COMMENTAIRE II
(SAINTE THÉRÈSE)

 

avec l’amour qui me sub­merge et tombe/
tout autour de moi grossis­sent les bêtes
minus­cules que ton absence me donne à
manger/ou est-ce ta présence qui

me rapetisse comme pieds qui foulent
des trist­esses aux rives de ce qui va chanter/
comme une grande vic­toire où
mes âmes ne sont que clartés de toi ?

 

Tra­duc­tion :  Jacques Ancet
 

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