le print­emps
est tout là
ce soir
dans cette violette
qui me meurt
dans la main

 

 

Traduit de l’italien par Danièle Faugeras & Pas­cale Janot
POÈME DE JEUNESSE
(Poe­sie gio­vanili 1967–1972, L’Officina, Tri­este, 2003, Italie)
 

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