Et tu m’as découvert
Le cœur battant du monde –
Tout ce cœur
Qu’aucun mot — jamais ! –
Ne saura désigner,
Tout ce cœur
Qui se donne au sourire
De tes lèvres
Et
A l’ovale de tes yeux,
Tout ce cœur
Qui s’exprime dans le chant
De ta voix,
Oui ! Tu m’as permis
D’y goûter
Dans ta grâce féline :
Le cœur rouge
Des fleuves
Et des mottes qui glissent
Dans l’eau noire
De ces jours
Où tu t’échappes en riant