je bats la beauté de tes fess­es de fer
martelées morcelées entières
et l’herbe qui te troue verdoie
le soleil que tu roues poudroie

lenteur immo­bile
je suis ton battant
lente immobilité
tu me dénudes

sans luette
réso­nante éblouissante
propagée
amurée recrue de mer

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