Des nuances vides recou­vrent mon cadre

Où ma voix dessine,

Absente,

Une sym­phonie absurde

Où mes doigts dessi­nent des vagues chaudes

Spi­ralées

Pour te don­ner une note sou­ple, une note blanche

Pour te dire le Monde

Pour t’écrire les gens

De par­fums, de sens,

Pour t’écrier mes toiles

Ouvertes

Douloureuse­ment possibles.

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