néenne, Édi­tions de L’Agly, Saint Paul de Fenouil­let, 1998. Pêcheur d’Is­lande, (Grand Prix de poésie de la Ville de Dunkerque) Verbes suivi de Anglais­es, Édi­tions Cla­pas, Agues­sac, 1998. Bon­jour Mon­sieur le Fac­teur, sur des col­lages de Éric Coisel; Éric Coisel Édi­teur, Paris, 1999. Vis­ages, en col­lab­o­ra­tion avec la plas­ti­ci­enne Charlette Morel-Sauphar, Édi­tions Pas­sage d’Encres, Romainville, 1999. Noire sœur, écrit et illus­tré en hom­mage à S. Beck­ett, Vin­cent Cour­tois éd., 1999. Clé de l’abyme, Le scarabée d’or, en col­lab­o­ra­tion avec le plas­ti­ci­enne Charlette Morel-Sauphar, Pas­sage d’encres, Romainville, 2000 Inci­sions de lumière, en col­lab­o­ra­tion avec la plas­ti­ci­enne Charlette Morel-Sauphar, Pas­sage d’encres, Romainville, 2000. Prim­i­tives du futur, Édi­tions de La Porte, Laon, 2000. Final Cut & Sur­vivance, en col­lab­o­ra­tion avec la plas­ti­ci­enne Ch. Morel-Sauphar, Gech Mosa édi­tions d’art, Mâcon, 2001. L’Injonction, en col­lab­o­ra­tion avec Annie Frédéric, coll. Tête-à-tête, Édi­tions Alain Benoît, Rocheford du Gard, 2001. Les car­rés de Charlette, coll. Encres Blanch­es, Édi­tions Encres Vives, Colomiers, 2001. Rouge Sang, Charlette Morel-Sauphar ed., Bus­sières-Macon, 2002. Dons de Mélan­col­ie – A l’épreuve du temps, avec des pho­togra­phies de Geor­gette Glodek, Édi­tions Dumerchez, Creil, 2003. Déchirures, avec des pein­tures de Bernard Ques­ni­aux, Éric Coisel édi­teur, coll. “ Mémoires ”, Paris, 2004. Ether­nitée, avec des dessins de Mylène Besson, coll. “à la Main”, édi­tion l’Attentive, Paris, 2004. Ara­ba, Édi­tions du Con­tentieux, Toulouse, 2004. Don­ner ain­si l’espace, Édi­tions La Sétérée, Crest, 2005. Les blés d’or, Aquarelles de Nicole Pessin, coll. Le fil à retor­dre, Ate­lier Marc Pessin, Saint Lau­rent du Pont, 2006. Voy­ages immo­biles, avec des pein­tures de Chan­tal Brischoff et des pho­togra­phies de René Auger, RC Créa­tion, Tho­ris­sey. Les paroles de neige, Aquarelles de Nicole Pessin, coll. Le fil à retor­dre, Ate­lier Marc Pessin, Saint Lau­rent du Pont, 2007. Gisante, Eden et après, avec des illus­tra­tions de Mylène Besson, Édi­tions Chloé des Lys, Bar­ry (Bel­gique), 2007 Le voy­age, avec une inter­ven­tion orig­i­nale de Alain Quer­cia, Jean Pierre Huguet Édi­teur, Saint Julien Molin Molette, 2007. Ver­ti­cal Duo, avec Marie Bau­thias, Édi­tions du Tri­dent Neuf, Toulouse, 2008. Sil­lage de Lumière, avec des dessins de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2009. Faire par­ler le jour, avec des dessins de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2009. Odyssée, Ray­mond Chabert entrée en matière, avec des pein­tures de Ray­mond Chabert, pho­togra­phies de René Auger, RC Créa­tion, Tho­ris­sey, 2009. Sta­tions chris­tiques, avec des encres de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2009. & — livret 19, avec les pho­tos d’E­Ole, EOle édi­tions, La Batie Mont­gas­con, 2009. Miss Fitts et autres His­toires Ceintes, avec des dessins de Jean-Marc Scan­reigh, Édi­tions Ate­lier Vin­cent Rougi­er, Soligny la Trappe, 2010. L’al­pha­bet des prim­i­tifs du retour, avec des aquarelles de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2010. Les boîtes à A, coll Match­boox, Édi­tions Voix, Elne, 2010. Le Dic­tio­n­naire des Âmes, avec des aquarelles de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2010. Musikâa, édi­tions Marie Delar­bre, Malis­sard, 2010. Les enfants de la mer, avec des Aquarelles de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2011. Noël en alpha­bet, avec des Aquarelles de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2012. Les Seins d’Abeille , Edi­tions Jean-Pierre Huguet, St Julien Molin Molette, 2014. “Autre huche” Coll. Apos­tille Danielle Berthet, Aix Les Bains 2016 “Chéri( e)s ou le sexe se met en dernier”, coll. Apos­tilles, Danielle Berthet, Aix Les Bains, 2017. Cham­béry en alpha­bet dessins de Nicole Pessin, Edi­tion Varia Poet­i­ca, Saint Lau­rent duPont,2017 “Clavecin des brumes” avec des pein­tures orig­i­nales de Andelu, Edi­tions du Geste, 2016. Tu me vois — Sylvie Afla­lo-Haber­berg”, Paris, Sylvie Afla­lo-Haber­berg, 2019. “Cui cuit” Coll. Apos­tilles Danielle Berthet, Aix Les Bains, 2018 “Lionne va”, avec encres Danielle Berthet Le Livre Pau­vre, Daniel Leuw­ers, 2019. “Anna-Base”, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. “Pâle haie des spores”, coll. Apos­tilles, Danielle Berthet, Aix Les Bains, 2019. “Le retour sans l’aller”, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. Essais et Cat­a­logues La Pop-music, Édi­tion Bib­lio­thèque de Tra­vail, Paris.1978. Jean-Luc Favre ( Rey­mond) : la scène prim­i­tive et l’ob­sti­na­tion com­pul­sive, S.G.E. Genève. 1995. Jean Jacques Rousseau et retour — Cat­a­logue du sculp­teur Mar­cel War­men­hoven, Den Haag, 1996. 91 appari­tions de Marie-Madeleine, (sur les Pho­togra­phies de Véronique Sablery), Cen­tre d’Art Con­tem­po­rain, Hôtel Saint-Simon, Angoulême, 1996. Bur­roughs, le fil(s) per­du, de l’au­to­bi­ogra­phie à la scrip­togra­phie, Édi­tions Der­rière la salle de bains, Rouen, 1996. René Quinon : l’écri­t­ure & le silence, Édi­tions le flâneur des deux rives, Juvinas, 1997 Post­face à La dis­pari­tion Felli­ni de Jacques Kober, Rafael de Sur­tis Édi­teur, La Touche, 1998. Eugène Leroy ou les appari­tions, Patin et Coufin, Mar­seille, 1998 La didac­tique du français dans l’en­seigne­ment supérieur : Brico­lage ou réno­va­tion?, coll. Séman­tiques, L’Har­mat­tan, Paris, 1998. Josef Cies­la : les portes du silence ou le chant des signes, coll. les Sept Collines, Jean Pierre Huguet Édi­teur, St. Julien Molin Molette, 1999. Hypothèse du tableau comme clan­des­tinité — propo­si­tions pour Gérard Gasiorows­ki, Édi­tions Patin et Couf­fin, Mar­seille, 1999. Jacques Simonomis, en col­lab­o­ra­tion avec Jean Rous­selot, Édi­tions de La Lucarne Ovale, Paris, 1999. Eve­lyn Ger­baud, Édi­tions Pas­sage d’Encres, Romainville, 1999. Vis­ages — l’œuvre de Charlette Morel Sauphar, Édi­tions Pas­sage d’Encres, Romainville, 1999. Fil­igranes-Pas­sages, Cat­a­logue de la plas­ti­ci­enne Charlette Morel Sauphar, Macon, 2000. Les oubliés mag­nifiques, Édi­tions Librairie Bleue, Troyes, 2000. Samuel Beck­ett : l’Imaginaire para­dox­al ou la créa­tion absolue, Paris, Minard, 2001. Néces­saire défaut de la réal­ité ou la let­tre d’amour qui ne s’écrit pas, in «De tous les jours, pho­togra­phies de J‑Claude Bélé­gou», Édi­tions Pho­togra­phies & Co, Sausseuze­mare, 2001. Suites, séries, vari­a­tions. Cat­a­logue du pein­tre Joel Leick, in «Suites et Séries», Édi­tions L’Harmattan et Tour Car­rée, Paris, 2001. Beck­ett et la poésie : la dis­pari­tion des images, Édi­tions le Man­u­scrit, 2001. Draw­ing by Embers ou la poé­tique du silence & Du Par­adis in «Du Vide au Silence : La Poésie», Édi­tions Ver­mil­lon, Ottawa (Cana­da), 2002. Théo Cras­sas : Songs for Dis­tin­gué Lovers, Édi­tions Encres Vives, Colomi­er, 2002. Cat­a­logue de Véronique Sablery pour l’in­stal­la­tion “L’Ap­pari­tion”, Salle Royale, Église de la Madeleine, Paris (Avril, mai juin 2003). Thier­ry Tilli­er : Lieux et dérives du corps, Édi­tions de l’Heure, Charleroi, 2003. Un monde tou­jours nou­veau, CD-Rom des œuvres de Charlette Morel-Sauphar, réal­isé par Ch. Bau­dri­on, CRDP de Bour­gogne & CDDP de Saône et Loire, 2003, Dijon. Cat­a­logue de l’exposition Jean Gau­daire-Thor, Brid­gette May­er gallery, 209 Wal­nut street, Philadel­phie, USA. (sous pseu­do­nyme). Hom­mage à Blan­chot, col­lec­tion Signes, Édi­tions Aleph, Malis­sart, 2003. Mar­cel Rist, l’étreinte ou l’épreuve des traces, Édi­tions Anonyme, Auvers Saint Georges, 2004. Le chant des mots et la forêt des signes Pré­face de «Livres à l’envi — livres d’artistes et affich­es de J‑M Scan­reigh» de Jean Paul Laroche, Édi­tions Mémoire Active, 2004, Lyon. Cat­a­logue Michel Butor et les pein­tres, Musée Fau­re, Aix Les Bains, févri­er-mars 2005. François Bidault : le sur­face impos­si­ble ou le tableau qui pense in «Jeux de sur­face», coll. Écri­t­ure et Représen­ta­tion, LLS, Édi­tions Uni­ver­sité de Savoie, 2006. Marie Morel, Édi­tions anonyme, Cham­béry, 2006. Ankh : sculp­tures et gravures, Chapelle de la Vis­i­ta­tion, Thonon les Bains, 8 sep­tem­bre — 21 octo­bre. Franchir la fron­tière ou la poésie comme manuel de félix­ité et Théâtre de la poésie, poésie de la langue, in «Con­stan­tin Frosin, fran­cophile roumain» sous la direc­tion de Lau­rent Fels, coll. Essais/recherche, Édi­tions Poiêtês, Orthez, 2008. Cool Mem­o­ries”, cat­a­logue de l’Ex­po­si­tion de Véronique Sablery, «Ten­ta­tion du vis­i­ble», Abbaye Saint mar­tin de Mon­daye, juin-juil­let 2008. Une tra­ver­sée du siè­cle : arts, lit­téra­ture, philoso­phie : hom­mages à Jean Bur­gos, avec Bar­bara Meazzi et J‑Pol Madou, Presse de l’U­ni­ver­sité de Savoie, Cham­béry, 2008 Mar­tine Quès : Petits bassins d’eau salée, Pho­togra­phies, Ate­liers des Arts Mêlés, Gar­gas, 2008 Mar­tine Quès : Pho­togra­phi­er les rochers, Ate­liers des Arts Mêlés, Gar­gas, 2008 Il y a du frois­sé dans l’air, n° frois­sé, cat­a­logue pour l’ex­po­si­tion de Vin­cent Rougi­er à L’A­pos­tro­phe — Théâtre des Lou­vrais Pon­toise, Édi­tions Ate­lier Vivent Rougi­er, Soligny la Trappe, 2009. La céc­ité n’a pas gelé mon corps il l’é­tait avant, in «Au nom de la fragilité, des mots d’écrivains» sous la direc­tion de Charles Gar­dou, Édi­tions Erès, Paris. 2009. Jou­ve, la vision de la femme, in «Jou­ve poète européen», Cahiers P‑J Jou­ve, no 1, Édi­tions Cal­liopée, 2009. Loques et inter­loques : la vie dans les plis in «La sur­face : acci­dents et altéra­tions», coll. Écri­t­ure et Représen­ta­tion, LLS, Édi­tions Uni­ver­sité de Savoie, 2010. Mylène et Pierre in cat­a­logue «Pierre Leloup — Mylène Besson, Face à Face», Musée Fau­re, Aix les Bains. Pub­li­ca­tion de la société d’art et d’his­toire d’Aix les Bains, no 62, jan­vi­er 2011.. Voies de pas­sage et Petit dia­logue intem­pes­tif in cat­a­logue « Cour­to, frag­ments tatouant », Édi­tions Musées de la ville de Cham­béry, 2011. Miroir du déser­teur, lit­téra­ture, psy­ch­analyse, miroir de l’autre in «Polars En quête de… l’Autre», col­lec­tif sous la direc­tion de P‑L Savouret, coll. “Écri­t­ure et représen­ta­tion”, Édi­tions LLLS, Uni­ver­sité de Savoie, 2011. Eugène Leroy ou les Appari­tions, nou­velle ver­sion, 2011, Alma­gra Édi­tions, Nantes, 2011. Nicole Valentin et la chair-voy­ance, cat­a­logue de l’ex­po­si­tion “Autour du feu” de Nicole Valentin, espace Autour du feu, 24 rue Duran­tin, Paris 18e, juin 2011. Ouvrages “Si j’é­tais moi”, dans la revue d’art TROU no. XX, 2009 La Mar­iée était en rouge, Édi­tions du Cygne, Le Chant du cygne, 2009. La Jeune Femme qui descend l’escalier, Édi­tions du Cygne, Le Chant du cygne, 2008. À perte de vue : Man­hat­tan Trans­fert, L’Âne qui butine (Bel­gique), 2007. Les Impudiques : cratères lit­téraires, Édi­tions du Cygne, Le Chant du cygne, 2007. Le Voy­age, avec une inter­ven­tion orig­i­nale de Alain Quer­cia, Jean-Pierre Huguet édi­teur, 2007. L’Homme et l’e­space, Ate­lier Andelu, 2007. Porc épique, Édi­tions du Petit Véhicule, 2006. Les Blés d’or, aquarelles de Nicole Pessin, Marc Pessin, 2006. Don­ner ain­si l’e­space, La Sétérée, 2005. Thier­ry Tilli­er : lieux et dérives du corps, Édi­tions de l’Heure, 2003. Dons de Mélan­col­ie — à l’épreuve du temps, avec des pho­togra­phies de Geor­gette Glodek, Dumerchez, 2003. Chants de déclin et de l’a­ban­don, Édi­tions Pier­ron, 2003. Samuel Beck­ett : l’Imag­i­naire para­dox­al ou la créa­tion absolue, Minard, 2001. Le Silence de l’Ile, peint par Tony Souli­er, Éric Coisel, 2001. Beck­ett et la poésie : la dis­pari­tion des images, Édi­tions Le Man­u­scrit, 2001. Éve­lyn Ger­baud, Édi­tions Pas­sage d’En­cres, 1999. Trois Faces du nom, L’Har­mat­tan, 1999. Le Cycle des van­ités, Édi­tions Pier­ron, 1999. Josef Cies­la : les portes du silence ou le chant des signes, Jean-Pierre Huguet édi­teur, Les Sept Collines, 1999. Hypothèse du tableau comme clan­des­tinité — propo­si­tions pour Gérard Gasiorows­ki, Édi­tions Patin et Couf­fin, 1999. L’Araignée de feu, Édi­tions du Noroît (Cana­da), 1998. Généalo­gie véni­ti­enne, Rafael de Sur­tis, 1998. Eugène Leroy ou les appari­tions, Édi­tions Patin et Couf­fin, 1998. Draw­ing by embers, La Main courante, 1998. Arach­néenne, Édi­tions de L’Agly, 1998. Ibériques, Édit­in­ter, 1996. Bur­roughs : le fil(s) per­du, de l’au­to­bi­ogra­phie à la scrip­togra­phie, Édi­tions Der­rière la salle de bains, 1996. Le Jour où j’ai tué papa, Vir­gin-Cal­mann-Lévy, 1995. L’œil du cyc­lope (en col­lab­o­ra­tion avec Marc Pessin), La Main courante, 1995. Jean-Luc Favre : la scène prim­i­tive et l’ob­sti­na­tion com­pul­sive, SGE (Suisse), 1995. Ici en l’ob­scur, Ecbo­lade, 1993. L’Ef­face­ment, L’Ar­bre à paroles (Bel­gique), 1992. La Main, le désert, Vague verte, 1991. Elle, Écrite, Hautécri­t­ure, 1990. La Pop music, Édi­tions Bib­lio­thèque de Tra­vail, 1978. Corps de pierre, Le Pont de l’Épée, 1976.

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