A fendre pierre
le cri de l’homme

A couper le souffle
son bref trajet !

Le silence est au bout
Patience pour les mots !

Nos maisons se penchent
sur l’en­fant qui germe
Déjà l’e­spoir grimpe au rideau
l’avenir tout autour
emporté par le vent

Il est encore un peu
ce qui l’emporte …

 

extrait de “LE DEHORS INTIME” (à paraître)
 

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