Ain­si agencée, la chambre
paraît plus grande. On peut
tourn­er autour du lit, des tombes
pro­vi­soires du rêve et revenir
aux fenêtres réelles ouvertes sur
la cour. Et la cour que parcourt
l’oiseau per­du n’est d’aucun lieu.
Même, la soli­tude blanche et transparente
masque les angles où tu dis­parais à chaque fois.
 

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