Les Devas des Vedas
M’ont vidé dans les doigts
Abeilles diaphanes,
Des versets si doux
Les mots éventés émaux discrets
Et camés de Théo inquiets.
Ils triomphent plus haut qu’appel du minaret.
J’entends le soupirail des torturés.
Les Devas des Vedas
M’ont vidé dans les doigts
Abeilles diaphanes,
Des versets si doux
Les mots éventés émaux discrets
Et camés de Théo inquiets.
Ils triomphent plus haut qu’appel du minaret.
J’entends le soupirail des torturés.