C’est à la sueur des forêts tondues
Au pas de l’oie que le cortège des cross­es ren­verse les ombres
Les larmes sont vio­lées dans la nuit profonde
Et son moisi d’armes
La présence sup­pli­ciée de l’aurore
Les enfants qui courent der­rière les chars

Déjà plus de six millions
Congo !
Où donc la lumière dans le fond de tes yeux
Der­rière quelle nouvelle
A quand la lev­ée des regards
 

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