Née en 1991 à Bucarest, en pays Dace, au cours d’un soir jupitérien fleu­rant bon le muguet. 
 
Après quelques années passées dans le Bara­gan, dont Panaït Istrati van­ta si bien les chardons, elle s’in­stalle dans la Ville Lumière qu’elle con­tin­ue d’habiter aujour­d’hui. Poétesse depuis l’âge ten­dre férue de musique et d’art (préraphaëlite, sur­réal­iste, sym­bol­iste, âge d’or de l’il­lus­tra­tion), elle chante, peint et des­sine à l’en­cre de Chine.
 
Etu­di­ante en philoso­phie quelque peu éthérée et sar­cas­tique, elle s’in­téresse aux rêves, à l’imag­i­na­tion, au fan­tas­tique, à l’ex­cès, au roman­tisme, à la représen­ta­tion de la mort, à la folie, la fig­ure du sage, aux mythes, à la trans­gres­sion, la con­tre-cul­ture, aux pen­sées non anthro­pocen­triques de la nature et à l’er­rance. Trakl, Rilke, Celan, Apol­li­naire, Lucian Bla­ga, André Vel­ter, Li Bai, Issa, Basho, Tsve­tae­va, Rûmi et Einar Benediks­son bercent ses escapades en pays orphique, qu’elle voudrait éternelles
 
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