Ce matin-là l’air est rapiat
Et je m’agglomère au magma
De passants
Ma peau affamée mord
La vipère du temps
Et l’eau osée est désirée
Pour la gerbe d’apnées
Et le bleu vertige qu’elles
Envisagent
En deçà du hublot
Je suis emporté par les flots
De la sécheresse.