Louvoyer dans le cœur du monde.
Goûter à l’outrance des infortunes
aux gloires éphémères promettant l’infini,
garder le cap sur l’horizon
et l’œil sur le compas des étoiles bienveillantes
pour baliser ce chemin.
Car demain ou un autre jour, si le temps le permet,
on reviendra comme dans un territoire d’espoir
découvrir des places nouvelles
où celle de l’étrange n’existe plus.
Parcourir des endroits de lumière
et emprunter des passages inconnus.
Fuir ces sensations d’inutile.