Michèle Gau­tard fait ses débuts à la pro­duc­tion de l’Institut Nation­al de l’Audiovisuel dans les années 1980. Elle suit en par­al­lèle des études uni­ver­si­taires de lit­téra­ture bri­tan­nique et améri­caine à l’Institut d’Anglais Charles V (Paris VII).

En 1993, elle devient Respon­s­able du Développe­ment Inter­na­tion­al à la Direc­tion des Pro­grammes de Créa­tion et de Recherche de l’INA. Elle y accom­pa­gne les réal­isa­teurs et auteurs de doc­u­men­taires auprès des chaînes de télévi­sion inter­na­tionales. Elle pour­suit cette mis­sion en présen­tant leurs films dans les fes­ti­vals du monde entier.

Depuis de longues années, elle s’est engagée dans un tra­vail théâ­tral mais surtout romanesque, fondé en par­tie sur l’écriture de car­nets dans lesquels elle développe non seule­ment une réflex­ion sur l’être et l’intime, mais aus­si des pris­es de vues intérieures issues de ses nom­breux voy­ages. En marge, elle enreg­istre au dic­ta­phone des textes qui ques­tion­nent l’improvisation.

En 2006, « L’âme de fond », son pre­mier roman.

En 2007, elle passe de l’écriture hor­i­zon­tale linéaire à l’écriture ver­ti­cale poé­tique. C’est ain­si que nait son pre­mier recueil « Au bord des choses ». Il a été traduit en alle­mand par Rüdi­ger Fis­ch­er sous le titre « Am Rand der Dinge », en ital­ien par Enzo Pel­li « Sul bor­do delle cose » et en anglais par elle-même « On the edge of things ».

En mars 2011, elle est invitée à lire ses poèmes à l’Institut Français de Berlin à l’occasion de la nuit de la poésie.

Juil­let 2011, une œuvre entre prose et poésie « Encore un jour, l’éternité » traduite en alle­mand par Rüdi­ger Fis­ch­er sous le titre « Noch ein Tag vor der Ewigkeit ».

Jan­vi­er 2012, pub­li­ca­tion de sa poésie dans « Le Jour­nal des Poètes » édité par la Mai­son inter­na­tionale de la Poésie – Arthur Haulot à Bruxelles.

Mars 2012, son sec­ond roman « Le goût de l’autre ».

Août 2012, « Elles » un roman en vers libres. 

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