Le soleil plein d‘avril bascule
Der­rière les vit­res des accouplements
Promè­nent deux ombres changeantes

Un masque pour une fois se tenir
Dans l’harmonie qui va bien si longtemps
On revient à l’école après des années
L’éclaircie se prend les cheveux

Même la nuit les mem­bres rament
Avec le jour entrant au-delà

Le silence ne sort pas de la musique
Le silence décolle avec les âmes d’accord
 

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