regarde la beauté en face
une nouvelle fois une terrible fois
parce que tu sais changer ce peu de lumière
tu t’es perdu et pourtant
toujours
tu fus victorieux
les trains de nuit
les rails crevant des villes sauvages
sont des excuses des maladresses
tu ronges l’os sur toute sa longueur
quand le renversement les présages
promettent d’enjamber le flambeau les torches
de la pérennité.