Comme le vent qui s’ébroue
Sur la crête des vagues,

Comme le souf­fle du vent
Qui disperse
Un nuage
En pas­sant sur le chef
Du pissenlit
Des prés,

Comme le vent
Qui chan­tonne sur l’âtre
Abandonné,

Je ne cesse d’entendre
La mélodie de ta voix
Qui m’embaume
Le cœur
Et le fait tressaillir
De la joie du Divin :

Puisque tu es
Le visage
Du Divin de la Mère

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