La galerie de Bretagne
3 rue du Frou, Quimper
le jeu­di 19 mars 2015 à par­tir de 19h

 présen­ta­tion de

 

Inter­nelle ardence

pre­mier recueil poé­tique et théorique

de Thier­ry Jolif

(chroniqueur, essay­iste et musicien)

 

Soirée présen­tée par Hen­ry Le Bal

(poète, écrivain, dramaturge)

 

 

Le poète ques­tionne et invec­tive l’être et l’être au monde, la reli­gion et la reli­gion de la lit­téra­ture, les mou­ve­ments de l’e­sprit, le poi­son des mots, les anges des let­tres, les idol­es et les icônes.

 

L’es­say­iste, en miroir,  par touch­es inachevées, apopha­tiques, appro­fon­dit l’e­space labyrinthique de l’an­ti-poésie à l’oeuvre.

 

Poèmes, donc, mais aus­si apho­rismes, essais en pointil­lés, chroniques inachevées, le livre recueil des pen­sées non scel­lées, presque ad instar man­u­scrip­ti ain­si que le désir­ait Vas­sili Rozanov pour ses pro­pres livres (Rozanov, dont l’e­sprit libre et con­tra­dic­toire plane de loin en loin sur ces textes).

 

Le chanteur, essaiera, par le rythme et les réso­nances d’al­léger les spires par­fois ardues et com­pliquées d’une pen­sée contradictoire.

 

« La Vérité n’est pas un secret. La croy­ance au secret pro­duit le pou­voir. Ami, délivrons-nous de la doxa des livres et des mil­liers de lignes de forces qui mag­né­tisent nos corps. La pen­sée n’est jamais neuve et ne fonc­tionne que dans le champ du con­nu, inca­pable d’appréhender l’inédit que seul le man­u­scrit peut transcrire. »

(Alain San­tacreu, Le Man­u­scrit de l’a­mi, Eglogue à Inter­nelle Ardence).

                                   

 

 

Pas de bavardage mais une économie qui relève du trait, de la “fusée”

(au sens baudelairien).
Le chant est sous tension.

(Pas­cal Boulanger, poète et chroniqueur)

 

Une lave qui lave la sottise

(Lucien Noullez, poète et chroniqueur)

 

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