Aile immo­bile, la joie sans signes, qui frémit sur le bord quo­ti­di­en où geint d’ennui l’ordinaire de l’abîme.

 

Tes­son con­tre le vent qui court, ce ciel a la main froide, et je rebrousse chemin et vais vers ma tiédeur qui est ma lib­erté tenue vivante, comme un oiseau dans une main.

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