Paul Farel­li­er est né à Paris en 1934. Sa pro­duc­tion poé­tique s’est dévelop­pée à par­tir de la fin des années soix­ante. Il col­la­bore à de nom­breuses revues, pour des poèmes mais aus­si des chroniques, notes et études, notam­ment et de façon régulière à La Revue de Belles-Let­tres (Genève) et à la revue Les Hommes sans Épaules, au sein de son comité de rédac­tion. Il est mem­bre du jury du Prix du Poème en Prose Louis Guillaume.

Il a notam­ment pub­lié : L’Intempérie douce, Le Pont de l’Épée, 1984 ; L’Île-cicatrice, suivi de L’invisible grandit, Le Pont de l’Épée, 1987 ; Une main si sim­ple, Le Pont sous l’eau, 1989 ;  Où la lumière s’abrège, La Bar­tavelle édi­teur, 1993 ; À l’obscur et au vent, L’Harmattan, 1996 ;  Dans la nuit pas­sante, L’Arbre à paroles, 2000 ; Tes rives finir, L’Arbre à paroles, 2004 ; Par­lant bas sur ciel, L’Arbre à paroles, 2004 ; Vin­tages – Rétro­spec­tive 1968- 2007, Librairie-Galerie Racine, 2008 ;  Une odeur d’avant la neige, L’Arbre à paroles, 2010.

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