N’y aurait-il qu’une femme
Pour nous donner la vie : une, une seule – son
temps sera compté
En siècles dans notre paume : trotte-menus,
ils s’affairent, – embrassent les sillons
Par où la vie circule
À nouveau ; n’y aurait-il qu’une femme
Elle serait là : et comme ce mode
Lui déplaît aussitôt, elle le tord dans sa paume
Le pile, l’écrase
En poudre fine, dont elle ensemence les
blés – les blés mûrs –
Du : “Je suis là.”