instants bâtis de tous ces soupirs sol­ubles dans les rêves
trop bête pour le grand écart trop grand pour la fable enfantine
j’au­rais voulu l’u­nivers tout débraillé
con­stru­ire des rem­parts con­tre les dieux
machicoulis des human­ismes con­tre les flèches-imprécations

le temps ne bouge que de quelques fleurs dans la bagnole
quelques saisons dans l’ignorance
 

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