Qu’elle soit aumône du temps
ou don de quelque prince altier,
que votre joie soit dédiée
à la sec­onde où se détend

soudain votre corps libéré
des mains invis­i­bles du dieu
que je vis naître dans vos yeux
et sur vos lèvres s’égarer.

 

                      mars 2012

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