Je me sens libre en fer­mant les yeux
D’arrêter de dire que j’ai peur de tomber
La fatigue de print­emps n’est plus la fatigue

A la fin du par­cours sur la piste
Les lumières n’ont jamais servi d’artifice
Le fanal tombant dans la pièce même
Pas besoin d’aller le décrocher pour plaire

Quelle sen­sa­tion de ne rien sentir
L’abandon du corps touche au cœur de marbre

Le temps a depuis peu fini de s’asseoir
En signe ras­sur­ant sur les consciences
 

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