Par­fois tu feins l’amitié
Et quelque­fois tu pars si loin qu’aucun
Mes­sager des dieux de mon cœur
Ne peut t’atteindre où que tu ailles
Tu main­tiens la pos­ture solitaire
D’un guer­ri­er des temps anciens,
Mais ensuite, tu rêves
à l’abri de tes mains et
à l’intérieur de moi
tu ne pars jamais, peut-être
Es-tu le roi de toutes les folies,
Et quand tu deviens rire
J’essaie de bluffer,
Je me fie quelque­fois à ce qui fuit
Et quelque­fois …    je m’en veux.

 

traduit de l’anglais par Marie-Hélène Dumas
 

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