La faille est dans ta chair, sub­tile et blonde
ton regard bas­cule en mots bruts pro­jetés devant nous
tes bras tour­nent dans le ciel
le sec­ours doit venir
c’est un fleuve de lumière   un visage
et où ?
je saisi ta main nue    nos pas jusqu’à la grille
le pied butte sur la pierre 
tout en toi est appel ten­du   évanouissement

dans l’allée, ton souf­fle vibre dans les feuilles.

 

 

20 Sept.
 

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